
Tour de France: Vingegaard va-t-il dominer Pogacar lors de la 12e étape dans les Pyrénées ?
Et pourtant, la publicité personnalisée est un moyen de soutenir le travail de notre rédaction qui s'engage à vous proposer chaque jour une information de qualité.
À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton 'paramétrer les cookies' en bas de page.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
26 minutes ago
- Le Figaro
Bébé mort au CHU de Lille : le décès est «compatible avec une chute», annonce le parquet
Le nourrisson est décédé mardi après avoir été retrouvé blessé par terre dans un service de néonatalogie au CHU de Lille, à la suite d'un traumatisme «compatible avec une chute au sol». Le nourrisson retrouvé blessé par terre dans un service de néonatalogie du CHU de Lille est mort d'un traumatisme «compatible avec une chute au sol», a indiqué vendredi le parquet de Lille, confirmant qu'un enfant a été vu près du berceau au moment des faits. Selon les premiers éléments de l'enquête, «le nourrisson est décédé d'un traumatisme cranio-encéphalique très sévère, compatible avec une chute au sol», a indiqué à l'AFP la procureure de la République Carole Etienne. Publicité Un enfant de six ans «vu à proximité de l'enfant au sol» Les faits se sont déroulés le 11 juillet en fin de matinée au sein du service néonatologie de l'hôpital Jeanne de Flandre, l'une des principales maternités de la région: une petite fille de cinq jours, née prématurée, a été retrouvée inerte au sol dans une chambre de soin. Elle est décédée mardi. Confirmant les déclarations de la famille du nourrisson, qui a pointé le comportement perturbateur du frère d'un autre bébé hospitalisé dans le service, la procureur confirme qu'un «enfant de six ans, membre d'une autre famille, a effectivement été vu à proximité du berceau et de l'enfant au sol». L'enquête ouverte pour «recherche des causes de la mort» «se poursuit par de nombreuses diligences et auditions», indique le parquet. La famille du nourrisson n'a pour le moment pas porté plainte Le centre hospitalier, évoquant dans un communiqué de presse mercredi «un événement exceptionnel particulièrement grave et bouleversant, non lié aux soins», a pris «des mesures de stricte limitation des visites au sein des unités de néonatologie» et mis en place un soutien psychologique. La famille du nourrisson, qui n'a pas encore décidé de porter plainte ou non, a appelé l'hôpital à «assumer sa responsabilité» pour que «cela n'arrive plus jamais». Ils déplorent notamment «la vétusté des locaux», a indiqué une cousine du père du bébé, Karima Farhi, soulignant que les infirmières ne disposent pas de vitre permettant de surveiller en permanence des enfants hospitalisés loin de leurs mères et confiés à leur responsabilité. Publicité Elle souligne en outre que «le personnel médical avait été prévenu» du «comportement anormal depuis plusieurs jours» du garçonnet, déjà vu à proximité de la petite Zayneb, «qu'il appelait ma poupée». Ce qui n'a pas empêché sa présence dans le service le 11 juillet en fin de matinée alors que les visites n'y sont autorisées qu'à partir de midi, selon elle. La famille a lancé vendredi un «appel à témoins» aux parents dont les enfants ont été hospitalisés à Jeanne de Flandre, et «qui ont pu constater ou vivre le manque de sécurité et de surveillance des bébés», les appelant à contacter le parquet de Lille.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Bébé mort à l'hôpital à Lille : la thèse d'une « chute au sol » validée par le parquet
Le nourrisson retrouvé blessé par terre dans un service de néonatologie du CHU de Lille est mort d'un traumatisme « compatible avec une chute au sol », a indiqué vendredi le parquet de Lille, confirmant qu'un enfant a été vu près du berceau au moment des faits. Selon les premiers éléments de l'enquête, « le nourrisson est décédé d'un traumatisme cranio-encéphalique très sévère, compatible avec une chute au sol », a indiqué à l'AFP la procureure de la République Carole Étienne. Les faits se sont déroulés le 11 juillet en fin de matinée au sein du service néonatologie de l'hôpital Jeanne de Flandre. >> Plus d'informations à venir sur


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Transition de genre pour les majeurs : ce que préconise la Haute Autorité de santé
Le souhait de transition n'est pas « un confort mais un enjeu vital », a commenté Claire Compagnon, présidente de la commission des recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS), ce vendredi, à l'annonce des résultats de ce groupe de travail. Face à des « professionnels » qui « manquent de repères », elle avait été saisie en 2021 par le ministère de la Santé pour élaborer des « recommandations » grâce à l'implication de 128 experts. La HAS insiste sur le fait que la transidentité ne doit pas être considérée comme une maladie, et qu'il faut donc répondre à toute demande de transition, regrettant une offre de soins « très hétérogène » sur le territoire français. Ces personnes « sont exposées à un risque de renoncement aux soins, d'automédication, de dépression ou encore de troubles anxieux pouvant aller jusqu'au suicide » précise-t-elle dans son communiqué. « La prescription d'hormones aux personnes qui la demandent peut contribuer à améliorer leur qualité de vie », affirme encore la Haute Autorité de santé en soulignant le besoin d'une évaluation personnalisée des bénéfices et des risques. L'HAS recommande aussi que le médecin généraliste soit « central tout au long de la prise de soins ». Ce professionnel de santé doit jouer le « accueillir » et « coordonner la prise en charge », précise le communiqué qui souligne « l'importance de l'entretien initial ». L'autorité publique préconise tout de même « une prise en charge global et pluriprofessionnelle », comprenant « un large panel », tels que des psychiatres, des endocrinologies et des urologues… Il est aussi nécessaire de « renforcer la formation initiale et continue des professionnels » et recommande à ces derniers d'accueillir « sans jugement ou idée préconçue » et d'utiliser « le pronom et le prénom demandés ». Dans le document, il est aussi évoqué « la nécessité de délivrer une information préopératoire claire, loyale et adaptée sur les modalités chirurgicales ». La HAS rappelle que les cliniciens peuvent « imposer un délai de réflexion raisonnable » avant toute intervention, notamment dans le cas d'effets irréversibles, et qu'il est nécessaire d'échanger sur les risques. « Un avis psychiatrique systématique n'est pas recommandé » mais « un soutien psychologique peut être apporté selon les besoins de la personne », a détaillé Claire Compagnon. « En l'absence de données suffisamment robustes et de consensus, la HAS fait le choix d'aborder séparément la question des moins de 18 ans », précise-t-elle dans un communiqué. Le travail, qui se poursuivra pendant des années, ne commencera pas avant début 2026. Cette décision a été prise sur fond de controverse quant aux travaux de la commission. La HAS a notamment déploré les « pressions » exercées sur le groupe de travail suite à des révélations du Figaro sur la composition de ce groupe. Elle avait aussi été saisie par une association, Juristes Pour l'Enfance, qui accusait la commission de pencher en faveur de « l'activisme » transgenre et réclamait la diffusion des noms des membres.