
Marine Lorphelin amoureuse en Turquie, Hugo Manos en solo en Grèce... Où partent les stars télé en vacances ?
Le mois de juillet bat son plein et les stars du petit écran aussi prennent des vacances. En couple, en famille ou encore entre amis, elles profitent de l'été 2025 à la campagne, sur la plage ou encore en dehors de nos frontières.
Anaïs Grangerac a elle aussi goûté aux congés mais cette fois avec des amis. L'animatrice de TF1 œuvrant dans «The Voice» mais aussi «Ninja Warrior» a profité de quelques jours de repos pour partir en Ardèche. «Si reconnaissante pour ces quelques jours magiques entre amis», déclare-t-elle en story Instagram tout en expliquant que le lieu occupé, en pleine campagne ardéchoise, n'était pas à louer. «Au risque de décevoir beaucoup de monde car j'ai reçu beaucoup de demandes», explique-t-elle. Et on les comprend. Entre biches, lavandes et feu de bois, l'endroit en question dispose d'une terrasse surplombant les montagnes de la région.
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Escales en France
L'animatrice de France Télévisions, Laury Thilleman, ayant récemment repris les rênes de l'émission «Rendez-vous en terre inconnue», est quant à elle de retour dans l'Ouest où elle s'adonne à son sport favori : le surf. «Batterie en cours de chargement», mentionne la jeune femme en légende d'une vidéo réalisée au drone où les internautes la découvrent en pleine session de surf. Amandine Petit, Miss France 2021, a déserté la Normandie chère à son cœur pour mettre le cap sur la Corse. «Mode vacances chill & relax», souligne-t-elle tandis qu'elle partage des images de la maison occupée à Porticcio, près d'Ajaccio.
Kelly Vedovelli prend le soleil dans le sud de la France, du côté de Saint-Tropez. Château de la Messadière, terrasse du Sénéquier ou encore place des Lices, l'ancienne chroniqueuse de «Touche pas à mon poste» n'a manqué aucun des spots incontournables de la côte méditerranéenne. Sa consœur de l'émission de Cyril Hanouna, Géraldine Maillet, se trouve non loin d'elle, à Nice. Après quelques jours aux États-Unis entre Las Vegas et New York, c'est sur la Côte d'Azur que la romancière et chroniqueuse se détend. «Escaliers, parasol et cappuccino», résume-t-elle tandis que ses abonnées lui souhaitent de passer des bonnes vacances.
Marine Lorphelin, médecin et animatrice, est partie vers des horizons à la croisée des chemins entre l'orient et l'occident avec son compagnon, Stan Gruau. Les deux amoureux ont opté pour la Turquie. «On cherchait à vivre un dépaysement, sans partir trop loin, on cherchait de la chaleur, on voulait retrouver la Méditerranée et surtout on voulait de la diversité. Dans la culture, dans les paysages, dans le mode de vie», partage-t-elle sous une publication regroupant plusieurs clichés de leur séjour. Sur une plage faisant du kite ou dans la basilique Sainte Sophie d'Istanbul, la Miss France 2013 a alterné entre panoramas sauvages et découvertes citadines. «Si vous voulez mon retour d'expérience, des reco de lieux / visites je vous partage cela en commentaires», a-t-elle proposé à sa communauté avant de leur souhaiter : «Belles vacances estivales à vous tous !»
Elle n'est pas la seule à avoir pris un avion à destination d'un pays européen. Un peu plus à l'ouest, juste en face de la Turquie, le chroniqueur Hugo Manos a lui jeté son dévolu sur la Grèce. Et plus précisément l'une des îles des Cyclades, Mykonos. L'ex-compagnon de Laurent Ruquier explore ce coin de paradis depuis près de trois semaines déjà. Il y a d'ailleurs établi une véritable routine, au point de partager à ses followers son quotidien dans une vidéo sur Instagram. Réveil, préparation, plage, sport,... ses abonnés ont ainsi pu découvrir sa «journée type».
Non loin de là, le YouTubeur Sam Zirah passe également ses vacances sur l'archipel grec. Après Mykonos, il a rejoint Syros puis Paros à bord d'un catamaran accompagné de sa meilleure amie.
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Ariane Brodier est quant à elle en famille sur l'île Grecque de Corfou depuis deux jours. Et comme à son habitude, l'animatrice et chroniqueuse use de second degré en partageant le programme de ses vacances à ses abonnés. «Il y a des gens en vacances qui bronzent, font des activités sportives. D'autres sont là pour visiter. Moi ma famille, elle pêche», lance-t-elle avec autodérision en ajoutant : «On est sur des heures de pêche. Il faut qu'il y ait des rochers et il faut que ça pêche. Pourquoi pas ? Mais du coup, jamais on s'assoit, jamais on se met sur un transat.»
Quelques heures de vol les séparent de Jean-Marc Morandini . Après un séjour en Corée du Sud, l'homme de médias a embarqué depuis Paris à destination des Seychelles. «Une certitude ce n'est pas l'affluence de la Côte d'Azur», confie-t-il sous une de ses nombreuses publications. Entre traditions, exploration et découverte des tortues locales, l'animateur de CNews affirme être «au paradis».
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Les inavouables de l'été : «Au bout de 36 heures avec eux, j'avais des envies de meurtre»
On peut aimer ses amis, mais redouter les vacances en leur compagnie, surtout par 30 degrés. Hyperactifs, radins ou accros à la plancha, certains révèlent un tout autre visage sous le soleil estival. Témoignages de ceux que les séjours en bande rendent fous. «Je suis entré dans un cercle vicieux il y a 25 ans, et je n'ai plus jamais réussi à m'en extraire !», s'esclaffe sans aigreur Vincent, 56 ans, qui ne pensait pas, en louant avec deux couples d'amis une jolie villa bretonne en juillet de l'an 2000, signer un bail emphytéotique pour des vacances à six. «Nos façons de vivre sont radicalement opposées, et ce qui nous passait au-dessus il y a 20 ans, quand les enfants étaient encore petits et parfaits pour faire diversion, nous paraît aujourd'hui insupportable», confesse-t-il. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Chaque année, la location est reconduite de façon tacite, et le chef d'entreprise et sa femme ont eu beau déployer des trésors de stratégie au fil des ans, impossible d'échapper à un projet pour lequel les autres parties sont prêtes à toutes les concessions. «On a dit qu'on voulait voir autre chose, qu'on ne pouvait qu'en septembre ou en avril, que du jeudi au jeudi, rien ne les rebute. On est coincés, soupire Vincent. Et je le jure, on les adore, mais le temps d'une bonne soirée. C'est évidemment impossible à formuler... Donc devinez avec qui nous partons cet été ? ». Publicité Ce classique du genre fait les délices de la presse estivale qui, se saisissant héroïquement du sujet, envoie un journaliste (coucou !) sommer un psychologue (le sien ?) de guider les malheureux en quête d'aiguillage. Avec, à la clé, des analyses décoiffantes («Les vacances entre amis peuvent bien se passer, mais l'expérience risque aussi de s'avérer décevante»), mais aussi des injonctions délicieusement contradictoires («Affirmez vos besoins tout en laissant la place à ceux des autres»), de quoi s'assurer une patientèle ravagée au cabinet dès septembre. «Je préfère partir en famille !» «Quand on est chez ses beaux-parents, on sait qu'il y a un potentiel de pénibilité ! Alors qu'entre amis, tu as une forme d'injonction à passer un moment 'cool"» Viks_jin - Loin d'arranger les choses, les instituts de sondage nous jettent au visage des statistiques paradoxales, affirmant par exemple (1) que 46 % des Français interrogés considèrent que le choix des activités doit se faire librement lors de vacances entre amis… Et, la seconde d'après, ajoutent que 43 % d'entre eux estiment qu'entre amis, on doit tout partager. Comment s'étonner ensuite que certains séjours virent au carnage ? Tiphaine, elle, vient de faire une croix sur ce genre d'aventures. «J'ai eu droit à tout ces dernières années ! Celle qui veut que l'on prenne une jeune fille au pair pour les enfants mais décide qu'elle la déteste et refuse de lui adresser la parole, celui qui a commencé un 'jeûne détox' la veille du départ, refuse de passer à table et n'en fout pas une sous prétexte d'être épuisé», liste rageusement l'avocate nantaise. «On a aussi eu des potes qui se sont pris la tête au sujet de leurs enfants mais en restant super calmes, avec des échanges passifs agressifs de haute volée, c'était l'enfer… Au bout de 36 heures avec eux, j'avais des envies de meurtre !» Une version des faits confirmée par Aurélien, son mari, qui tient à ajouter : «Finalement, je découvre que je préfère partir dans la famille ! Les points de crispation sont à peu près les mêmes, mais on peut s'engueuler sans que ça ne tourne forcément au drame. 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Du football au vin : Jean Tigana et sa fille Canelle, une histoire de transmission à Cassis
Pour cette nouvelle série d'été, Le Figaro vous emmène à Cassis, appellation viticole située autour du village éponyme, dans un décor de calanques et d'eau turquoise. À l'instar de nombreux sportifs de haut niveau, c'est à la faveur d'une retraite précoce que le célèbre footballeur international Jean Tigana aura pu satisfaire sa passion pour le vin, et acquérir ainsi une propriété de 14 hectares de vignes sur les hauteurs de Cassis, exposés plein ouest. En cette fin d'après-midi, il nous accueille aux côtés de sa fille Canelle, revenue au domaine après avoir voulu embrasser une carrière dans la musique classique. «Durant toute mon enfance, j'ai suivi mon père aux quatre coins du monde. Nous avons vécu en Chine, en Turquie, au Royaume-Uni, à Bordeaux… Le point de ralliement entre deux destinations a toujours été Cassis», se souvient-elle. Au départ, elle pensait ne faire que passer. Quelques saisons de vendanges, un projet d'œnotourisme… Mais au fil des mois, elle finit par s'y ancrer. «Je ne connaissais rien à la vigne. Je venais du monde de la musique classique. Mais, peu à peu, ça m'a happée.» À découvrir Découvrez toutes les dates des foires aux vins d'automne 2025 Domaine la Dona Tigana : esprit de clan Accéder au diaporama (3) Aujourd'hui, La Dona Tigana est l'une des rares propriétés de l'appellation à ne pas avoir été transmise de génération en génération et assume ouvertement des vins, dont le profil aromatique étonne par sa singularité : «Nous n'avons pas le côté iodé de ceux qui sont installés à flanc de falaise. Ici, les blancs sont très floraux, les rosés davantage portés sur les agrumes, avec un élevage sous bois qui les rend plus puissants, plus complexes.» Si elle souhaite à terme leur apporter plus de douceur, elle consacre encore le plus clair de son temps à organiser les événements et les réceptions qui rythment le quotidien du domaine : «J'ai conscience de vivre en permanence dans une atmosphère de fête, de vacances, mais il faut savoir rester attentif, et connaître ses propres limites. Paradoxalement, je bois très peu. Il faut aimer son produit, mais il ne faut pas en devenir le premier client», admet-elle d'un air confiant. Publicité Retrouvez tous les épisodes de notre série sur Cassis, l'appellation la confidentielle de la Provence LES AUTRES ÉPISODES En fine observatrice, Canelle suit le maître de chai dans toutes les étapes de la vinification, tout en reconnaissant qu'il ne s'agit pas là de son cœur de métier. Avec toutefois l'ambition de produire un jour son propre rouge, à base de mourvèdre, de cinsault et de grenache : «Je suis une inconditionnelle de châteauneuf-du-pape ; je déguste régulièrement les vins des autres, afin de voir comment ils évoluent, et comment je me situe.» Une approche dénuée de tout esprit de compétition : «Nous avons la chance d'être une appellation très familiale, avec une nouvelle génération qui se réunit tous les mois. Nous nous appelons en cas de problème, nous nous prêtons des machines… Nous nous connaissons depuis l'enfance.» À lire aussi À Cassis, des vins blancs magnifiques bientôt incontournables en Provence et au-delà Tout comme la plupart des domaines alentour, la grande majorité de la distribution de La Dona Tigana reste concentrée autour de Cassis, même si Canelle ne cache pas son ambition d'élargir son périmètre à Nice, à Saint-Tropez et à Paris. «Aujourd'hui, je ne me verrais pas repartir. Ici, on vit comme les pieds-noirs, s'esclaffe-t-elle en fermant boutique. On est un véritable clan.»