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Le Figaro

19 minutes ago

• Le Figaro

Des concerts subaquatiques plongent les spectateurs dans une odyssée sonore inédite près de Nice

À Villefranche-sur-Mer, ce week-end, des nageurs ont été invités à écouter sous l'eau, chants d'animaux et rythmes électroniques composés par Michel Redolfi, ainsi que des poèmes lus par l'acteur Jean-Marc Barr. Sur une plage de Villefranche-sur-Mer (Alpes-Maritimes), le compositeur Michel Redolfi a invité les baigneurs à un long concert subaquatique ce week-end, entre musique électronique, chants de baleines et poèmes lus par l'acteur Jean-Marc Barr. En ce dimanche de juillet, la plage est bondée, petits et grands bronzent, nagent, plongent, pagaient... Tout à coup, un enfant sort la tête de l'eau : « Il y a de la musique ! Dans l'eau ! C'est incroyable ! ». De l'extérieur, on perçoit seulement quelques sons, surtout des basses. Mais si l'on met une oreille dans l'eau, tout est d'une impressionnante netteté, et plus le nageur s'approche des haut-parleurs, plus le son s'empare de lui. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Intitulé Sea of Sounds, ce spectacle allie musique électronique planante, des chants de baleines, de dauphin et d'autres mammifères marins enregistrés à Tahiti, la voix de Michel Redolfi qui parle de ces animaux et, par moments, celle de Jean-Marc Barr, assis hors de l'eau et qui lit des textes d'Erri De Luca ou Jean Cocteau. Si beaucoup de baigneurs continuent leurs jeux et batailles navales, l'eau s'emplit aussi de nageurs qui se mettent à faire la planche. Kristen King, Californienne de 56 ans installée à Villefranche, n'en revient pas : « On a entendu les dauphins et les oiseaux. Ils parlent de leurs histoires et vous le ressentez dans votre corps. Ça vibre et c'est très poétique ». Publicité C'est justement cette vibration collective que recherche Michel Redolfi, bio-acousticien et designer sonore, dont le studio Audionaute co-produit ce programme avec la ville de Villefranche, dont la baie est un site mondialement connu pour la pratique de l'apnée. Depuis les années 1980, il crée des environnements sonores pour des espaces publics comme les tramways de Nice ou de Brest, la fondation Carmignac à Porquerolles ou encore le musée Cocteau à Menton. « L'idée, c'est de faire que les gens soient baignés dans le son, qu'ils soient dans un musée, dans la mer, dans un tramway, et d'y aller de la manière la plus douce possible », explique-t-elle. Une « séance de relaxation » Il s'est lancé dans les concerts subaquatiques dans les années 1980, développant au fil des ans des haut-parleurs perfectionnés et des instruments adaptés. Avec toujours l'objectif de rendre chacun à son état prénatal, flottant dans un océan de sons et de douceur. Jean-Christophe Allard, bibliothécaire de 58 ans, avait déjà entendu un de ses concerts dans une piscine de Nice : « En mer, c'est plus impressionnant. Le son passe par le crâne, même pas par les oreilles. C'est une grosse séance de relaxation ». Une relaxation à laquelle Jean-Marc Barr, l'homme du Grand Bleu depuis 1988, apporte une touche de poésie, depuis une première collaboration il y a dix ans dans une piscine de Bruxelles. « C'est l'incarnation de la rêverie, c'est un poète, un homme doux, en osmose avec le milieu sous-marin », salue le compositeur. Pour l'acteur, ces concerts subaquatiques sont l'occasion «de créer un vrai rapport avec la nature, de comprendre qu'elle peut être considérée comme sacrée [...] tout d'un coup, la mer devient comme une cathédrale ». C'est une autre manière d'inviter à son expérience du Grand Bleu, où il avait dû apprendre à trouver un grand calme en lui pour descendre en apnée à 30 ou 40 mètres. « Maintenant, je fais de la plongée un peu prégériatrique, je fais 10 mètres, mais je rentre tout de suite dans ce calme. On est privilégié d'avoir ce trésor », assure l'acteur de 64 ans. Reste que la musique électronique ne convainc pas tout le monde. Astrid Al-Hadeed, irlando-koweïtienne de 64 ans, a trouvé l'expérience « charmante », mais pour elle, « ça serait encore plus beau avec de la musique classique, Bach , Mozart ou Chopin ...».

Le HuffPost France

21 minutes ago

• Le HuffPost France

Audrey Crespo-Mara absente de TF1, Amélie Carrouër figure de LCI fera ses premiers pas au JT

TÉLÉVISION - Du mouvement chez TF1. Alors qu'Audrey-Crespo Mara, joker d' Anne-Claire Coudray les week-ends de cet été, doit actuellement s'absenter de la présentation des JT, la direction de l'information de la chaîne a annoncé, ce mardi 15 juillet, les noms de ses deux remplaçants : Jean-Baptiste Boursier et Amélie Carrouër. Pour le premier, visage du 6/9 de LCI et actuel joker de Gilles Bouleau sur TF1 en semaine, ce sera ce vendredi à 20 heures. Un rôle qu'il connaît bien : les téléspectateurs de la Une ont déjà pu le voir à plusieurs reprises depuis qu'il est arrivé sur la chaîne en 2024 pour succéder à Julien Arnaud. Figure elle aussi de LCI qu'elle a rejoint en 2017 après avoir quitté i Télé, la seconde officiera pour la première fois à la présentation d'un JT de TF1. Pour la journaliste de 40 ans, ce sera les samedi 19 et dimanche 20 juillet lors des deux rendez-vous de la journée : le 13 heures, puis le 20 heures, précise TF1 dans son communiqué. L'information nous parvient alors qu'Audrey Crespo-Mara a annoncé, ce lundi, la disparition de son mari, l'animateur Thierry Ardisson à l'âge de 76 ans des suites d'un cancer du foie. Un homme avec qui elle était mariée depuis 2014, et à qui elle a dédié un documentaire baptisé La face cachée de l'homme en noir. Diffusé mercredi à 22 h 50 sur TF1, il promet de revenir sur l'histoire du présentateur controversé, au gré d'archives (médiatiques ou personnelles) et de témoignages, dont le sien au sujet de la maladie qui l'a conduit à sa mort. Audrey Crespo-Mara n'a pour sa part pas encore indiqué la date de son retour.

Le Figaro

an hour ago

• Le Figaro

My Million : la FDJ cherche le gagnant d'un million d'euros dont le ticket expire... le 18 juillet

La FDJ recherche un joueur ayant remporté un million d'euros qui ne s'est toujours pas manifesté. Le gain doit être réclamé avant ce vendredi 18 juillet à 23h59, avant d'être définitivement perdu. Il ne reste plus que quelques jours pour qu'un millionnaire qui s'ignore empoche son gain. Depuis près de deux mois, la Française des jeux attend toujours que l'heureux gagnant d'un tirage My Million vienne réclamer son dû. Le 20 mai dernier, un joueur ayant validé son billet dans l'Essonne a remporté un million d'euros. Mais à ce jour, il ne s'est toujours pas déclaré. Alors que le jackpot de 167 millions d'euros de l'EuroMillions n'avait trouvé aucun preneur ce soir-là, le tirage associé My Million a pourtant bien fait un heureux. Du moins sur le papier. Le principe du jeu est simple : deux fois par semaine, un code aléatoire est tiré parmi tous les tickets enregistrés, et son détenteur empoche automatiquement un million d'euros. Mais pour que le gain soit versé, encore faut-il se manifester dans les temps... Publicité Le règlement de la FDJ est clair : les gagnants ont 60 jours pour réclamer leur prix. Dans ce cas précis, le délai expire ce vendredi 18 juillet à 23h59. Passé cette date, la somme sera perdue pour le joueur et réintégrée aux caisses de la FDJ. «Vous disposez de 60 jours pour faire les démarches de paiement par la Française des Jeux. (...) Passé ces délais, la somme sera versée au Fonds de réserve du jeu correspondant», explique le site de la FDJ. Plus que quelques heures pour devenir millionnaire La Française des jeux a donc lancé un appel pour retrouver ce gagnant. Les joueurs de l'EuroMillions ayant validé leur ticket dans l'Essonne le 20 mai dernier ont encore trois jours pour se manifester. Le code du ticket gagnant est AW 582 7504, et un simple appel au service client de la FDJ suffira pour devenir millionnaire.