
Autonomie supérieure, caméra ultra-claire : ce smartphone Honor X6b à moins de 90 euros fait l'unanimité
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Pour vous accompagner tout au long de la journée,
le Honor X6b
disponible sur Cdiscount embarque une batterie de 5200 mAh, compatible avec la charge Honor SuperCharge 35W : 10 minutes suffisent ainsi pour la recharger à 20%, ce qui est suffisant pour vous tirer d'un mauvais pas. Pour la photo, vous retrouvez à l'arrière une double caméra, avec un capteur principal de 50 mégapixels, et une caméra de profondeur de 2 mégapixels : cela vous permet de prendre des portraits en mode Beauté et Bokeh, mais aussi de faire des Time-Lapse. À l'avant, une caméra de 5 mégapixels est disponible, pour prendre vos selfies, passer vos appels vidéo, ou encore utiliser la reconnaissance faciale. Enfin, sachez que ce smartphone prend en charge le Bluetooth et offre un port jack 3.5 mm.
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IA : Meta va investir des centaines de milliards de dollars supplémentaires pour construire une « superintelligence »
Face à la concurrence, Meta entend rattraper son retard. Son patron Mark Zuckerberg veut investir des « centaines de milliards de dollars » dans des infrastructures d' intelligence artificielle (IA), dernière annonce d'investissement majeure en vue de parvenir à son objectif affiché, construire une « superintelligence ». « Nous sommes en train de construire des réseaux informatiques de plusieurs gigawatts de puissance », s'est-il réjoui lundi dans un message publié sur ses réseaux sociaux Facebook et Threads . Ces centres de données d'une toute autre dimension que ceux existant déjà pour abriter les serveurs du cloud ( informatique à distance ) sont conçus spécifiquement pour entraîner et héberger les modèles d'IA générative. Ces derniers nécessitent une énorme puissance de calcul, et donc des puces informatiques de pointe et beaucoup d'énergie. Meta a pris du retard dans l'IA générative, dominée par OpenAI, depuis le lancement de ChatGPT , et Google. Tous les leaders du secteur ont en ligne de mire une IA dite « générale », ou « superintelligence », aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, capable de faire des découvertes scientifiques et d'inventer elle-même des technologies. « Le premier ( réseau informatique ), que nous appelons Prometheus, sera mis en service en 2026. Nous construisons aussi Hyperion, qui pourra atteindre une capacité de 5 gigawatts au fil des années », a indiqué Mark Zuckerberg. Une puissance de 5 gigawatts représente l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 1 à 4 millions de foyers américains. Mi-juin, le géant des réseaux sociaux a déboursé plus de 14 milliards de dollars pour acquérir 49 % du capital de Scale AI, spécialisé dans la mise en état de données utilisées pour développer les modèles d'IA. Selon le patron d'Open AI, Sam Altman , Meta a par ailleurs offert une prime individuelle à la signature de plus de 100 millions de dollars à « beaucoup » d'employés d'OpenAI et environ le même montant annuel en salaire. Mark Zuckerberg a ensuite confirmé dans un memo interne que pas moins de sept d'entre eux avaient changé d'écurie, tout comme le directeur général de Scale AI, Alexandr Wang, et plusieurs éléments des rivaux Anthropic et Google. Le milliardaire a répété lundi qu'il comptait constituer « l'équipe la plus élitiste et la plus dense en talents de toute l'industrie », et qu'elle disposerait « d'un niveau de puissance de calcul sans équivalent dans le secteur ». « Nous disposons du capital issu de nos activités pour le faire », a-t-il assuré. Le dernier grand modèle d'IA de Meta, Llama 4, lancé début avril , a déçu. Il arrive derrière tous les poids lourds, américains, chinois et français, dans le classement établi par la plate-forme d'évaluation indépendante LMArena sur l'écriture de code, et même derrière son prédécesseur Llama 3 pour l'interface texte.


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Meta va investir des centaines de milliards de dollars supplémentaires dans des infrastructures IA
Le patron de Meta Mark Zuckerberg veut investir des «centaines de milliards de dollars» dans des infrastructures d'intelligence artificielle (IA), dernière annonce d'investissement majeure en vue de parvenir à son objectif affiché, construire la «superintelligence». «Nous sommes en train de construire des réseaux informatiques de plusieurs gigawatts de puissance», s'est-il réjoui lundi dans un message publié sur ses réseaux sociaux Facebook et Threads. Ces centres de données d'une toute autre dimension que ceux existant déjà pour abriter les serveurs du cloud (informatique à distance) sont conçus spécifiquement pour entraîner et héberger les modèles d'IA générative. Ces derniers nécessitent une énorme puissance de calcul, et donc des puces informatiques de pointe et beaucoup d'énergie. Meta a pris du retard dans l'IA générative, dominée par OpenAI, depuis le lancement de ChatGPT, et Google. Publicité Tous les leaders du secteur ont en ligne de mire une IA dite «générale», ou «superintelligence», aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, capable de faire des découvertes scientifiques et d'inventer elle-même des technologies. «Le premier (réseau informatique), que nous appelons Prometheus, sera mis en service en 2026. Nous construisons aussi Hyperion, qui pourra atteindre une capacité de 5 gigawatts au fil des années», a indiqué Mark Zuckerberg. Une puissance de 5 gigawatts représente l'équivalent de la consommation annuelle en électricité de 1 à 4 millions de foyers américains. Mi-juin, le géant des réseaux sociaux a déboursé plus de 14 milliards de dollars pour acquérir 49% du capital de Scale AI, spécialisé dans la mise en état de données utilisées pour développer les modèles d'IA. Selon le patron d'Open AI, Sam Altman, Meta a par ailleurs offert une prime individuelle à la signature de plus de 100 millions de dollars à «beaucoup» d'employés d'OpenAI et environ le même montant annuel en salaire. Mark Zuckerberg a ensuite confirmé dans un memo interne que pas moins de sept d'entre eux avaient changé d'écurie, tout comme le directeur général de Scale AI, Alexandr Wang, et plusieurs éléments des rivaux Anthropic et Google. Le milliardaire a répété lundi qu'il comptait constituer «l'équipe la plus élitiste et la plus dense en talents de toute l'industrie», et qu'elle disposerait «d'un niveau de puissance de calcul sans équivalent dans le secteur». «Nous disposons du capital issu de nos activités pour le faire», a-t-il assuré. Le dernier grand modèle d'IA de Meta, Llama 4, lancé début avril, a déçu. Il arrive derrière tous les poids lourds, américains, chinois et français, dans le classement établi par la plateforme d'évaluation indépendante LMArena sur l'écriture de code, et même derrière son prédécesseur Llama 3 pour l'interface texte.


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