
Mettez-vous au sport avec la Morphée Flow, la box qui remplace un coach personnel
La rédaction de L'Equipe n'a pas participé à l'écriture de cet article.
Vous avez envie de reprendre le sport sans contrainte, mais vous manquez de temps ou de motivation ? La Morphée Flow est pensée pour vous. Cette petite box connecte corps et esprit grâce à 256 séances guidées de sports doux. Pratique, nomade et sans écran, elle s'adapte à votre rythme et à vos besoins.
La Morphée Flow : un coach toujours disponible
La Morphée Flow est une véritable salle de sport miniature. Avec ses 256 séances audios guidées, elle accompagne tous ceux qui souhaitent bouger en douceur, gagner en énergie ou simplement prendre soin d'eux. En collaboration avec Major Mouvement et une équipe d'experts, Morphée a conçu un programme complet qui mixe activité physique et relaxation. Yoga, pilates, stretching ou encore auto-massage : chaque discipline est expliquée et guidée avec clarté.
Les 3 raisons de craquer pour la Flow :
- 256 séances variées : un contenu riche pour ne jamais se lasser.
- Guidée par des experts : sécurité et efficacité garanties.
- Accessible à tous : adaptée aux débutants comme aux plus expérimentés.
Disponible en exclusivité à 79,95 €, c'est une alternative idéale à l'abonnement classique en salle.
8 disciplines pour varier les plaisirs
La force de la Morphée Flow réside dans sa diversité. Vous y trouverez 8 sports doux : yoga doux, yoga dynamique, pilates, souplesse, stretching, auto-massage, réveil musculaire et renforcement. Chaque séance est pensée pour équilibrer mouvement et détente. On peut cibler une zone du corps, choisir une intensité et ajuster la durée. C'est une approche simple, qui enlève toute charge mentale : on appuie, on choisit, on profite.
Les 3 points forts de la variété des disciplines :
- Travail global : renforce, assouplit et détend.
- Adaptabilité : séances courtes ou longues selon vos envies.
- Progression douce : permet d'évoluer sans pression.
Avec Flow, il devient simple de se créer une routine sportive régulière, même quand le temps est compté.
Une box de sport pratique et intuitive
Pas besoin d'écran ni d'application compliquée. La Morphée Flow se présente comme un petit boîtier nomade avec haut-parleur intégré. Vous choisissez votre séance grâce à des molettes très simples : discipline, zone du corps, durée. Puis la box s'occupe du reste et s'éteint automatiquement à la fin. Pas de distraction numérique, pas de notifications, juste vous et votre pratique.
Les 3 atouts pratiques de la box :
- Nomade : facile à emporter en voyage, en vacances ou au bureau.
- Sans onde, sans écran : pour rester concentré sur vos sensations.
- Utilisation simple : pas besoin de connexion ni de compte.
À seulement 79,95 €, c'est un outil pratique qui encourage vraiment la régularité.
Conçue pour s'intégrer à votre quotidien
La Morphée Flow s'adapte à votre emploi du temps grâce à ses formats de séances modulables de 10, 15, 30 ou 40 minutes. Vous n'avez que dix minutes le matin ? Optez pour un réveil musculaire rapide. Vous avez besoin de décompresser après le travail ? Lancez un stretching ou une séance de yoga doux. Son autonomie de 3 heures permet plusieurs sessions sans recharge et elle se recharge facilement en une heure via USB.
Les 3 bénéfices au quotidien :
- Flexibilité : choisissez la durée adaptée à votre moment.
- Recharge rapide : toujours prête quand vous l'êtes.
- Intégration facile : devient vite un réflexe bien-être.
Morphée, une marque déjà incontournable du bien-être
Depuis 2017, Morphée séduit avec ses objets déconnectés dédiés au bien-être et au sommeil. Après Morphée sommeil, Mon Petit Morphée ou encore Morphée Zen, la marque accompagne aujourd'hui plus de 800 000 personnes. Avec la Flow, elle poursuit son engagement : proposer des outils simples, accessibles et nomades, pour aider chacun à prendre soin de soi.
La Morphée Flow est bien plus qu'une box de sport : c'est un compagnon de remise en forme, toujours disponible, sans contrainte et sans écran. Avec ses 256 séances audio et ses 8 disciplines, elle remplace efficacement un coach, tout en s'intégrant à votre rythme. Pour aller encore plus loin, vous pouvez aussi découvrir Morphée Zen, le galet de relaxation qui complète parfaitement la Flow.
Contenu sponsorisé. Certains liens de cet article sont trackés et peuvent générer une commission pour L'Equipe. Les prix mentionnés le sont à titre indicatif et sont susceptibles d'évoluer.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le HuffPost France
11 minutes ago
- Le HuffPost France
À Paris, la baignade dans la Seine n'a rendu personne malade selon l'ARS, une victoire pour la mairie
PARIS - Comment vont les plus de 80 000 baigneurs qui sont allés nager dans la Seine cet été ? Plutôt bien, à en croire l'Agence régionale de santé (ARS) d'Île-de-France qui a fait part de son premier bilan ce jeudi 21 août, alors que « la saison de baignade n'est pas encore finie ». Sur les milliers de personnes qui ont barboté dans le fleuve depuis l' ouverture des sites de baignade en juillet, on ne compte aucun malade, ont indiqué les autorités sanitaires à BFMTV et à Radio France. « Aucun évènement indésirable grave d'ordre infectieux [bactériologique ou viral] occasionné par une baignade dans la Seine pendant la période de surveillance estivale n'a été signalé cet été », a fait savoir l'ARS. La nouvelle a évidemment réjoui la mairie de Paris Anne Hidalgo, beaucoup critiquée sur la faisabilité des sites de baignade et sur la propreté de l'eau. Le bilan très positif de l'ARS « n'est pas une surprise », a réagi l'adjoint aux Sports Pierre Rabadan, interrogé par BFMTV. « Nous avons mis en place avec l'ARS un protocole de surveillance extrêmement fin, une surveillance quotidienne, quasiment heure par heure », a-t-il insisté. « Il était clair qu'on ne prendrait aucun risque, comme nous l'avons fait l'année dernière pour les athlètes » lors des Jeux olympiques. « On a réussi à faire taire les mauvaises langues » Anne Hidalgo s'était félicitée de l'ouverture des sites de baignade dans la Seine dans un message sur ses réseaux sociaux le 5 juillet, saluant « un moment historique » pour la capitale, « 100 ans après [l']interdiction » de la baignade dans le fleuve. Certains internautes dans les commentaires ne se privaient alors pas de critiquer l'initiative, arguant que les sites seraient pollués par « l'eau de la rue et des égouts » ou évoquant une activité « sponsorisée par Smecta ». « On a réussi à mettre en place ces trois lieux de baignade et à faire taire les mauvaises langues », s'est réjoui Pierre Rabadan, reconnaissant auprès de BFMTV que le « doute » du public était raisonnable et qu'il a fallu gagner sa confiance. L'adjoint aux Sports a répété que le « principe de précaution » était resté la priorité de la mairie, au point où le choix a été fait de « fermer la baignade » certains jours où « la qualité de l'eau était finalement suffisamment bonne ».


Le Figaro
40 minutes ago
- Le Figaro
Le sport féminin est-il suffisamment mis en avant par les chaînes de télévision en France ?
Vous avez choisi de refuser les cookies Et pourtant, la publicité personnalisée est un moyen de soutenir le travail de notre rédaction qui s'engage à vous proposer chaque jour une information de qualité. À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton 'paramétrer les cookies' en bas de page.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Luc Ferry : «Sur l'origine de la métaphysique et des religions»
Réservé aux abonnés CHRONIQUE - Pour notre chroniqueur, les discussions estivales sur l'origines des religions sont l'occasion de relire l'œuvre de Schopenhauer. Cet été, dîner amical chez un médecin qui, sans doute pour me faire plaisir (ou me mettre à contribution…), lance un débat sur les origines de la métaphysique et de la religion. L'idée qu'il expose devant ses invités a au moins le mérite d'être originale : la religion aurait été selon lui inventée pour légitimer la monogamie afin que les hommes cessent de se battre entre eux pour accumuler les conquêtes féminines. À titre de preuve, il évoque la guerre de Troie, qui commence, c'est du reste exact, par l'enlèvement de la belle Hélène par Paris, le pauvre Ménélas, son mari et roi de Sparte, n'ayant pas d'autre solution que de mobiliser les autres rois grecs pour aller reconquérir sa femme, quitte à entrer en guerre contre les Troyens. Il s'agirait donc de mettre fin à ces « guerres viriles ». À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Je lui fais observer qu'il existe encore aujourd'hui de nombreuses religions dans le monde qui autorisent la polygamie et qu'à mon sens l'origine des grandes spiritualités est bien davantage…