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Le Figaro

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«C'est une leçon de vie» : Juju Fitcats révèle ce qui l'a bouleversée sur le tournage de «99 à battre»

ENTRETIEN - Ce jeudi 7 août à 21h10 sur M6 sera lancé le premier épisode du nouveau jeu présenté par la youtubeuse et Éric Antoine. L'occasion d'un entretien avec la jeune femme. Nouveau challenge, à la télévision cette fois-ci, pour celle qui a commencé sur YouTube en créant du contenu fitness. La carrière d'animatrice de Juju Fitcats semble désormais bien lancée. Après avoir remporté les «Traîtres» en 2024, l'épouse de Tibo Inshape, autre youtubeur sport, s'est vue confier par M6 les rênes de l'après-soirée du programme qu'elle a gagné. La chaîne lui a fait confiance. Si bien qu'elle présente dès ce jeudi 7 août aux côtés d'Éric Antoine sa première émission en prime time, «99 à battre» . Le principe du jeu est simple : 100 candidats s'affrontent sur des épreuves tirées de la vie du quotidien. Chaque fois, un ou plusieurs participants arrivés derniers sont éliminés. L'objectif ? Ne pas perdre et être le dernier joueur en lice. Le gagnant se verra offrir un joli chèque de 100.000 euros. Là où le programme s'est démarqué, c'est dans le choix des candidats. Des personnes de tous les âges parmi lesquelles des individus en situation de handicap... Tous sont soumis aux mêmes règles, sans aucun avantage. Pour l'occasion, Juju Fitcats a répondu à nos questions. Publicité TV MAGAZINE. - Pourquoi avez-vous choisi de vous lancer à la télévision ? Juju Fitcats. - Je suis une enfant de la télé. J'ai grandi avec tout un tas d'émissions connues et reconnues sur différentes chaînes, des séries télé, etc. Quand j'étais petite, j'étais persuadée que si je courais très vite, très fort et que je fonçais tout droit dans ma télé, j'allais la traverser et me retrouver de l'autre côté de l'image. Puis j'ai fait mes études et finalement, c'est un rêve qui est devenu inaccessible à mon imaginaire. Démarrer sur YouTube m'a redonné un peu cette possibilité de me dire que ça pourrait arriver. Quelque part, c'est un peu un rêve qui se réalise. Comment avez-vous vécu votre collaboration avec Éric Antoine ? Il a été très généreux et bienveillant pour ma première co-animation et surtout pour un premier prime. C'est agréable d'être avec quelqu'un qui fait tout pour mettre à l'aise. Il n'est pas là pour se mettre en avant. Je ne sais pas si tous les animateurs sont comme ça. Et si les téléspectateurs trouvent qu'on s'amuse face caméra, alors je ne les laisse même pas imaginer à quel point il est drôle en dehors. À lire aussi «99 à battre» : que réserve le nouveau jeu de M6 présenté par Juju Fitcats et Éric Antoine ? Quel parcours d'un candidat vous a le plus touchée ? Publicité J'ai beaucoup d'empathie et de bienveillance pour les personnes qui sont en situation de handicap. Je pense que c'est dû au fait notamment que mon mari a fait beaucoup de vidéos depuis les débuts de sa chaîne YouTube avec des personnes qui ont des maladies handicapantes. Ce sont des personnes qui ont une envie de vivre, de croquer la vie, de se battre. Autant mon conjoint que moi, nous revenons très chamboulés des tournages avec ces personnes-là. Dans «99 à battre», ils se battent au même titre que les autres, dans les mêmes conditions. Ils sont d'ailleurs souvent plus combatifs qu'une personne en bonne santé. C'est une leçon de vie et ça rend l'émission encore plus belle. Quels conseils donneriez-vous à quelqu'un qui veut devenir animateur ? Ne pas être trop perfectionniste parce que si on l'est trop, on finit par ne jamais faire les choses. Ensuite, la spontanéité, être soi-même. C'est pouvoir se dire : «Je pourrai toujours faire mieux, mais à un moment donné, si je veux apprendre, il faut que je me lance et c'est en me lançant et en essayant de faire des choses, avec peut-être parfois quelques erreurs, que finalement je vais progresser et que ça va finir par marcher pour moi».

Le HuffPost France

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Comment Romy de « Secret Story » est devenue la chouchou de cette saison

TÉLÉVISION - Qui d'Ethan, Noah, Anita ou Romy va décrocher le chèque très convoité de 100 000 euros ? À cette question, les téléspectateurs de Secret Story s'apprêtent (enfin) à obtenir la réponse, à l'issue du prime final, ce jeudi 7 août, de la téléréalité emblématique, particulièrement suivie cette année sur TFX. Chez les candidats éliminés, un nom revient. « Romy, c'est un peu l'icône du programme, a confié Constance à nos confrères du site belge Sudinfo. Elle est joyeuse, aimante, géniale, elle aime partager. » Un point de vue partagé par Aïmed, selon qui la jeune femme de 29 ans « mérite de gagner de par sa personnalité ». Si les sondages la donnent au coude à coude avec Ethan, Romy a en tout cas plus que marqué cette saison, depuis son lancement au mois de juin. Originaire de Lille, celle-ci s'est tout de suite démarquée pour son empathie à la diffusion de son portrait pendant le premier prime. « Je n'aime pas voir les gens tristes autour de moi », y confiait-elle. Pour son énergie, aussi. « Qui vient à Secret Story pour enfiler des perles toute la journée avec sa copine ? On vient jouer, on vient tricher. J'ai un secret à défendre et en toute sincérité, j'en suis fière », a-t-elle ajouté, promettant aux téléspectateurs de les faire rire, pleurer et chanter, même s'ils risquaient « peut-être » de la « détester par moments ». Romy victime de racisme Le public est conquis, mais pour une autre partie des Français, ceux qui ne suivent pas encore l'émission, la rencontre avec Romy se fera des semaines plus tard pour des raisons bien moins amusantes : une vague de harcèlement, teintée de commentaires racistes, clichés et micro-agressions, à l'encontre de la jeune femme et d'Anita, une autre candidate noire du programme. « Le jeu peut faire des étincelles, mais cela ne doit en aucun cas bousculer cette safe place qu'est la Maison des Secrets, a insisté la production auprès des habitants. Nous ne tolérerons pas les comportements qui iraient à l'encontre de ces valeurs et nous n'hésiterons pas à intervenir […] pour prendre des mesures disciplinaires ou, si nécessaire, une exclusion du jeu. » Le rappel à l'ordre n'a pas seulement concerné l'intérieur du jeu, il était aussi destiné aux téléspectateurs. Sur les réseaux sociaux, les équipes ont souhaité « insister sur l'importance des valeurs de respect, de tolérance et de bienveillance » en ligne, se disant prêtes à engager des actions en justice contre les auteurs et autrices de « toute campagne de haine ». « Je suis un phénomène viral » La mise au point a fait couler beaucoup d'encre. D'abord, parce qu'une autre des candidates, accusée de s'être moquée à de nombreuses reprises de Romy, s'est dite à son tour harcelée. Mais surtout, parce que le phénomène n'est pas nouveau, comme le souligne le cas précédent d'Ebony pendant la Star Academy, cible de ce que SOS Racisme et La Maison des potes ont dénoncé comme « une vague de haine raciste et sexiste sur les réseaux sociaux ». Sur X (anciennement Twitter), TikTok et même Facebook, le parallèle avec la finaliste du télé-crochet a suscité un grand ralliement autour de Romy, pour qui les gens - téléspectateurs ou non de Secret Story - se sont passionnés par la suite. Il faut dire qu'elle est très touchante, comme en témoigne son émotion en découvrant le secret de Théo. Il a vécu six mois dans sa voiture. Le sien ? « Je suis un phénomène viral. » La jeune femme a fait le buzz il y a de ça quinze ans grâce à une vidéo d'elle, alors adolescente, la montrant déterminée à passer à la télévision pendant un micro-trottoir. Une exposition à double tranchant. « Ça a été brutal pour moi parce que je ne m'attendais pas aux critiques. Je m'en voulais à mort d'être moi », a-t-elle confié à la découverte de son secret. Romayer Romy est sincère, mais aussi spontanée. Plus récemment, une séquence d'elle pendant le live de l'émission a beaucoup circulé. Elle montre la jeune femme en train de partager ses rêves en cas de victoire. Une voiture ? Un voyage en famille ? « Tout coûte cher », a-t-elle lâché. Avant d'ajouter : « Avec 100 000 euros, on peut faire des bons petits trucs, mais dans la France à Macron, c'est un peu complexe. » Oui, Romy est très drôle. Sa bonne humeur fait sourire, y compris Aya Nakamura. La superstar de la musique n'est pas passée à côté de ses insouciantes interprétations de son tube Baddies. « Eh ! Sacrée Romy », a commenté l'interprète de Djadja en légende d'une vidéo sur TikTok. Dans la Maison des secrets, les amitiés se forment, et se défont. Celle que Romy a entretenue avec un autre candidat très apprécié des fans, Mayer, déroge non seulement à la règle, mais a aussi captivé le public. Sur X, il existe un groupe de discussion baptisé Romayer, clin d'œil à la contraction de leurs deux prénoms. Il est suivi par plus 11 000 internautes. Ailleurs sur la toile, on ne compte pas le nombre de mèmes, de détournements bienveillants ou de compilations d'images d'eux ensemble. « Je me doutais que les gens voyaient un peu, suivaient nos histoires et notre relation, mais je ne pensais pas qu'ils aimaient autant notre duo », a confié le compère de Romy à nos confrères de Télé 7 Jours après son départ anticipé. La campagne bat son plein Leur amitié n'a pas toutefois pas été vue d'un bon œil partout. Pendant l'aventure, Aïmed a mis en garde Romy sur l'ambiguïté de leur relation. Même son de cloche sur les réseaux sociaux, comme lorsque le jeune homme a mis son amie sur le même niveau que « sa tata ». Un manque de considération, pour certains. L'illustration classique d'un rejet des femmes noires sur le plan amoureux, pour d'autres. Si le départ de Mayer a laissé un grand vide chez Romy, ses fans, eux, n'ont jamais cessé de faire campagne pour elle. Depuis plusieurs jours, des affiches de la jeune femme - appelant à voter 4 au 72 500 - ont été placardées dans certaines villes, comme à Bordeaux. Des cagnottes ont aussi été créées pour permettre à ceux qui ne le peuvent pas de voter. Même les stars s'y mettent, à l'image de Théodora. L'interprète de KONGOLESE SOUS BBL a partagé en story Instagram (où elle est suivie par plus de 300 000 personnes) une photo d'Annalise Keating, l'héroïne jouée par Viola Davis dans How to Get Away With Murder, suivie du numéro de sa chouchou. C'est la dernière ligne droite.

Le Figaro

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«Koh-Lanta» : des candidats racontent de nouveaux détails sur le tournage annulé en 2018

Sept ans après l'annulation de la saison 19 du jeu d'aventures de TF1, des témoignages inédits se font entendre de la part des protagonistes. Une plainte pour agression sexuelle est toujours entre les mains de la justice. « Le tournage de la nouvelle édition de 'Koh-Lanta' annulé. » Dans la nuit du jeudi 10 au vendredi 11 mai 2018 à minuit pile, Adventure Line Productions avait fait parvenir un communiqué aux médias. Ce jour-là, TF1 s'apprêtait à diffuser quelques heures plus tard le neuvième des onze épisodes de l'édition all stars de « Koh-Lanta, le combat des héros » tourné plusieurs mois auparavant. « Un événement extérieur au jeu est survenu entre deux concurrents au cours de la nuit du quatrième au cinquième jour de tournage d'une nouvelle édition de 'Koh-Lanta' dans le Pacifique, avait raconté la société de production. Cet évènement sur lequel il ne nous appartient pas de faire davantage de commentaires nous a conduits, en concertation avec l'ensemble des équipes sur place, à suspendre le tournage. La production a considéré qu'il était impossible de poursuivre cette nouvelle édition dans conditions suffisamment sereines. » Publicité Que s'est-il passé pour que les équipes d'ALP prennent une décision aussi radicale ? Cinq ans auparavant, le tournage de la saison 13 de « Koh-Lanta » au Cambodge avait été définitivement arrêté à la suite du décès d'un des candidats, Gérald Babin, victime d'une crise cardiaque. Dans l'après-midi du 11 mai 2018, Alexia Laroche-Joubert avait précisé dans un nouveau communiqué qu' « une concurrente a fait état de faits susceptibles de relever d'une agression sexuelle » et que « ces faits sont formellement contestés par le concurrent concerné ». « J'ai estimé en concertation avec les équipes sur place que les conditions de la réalisation de cette nouvelle édition n'étaient plus suffisamment sereines », avait indiqué celle qui était, à l'époque, présidente d'ALP. À lire aussi Assurance, avenir du jeu... Les questions qui se posent après l'annulation de Koh-Lanta Candide Renard et Eddy Guyot devant la justice après « Koh-Lanta » Dès son retour en France, Candide Renard avait déposé plainte contre Eddy Guyot pour des faits d'agression sexuelle qui seraient survenus dans la nuit du 8 au 9 mai 2018 aux Fidji. Une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Nancy. Selon le procureur de la République, François Pérain, la jeune femme âgée de 21 ans à l'époque a déclaré qu' « elle s'était réveillée alors que le mis en cause était en train de l'embrasser sur la bouche, avant de pratiquer des attouchements sous ses vêtements ». « Tout cela est faux », s'était défendu l'homme de 34 ans en racontant sa version des faits dans un entretien au magazine Closer . Si les autres participants de cette édition de « Koh-Lanta » ont été invités à se taire face aux médias, certains ont pris la liberté de parler. Sous couvert d'anonymat, un des membres de l'équipe des Jaunes, un Parisien trentenaire, papa d'une petite fille, avait exprimé sa frustration. « J'ai rapidement vu que certains n'étaient pas là que pour le jeu, la compétition, le sport et l'esprit de l'émission », avait-il déclaré à Var Matin . « Entre concours de muscles, gamineries et simagrées, je trouvais cela insupportable. [...] L'équipe des Bleus (où Candide Renard et Eddy Guyot se sont retrouvés, ndlr), on aurait dit un épisode des 'Anges de la téléréalité'. » Auprès de Télé Star, un autre témoignage anonyme - peut-être de la même personne - parlait d'Eddy Guyot comme de « quelqu'un de bien » et de Candide Renard comme d'un « élément provocateur ». Jimmy Desroches, lui, avait accepté l'invitation de « Touche pas à mon poste! » sur C8 mais sans raconter grand-chose. L'Alsacien Frank Payen, ancien champion de France de karaté et de full-contact, avait évoqué sur Facebook des conditions de jeu difficiles avec des moustiques omniprésents, des journées pluvieuses et des nuits très froides. « Des gens allaient voir le docteur et pensaient à abandonner », a souligné celui qui était dans l'équipe des Rouges. À lire aussi Quand le Koh-Lanta américain était frappé par un scandale sexuel « La production avait voulu écarter Eddy Guyot à deux reprises avant le début du tournage » Hervé Comte Cinq des 21 candidats de cette saison 19 annulée ont eu l'opportunité de revenir dans « Koh-Lanta » : Sam Haliti et Pholien Systermans ont ainsi participé à « Koh-Lanta, l'île des héros » diffusé durant le printemps 2020 sur TF1. Un an plus tard, Aurélien Tesson et Hervé Comte ont pris part à « Koh-Lanta, les armes secrètes ». Et en 2022, c'est Fouzi Ould Bouamama qui est revenu dans « Koh-Lanta, le totem maudit ». Mais aucun d'entre eux n'avait été très bavard auprès des médias pour parler de leur première expérience en 2018 aux Fidji. Publicité Sept ans après l'incident, les langues se délient. Sur la chaîne YouTube de Claym & Co, un passionné de l'émission, plusieurs protagonistes de la saison 19 ont raconté ce qu'ils avaient vécu aux Fidji. Membre de l'équipe de Rouges, auprès de Candide Renard et d'Eddy Guyot, Hervé Comte se souvient que ce dernier était « ingérable » durant le voyage vers l'archipel. « La production avait voulu l'écarter à deux reprises avant le tournage mais ils avaient fini par le garder parce qu'il allait faire le buzz », a-t-il déclaré en le comparant à Moundir à ses débuts en 2003. L'abandon de Sam, future star de « Koh-Lanta, l'île des héros » Durant les quatre premiers jours, les 21 candidats avaient vécu le scenario qui avait été reconduit par la suite dans « Koh-Lanta, la guerre des chefs ». Dès leur arrivée, ils avaient tous participé à l'épreuve des poteaux, les trois gagnants devenant chef d'équipe : Sam Haliti avait devancé Jimmy Desroches et Charlotte. Après une nuit tous ensemble sur la même plage, les trois tribus avaient été constituées : Chez les Rouges, Sam avait choisi Aurélien Tesson, Fouzi Ould Bouamama, Frank Payen ainsi que Florence, Mélanie et Sarah. Chez les Jaunes, Jimmy Desroches avait pris Pholien Systermans, Alain Lecluse ainsi que Rémi, Célia, Marie-Noëlle et Sylvie. Chez les Bleus, Charlotte avait fait équipe avec Hervé Comte, Eddy Guyot, Candide Renard ainsi que Fabien, Aurélie et Joséphine. « Sam était devenu chef d'équipe mais il s'était blessé et avait dû abandonner avant l'arrêt du tournage, juste après le premier conseil », a raconté Hervé. Autre témoignage, celui d'Alain Lecluse dont le visage était jusqu'à maintenant totalement inconnu. « Après les poteaux, nous avions eu le temps de faire deux épreuves. Avec les Jaunes, nous avions fini dernier de celle d'immunité et gagné celle de confort », s'est-il souvenu. Lors du premier conseil, Sylvie, doyenne du casting, avait été éliminée puis avait profité de l'abandon de Sam pour rejoindre l'équipe des Rouges. « Nous étions restés enfermés pendant six jours à l'hôtel avant le tournage » Alain Lesage Le lancement du tournage avait pris du retard à cause de la météo et les candidats avaient dû patienter plus longtemps que prévu dans le huis clos de leur hôtel, sans contact avec l'extérieur. « Nous étions restés enfermés pendant six jours », a ajouté Alain Lecluse. Une situation qui avait créé du mal-être, de l'impatience et de la nervosité chez les uns et les autres. « Sportivement, le casting était solide, la saison était prometteuse », a ajouté l'ancien boxeur de 57 ans qui a eu maille à partir avec Jimmy. Les détails de l'incident survenu sur le camp des Rouges dans la nuit du quatrième au cinquième jour de tournage restent confidentiels tant que la justice n'a pas tranché. Le 16 novembre 2022, Eddy Guyot a été mis en examen selon une information révélée l'an dernier par nos confrères du Parisien. Présumé innocent et dans l'attente d'un éventuel procès, il a vu sa requête en annulation de la mesure être rejetée par la chambre d'instruction de la cour d'appel de Nancy le 14 mars 2024.