
Arrivée du quinté du mardi 15 juillet à Vichy : Stolen Kiss repousse ses limites
+
: 6 – 9 – 14 – 8 – 10
Pour sa première confrontation face à ses aînés,
Stolen Kiss
(n° 6) a récité une bien belle partition, dans ce Prix Hubert de Catheu, le deuxième événement de la semaine sur les bords de l'Allier.
Comme lors de sa victoire à Saint-Cloud, le pensionnaire de
Patrice Cottier
s'est rapidement retrouvé en dernière position, dans une course rythmée, sous l'impulsion de
Chiricco
(n° 4). Alors que le gros du peloton est venu en pleine piste dans la ligne droite, le fils de
Chachnak
, a opté lui pour l'intérieur dans la phase finale. Après avoir rejoint les animateurs à la distance, il a déployé de magnifiques foulées par la suite, s'imposant avec une confortable avance au passage du poteau.
Il était de nouveau associé à
Alexis Pouchin
, qui a savouré cette 26e victoire dans un quinté : « Il le fait encore facilement aujourd'hui. Lorsqu'il est bien détendu, alors il est capable d'accélérer très fort. J'ai respecté mon cheval en début de parcours et ensuite il a fait parler sa classe pour finir. »
Très appuyé au betting,
Forchester
(n° 9) a également progressé à l'intérieur de ses rivaux, mais sans pouvoir mettre en doute la supériorité du lauréat. Il conserve une nette deuxième place devant
Waziers
(n° 14), qui s'est très bien défendue jusqu'au bout après avoir toujours galopé dans le groupe de tête. Deuxième durant le parcours,
Rêve de Vallarsa
(n° 8) parvient à conserver la quatrième place devant
Cosmo Beau
(n° 10) qui a comblé du terrain pour finir après avoir longtemps patienté en queue de peloton.
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Les inavouables de l'été : «Au bout de 36 heures avec eux, j'avais des envies de meurtre»
On peut aimer ses amis, mais redouter les vacances en leur compagnie, surtout par 30 degrés. Hyperactifs, radins ou accros à la plancha, certains révèlent un tout autre visage sous le soleil estival. Témoignages de ceux que les séjours en bande rendent fous. «Je suis entré dans un cercle vicieux il y a 25 ans, et je n'ai plus jamais réussi à m'en extraire !», s'esclaffe sans aigreur Vincent, 56 ans, qui ne pensait pas, en louant avec deux couples d'amis une jolie villa bretonne en juillet de l'an 2000, signer un bail emphytéotique pour des vacances à six. «Nos façons de vivre sont radicalement opposées, et ce qui nous passait au-dessus il y a 20 ans, quand les enfants étaient encore petits et parfaits pour faire diversion, nous paraît aujourd'hui insupportable», confesse-t-il. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Chaque année, la location est reconduite de façon tacite, et le chef d'entreprise et sa femme ont eu beau déployer des trésors de stratégie au fil des ans, impossible d'échapper à un projet pour lequel les autres parties sont prêtes à toutes les concessions. «On a dit qu'on voulait voir autre chose, qu'on ne pouvait qu'en septembre ou en avril, que du jeudi au jeudi, rien ne les rebute. On est coincés, soupire Vincent. Et je le jure, on les adore, mais le temps d'une bonne soirée. C'est évidemment impossible à formuler... Donc devinez avec qui nous partons cet été ? ». Publicité Ce classique du genre fait les délices de la presse estivale qui, se saisissant héroïquement du sujet, envoie un journaliste (coucou !) sommer un psychologue (le sien ?) de guider les malheureux en quête d'aiguillage. Avec, à la clé, des analyses décoiffantes («Les vacances entre amis peuvent bien se passer, mais l'expérience risque aussi de s'avérer décevante»), mais aussi des injonctions délicieusement contradictoires («Affirmez vos besoins tout en laissant la place à ceux des autres»), de quoi s'assurer une patientèle ravagée au cabinet dès septembre. «Je préfère partir en famille !» «Quand on est chez ses beaux-parents, on sait qu'il y a un potentiel de pénibilité ! Alors qu'entre amis, tu as une forme d'injonction à passer un moment 'cool"» Viks_jin - Loin d'arranger les choses, les instituts de sondage nous jettent au visage des statistiques paradoxales, affirmant par exemple (1) que 46 % des Français interrogés considèrent que le choix des activités doit se faire librement lors de vacances entre amis… Et, la seconde d'après, ajoutent que 43 % d'entre eux estiment qu'entre amis, on doit tout partager. Comment s'étonner ensuite que certains séjours virent au carnage ? 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Quand on est chez ses beaux-parents, on sait qu'il y a un potentiel de pénibilité ! Alors qu'entre amis, tu as une forme d'injonction à passer un moment 'cool", dissèque le notaire. Si mon beau-frère se met à table en short de bain, je ne me gênerai pas pour lui dire qu'on n'est pas au camping (2), alors que jamais je n'oserais le dire au mari d'une amie !» Intolérances alimentaires (mais pas seulement) Charles, lui, a fait son coming out auprès de son cercle d'amis : «J'ai annoncé que je ne partirais plus que pour des week-ends, trois jours maximum, confie l'ex-ingénieur. J'ai dit que je me sentais angoissé ces derniers temps et qu'il m'était impossible de tenir plus longtemps en compagnie. Ce n'est pas tout à fait ça, évidemment. Les gens me font chier (sic), tout simplement. Ça me paraissait beaucoup plus simple avant. 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