
«Nocive et chaotique» : Gwyneth Paltrow vivement critiquée par d'anciens employés pour la gestion toxique de son entreprise Goop
C'est un sacré paradoxe que nous dévoile Amy Odell dans son livre, Gwyneth : The Biography. À travers les pages de ce nouvel ouvrage, l'auteure interroge plus de 200 personnes pour retracer la vie de Gwyneth Paltrow. Comme le rapporte Page Six, elle donne notamment la parole à d'anciens employés de Goop, la célèbre entreprise spécialisée dans le bien-être et le lifestyle, fondée par l'actrice en 2008. Si la marque met surtout en avant le fait de prendre soin de son corps et de son esprit, il semblerait que l'atmosphère qui y règne soit bien différente. «Je ne me suis jamais senti aussi mal de ma vie que pendant que je travaillais là-bas. Je ne prenais absolument pas soin de moi», explique un ancien membre du personnel dans Gwyneth : The Biography.
La plupart des personnes qui travaillaient pour Goop appelaient l'actrice «GP» et ceux qui se risquaient à prononcer Gwyneth de la mauvaise façon se faisaient rapidement réprimander et corriger, fait savoir l'ouvrage. Plusieurs employés décrivent une atmosphère de bureau «nocive et chaotique». «Gwyneth pouvait se montrer désagréable avec certaines personnes, en particulier celles qui devenaient trop collantes», explique Amy Odell dans son livre. «Les autres employés étaient intimidés par sa perfection et hésitaient à s'affirmer. Quoi qu'il en soit presque personne, y compris le conseil d'administration de Goop, n'osait lui dire non.»
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«Surchargés de travail et sous-payés»
Parmi l'équipe éditoriale du site internet de Goop, de nombreuses personnes décrivent une série de problématiques qu'elles ont pu rencontrer au sein de l'entreprise. C'est notamment le cas d'un rédacteur culinaire, qui était aussi en charge de préparer le déjeuner de l'actrice d'Iron Man, mais qui affirme avoir rapidement «regretté cet accord», ayant l'impression de ne jamais pouvoir lui dire «non». Selon l'ouvrage, les rédacteurs étaient «surchargés de travail et sous-payés». Le rythme était aussi difficile à suivre, puisque les employés «ouvraient leurs ordinateurs dès le réveil et travaillaient jusqu'à l'heure du coucher... Certains membres du personnel se sentaient épuisés». De plus, d'autres personnes pointent du doigt le fait que tout devait toujours être parfait, il n'y avait pas «beaucoup de tolérance pour l'imperfection».
Gwyneth Paltrow allait même jusqu'à réprimander le personnel sur le canal Slack de Goop lorsqu'elle découvrait que «quelqu'un avait fait pipi» sur le siège des toilettes au bureau, par exemple, explique celle qui est aussi à l'origine du livre sur Anna Wintour, Anna : The Biography (2020). Outre l'atmosphère toxique qui règne dans l'entreprise, Amy Odell explique à Page Six que le caractère de l'actrice pouvait aussi changer du tout au tout, une fois les caméras éteintes. «Elle peut être vraiment paillarde, très drôle et tranchante. Particulièrement tôt dans sa vie publique, les gens disaient qu'elle pouvait être vraiment différente lorsque les caméras étaient éteintes», explique l'auteure. Des propos qui ne s'accordent pas avec l'image que Goop souhaite véhiculer.

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