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La Suisse, futur adversaire de l'Espagne à l'Euro féminin, annule son entraînement à cause d'une maladie
La Suisse, futur adversaire de l'Espagne à l'Euro féminin, annule son entraînement à cause d'une maladie

L'Équipe

time15-07-2025

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La Suisse, futur adversaire de l'Espagne à l'Euro féminin, annule son entraînement à cause d'une maladie

À trois jours de son quart de finale contre l'Espagne à l'Euro féminin (vendredi, 21 heures), la Suisse a dû annuler son entraînement ce mardi. Plusieurs joueuses du groupe présenteraient des symptômes d'un rhume. Les Suissesses ne se sont pas entraînées ce mardi, trois jours avant leur quart de finale contre l'Espagne à l'Euro féminin (vendredi, 21 heures). « La session d'entraînement d'aujourd'hui (mardi) a été reportée à demain (mercredi). Le contexte : ces derniers jours, plusieurs joueuses ont ressenti les symptômes d'un rhume », a précisé la Fédération suisse dans un message envoyé aux médias sur WhatsApp. Les joueuses ont ainsi droit à un jour de repos, et reprendront l'entraînement mercredi. Pays hôte de cet Euro, la Suisse a terminé deuxième du groupe A et s'est qualifiée en quarts de finale pour la première fois de son histoire. Les coéquipières d'Alisha Lehmann, joueuse et influenceuse, affronteront l'Espagne, championne du monde en titre et parmi les nations favorites pour le titre européen, une équipe qu'elles n'ont pas battu depuis 2012.

La Nati a pris un bain de foule avant son duel contre l'Espagne
La Nati a pris un bain de foule avant son duel contre l'Espagne

24 Heures

time13-07-2025

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La Nati a pris un bain de foule avant son duel contre l'Espagne

Accueil | Sports | Euro 2025 | Qualifiée pour un quart de finale historique à l'Euro 2025 contre l'Espagne, l'équipe de Suisse s'est entraînée devant près de 4000 fans dimanche à Berne. Publié aujourd'hui à 19h25 Leila Wandeler (à gauche) et Alisha Lehmann ont été accueillies par de nombreux fans dimanche à Berne dans un entraînement ouvert au public avant le choc de vendredi contre l'Espagne. Urs Lindt/freshfocus En bref: Dimanche en fin d'après-midi, le stade du Neufeld à Berne était en effervescence. Non pas pour un match, mais pour un entraînement. Celui de l'équipe nationale féminine, six jours avant son quart de finale historique contre l'Espagne (vendredi à 21 h), tenante du titre mondial et grande favorite du tournoi européen. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. La journée avait pourtant commencé sur une note amère: l'UEFA annonçait qu'aucun billet supplémentaire ne serait mis en vente pour le choc de vendredi au Wankdorf. Une déception pour les nombreux supporters à la recherche d'un précieux sésame, lesquels ont toutefois trouvé dans cette session publique un précieux lot de consolation. Ils étaient près de 4000 fans, dont de nombreux enfants, à avoir effectué le déplacement pour acclamer les internationales helvétiques. Alayah Pilgrim s'est prêtée au jeu des selfies dimanche à Berne devant un public conquis. Urs Lindt/freshfocus Un «Miracle de Berne» vendredi contre l'Espagne? Accueillies dans une ambiance chaleureuse, les joueuses de la Nati, de retour sur le terrain après une journée de repos bien méritée, ont savouré ce moment de communion. Lia Wälti, capitaine exemplaire, Sydney Schertenleib, révélation du tournoi, Alisha Lehmann, star médiatique et icône des réseaux, Géraldine Reuteler, le moteur de l'équipe, ainsi que leurs coéquipières ont enchaîné autographes et selfies, tout sourire, avec une foule conquise. Jamais le lien entre la sélection helvétique et le public n'a semblé aussi fort, et la popularité de l'équipe nationale ne cesse de grandir. Héroïne suisse jeudi dernier au Stade de Genève avec son but décisif, l'attaquante Riola Xhemaili a été très courtisée par les fans dimanche. Urs Lindt/freshfocus Depuis le début de l' Euro 2025 , la Nati surprend, captive et fédère. Jeudi dernier à Genève, le but salvateur de Riola Xhemaili dans les arrêts de jeu face à la Finlande a fait vibrer tout un pays. Désormais, tous les regards se tournent vers le Wankdorf. Le «Miracle de Berne» aura-t-il lieu en 2025, face à l'étincelante Roja? Le défi est gigantesque. Mais toute la Suisse veut y croire. Euro 2025: Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Cyrill Pasche est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, La Tribune de Genève et Le Matin Dimanche. Il couvre en particulier l'actualité du hockey sur glace suisse et international, l'athlétisme ainsi que les Jeux olympiques d'été et d'hiver. Plus d'infos @c9pasche Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pourquoi l'Euro va gonfler le porte-monnaie des Suissesses
Pourquoi l'Euro va gonfler le porte-monnaie des Suissesses

24 Heures

time10-07-2025

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Pourquoi l'Euro va gonfler le porte-monnaie des Suissesses

Accueil | Sports | Euro 2025 | Certaines footballeuses suisses vont gagner plus en un Euro qu'en une saison entière dans leur club. De quoi faire basculer leur vie. Publié aujourd'hui à 08h24 Toutes les joueuses suisses ne gagneront pas la même chose à la fin de l'Euro. Mais toutes sont assurées de recevoir un montant loin d'être anodin pour la majorité d'entre elles. BASTIEN GALLAY / GALLAYPHOTO En bref: La somme exacte qui tombera sur le compte en banque de chacune des joueuses de l'équipe de Suisse à l'issue de l'Euro tient encore du mystère. Plusieurs paramètres entrent en compte pour mieux brouiller les pistes. L'identité de la joueuse en question en est un, aussi bien que le stade de la compétition auquel la Suisse parviendra à se hisser. Mis à part peut-être pour Alisha Lehmann, multimillionnaire grâce à sa notoriété sur les réseaux sociaux, le chèque qui leur reviendra a le pouvoir d'ajouter un confort notable à leur vie. Voire de la changer. Le dernier rapport annuel de la FIFA, couvrant l'année 2024, donne une première idée de ce que touche une footballeuse professionnelle: 9'300 francs en moyenne. Par année. Il faut considérer que les internationales suisses, en leur qualité de meilleures joueuses du pays, sont globalement mieux loties. Ce qui ne veut pas toujours dire bien loties. En Suisse, certaines internationales touchaient des cacahuètes Un large tour d'horizon de la situation des sélectionnées suisses réalisé par «Watson» pose des chiffres sur les disparités qui les séparent. Si Nadine Böhi ou Noemi Ivelj viennent de quitter le championnat suisse pour l'Allemagne, c'est aussi parce qu'elles y gagnaient des cacahuètes. Rien de plus que le remboursement de ses frais pour la première, 500 francs mensuels pour la seconde. La Fribourgeoise Leila Wandeler, qui a offert le 2-0 à Alayah Pilgrim face à l'Islande, dit ne recevoir que 700 francs par mois à l'OL. Dans le sillage d'Alisha Lehmann, nombre de footballeuses complètent leurs revenus en prêtant leur image aux marques. Si Coumba Sow, seule internationale suisse militant encore dans le championnat national, dit gagner sa vie grâce au salaire que lui verse le FC Bâle, plusieurs posts sponsorisés sur sa page Instagram mettent du beurre dans ses épinards. La diversification des sources de revenus étant capitale dans un milieu encore précaire, l'attaquante est aussi l'héroïne d'une BD retraçant son histoire. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. C'est dans ce contexte qu'a débarqué l'Euro 2025 . Le football féminin de clubs n'attire encore que quelques milliers, parfois, à peine quelques centaines de spectateurs par match. Le changement de décor est total avec les stades (quasi) pleins du championnat d'Europe, quand bien même beaucoup d'invitations gratuites ont été distribuées. La conversion se fait naturellement: plus d'attention signifie plus d'argent. Rien de plus normal qu'une part retombe dans le porte-monnaie des principales concernées. Les joueuses suisses gagneront plus que le minimum exigé par l'UEFA Chacune des seize sélections en lice est assurée de toucher 1,7 million de francs en guise de prime de participation de la part de l'UEFA. Chaque victoire et qualification au tour suivant rapportent des bonus, jusqu'à un maximum de 4,7 millions pour les futures vainqueures. L'instance européenne oblige les Fédérations à remettre au minimum entre 30 et 40% de la somme aux joueuses. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. L'Association suisse de football ne dit pas combien elle reversera à ses footballeuses. «Au total, cela représentera plus que ces 40%. Si l'on prend en compte les primes de l'UEFA, de l'ASF et des sponsors», détaille Adrian Arnold, porte-parole de la Fédération. En Suisse, toutes les joueuses ne recevront pas une part égale du butin. «Il existe une petite disparité, du fait des contrats de sponsoring.» Il faut par exemple imaginer que Lia Wälti, égérie pendant l'Euro de Swisscom, sponsor principal de l'ASF, touchera plus que certaines internationales moins médiatisées. En l'état, chaque Suissesse est assurée de toucher au minimum 30'000 francs à l'issue de la compétition. Un montant qui doit rester en travers de la gorge des joueuses que Pia Sundhage a décidé de laisser à la maison, effectif limité à 23 éléments oblige. En cas de victoire face à la Finlande jeudi, synonyme d'accession aux quarts de finale, ce devrait être plus de 10'000 francs, qui s'ajouteront à leur total personnel. L'ensemble représente plus que ce que touchait Sandrine Mauron à Servette en une année, soit 3'000 francs mensuels. Lorsqu'une internationale prétend que l'Euro a changé sa vie, ce n'est pas qu'une image. D'autres articles à propos de l'Euro 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Florian Vaney est journaliste au sein de la rédaction sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Formé dans la presse régionale, il suit de près le football suisse, des divisions «des talus» à la Super League. Il s'intéresse aux événements du terrain, mais plus encore aux histoires – belles et moins belles – qui naissent autour. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Alisha Lehmann, une star mondiale des réseaux sociaux au service de la Suisse pour l'Euro
Alisha Lehmann, une star mondiale des réseaux sociaux au service de la Suisse pour l'Euro

L'Équipe

time06-07-2025

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Alisha Lehmann, une star mondiale des réseaux sociaux au service de la Suisse pour l'Euro

Alisha Lehmann est de loin la joueuse la plus suivie au monde sur les réseaux sociaux. Éloignée à plusieurs reprises de la sélection cette saison, elle figure, malgré tout, parmi les 23 joueuses représentant la Suisse à l'Euro 2025. Sa combativité et son état d'esprit ont convaincu la sélectionneuse Pia Sundhage. Avec ses 16,7 millions d'abonnés sur Instagram, Alisha Lehmann dépasse largement les 9,6 millions de la double championne du monde américaine Alex Morgan et les 3,2 millions de la double Ballon d'Or Alexia Putellas. Le chemin vers l'Euro n'était pas un long fleuve tranquille pour l'attaquante de la Juventus. Écartée de deux rassemblements après avoir été blessée au premier de la saison, elle a finalement été rappelée fin mai pour intégrer la dernière liste avant la compétition européenne, profitant notamment de la blessure de son ex-compagne, Ramona Bachman, victime d'une rupture des ligaments croisés. La sélection de l'internationale de 26 ans s'est donc jouée sur le fil, dans un groupe élargi à 35 joueuses. Le jour de l'officialisation de la liste des 23 Suissesses, en conférence de presse, la sélectionneuse Pia Sundhage a justifié son choix. « Alisha Lehmann m'a montré qu'elle avait vraiment envie d'être là, a-t-elle confié. En club, même si elle joue peu, elle a un rôle plus offensif. On l'a essayée en tant que latérale. Sa réaction et sa manière de travailler pour l'équipe ont été impressionnantes. Elle s'est donnée, et elle a fait les efforts défensifs nécessaires. Elle a montré qu'elle avait vraiment envie de jouer au foot et d'être dans cette équipe. » Peu de temps de jeu avec la Juve mais une polyvalence utile Une polyvalence précieuse dans une sélection où le poste de latérale droite reste problématique. « On n'a absolument pas de latérale droite et la coach a essayé plein de trucs, explique Robin Carrel, journaliste pour 20 Minutes en Suisse. Elle a recyclé pas mal d'attaquantes sur ce côté-là. Et je pense qu'Alisha va faire la remplaçante latérale droite et puis de temps en temps, aller en attaque. » Une chose est sûre : Lehmann n'est pas là pour endosser le rôle de titulaire. Son temps de jeu avec la Juventus, championne d'Italie en titre, a été limité cette saison : 733 minutes seulement, pour deux buts en 21 matches toutes compétitions confondues. Pas de quoi garantir une place sur la feuille. Mais la sélectionneuse a visiblement vu au-delà des statistiques. « Je pense vraiment qu'Alisha Lehmann a fait la différence sur le terrain parce qu'elle a montré au niveau du foot, et pas parce qu'elle a 17 millions d'abonnés sur Instagram », analyse Lionel Pittet, journaliste pour le média suisse Le Temps. « Ce serait lui (Pia Sundhage) faire injure de penser que sa notoriété a pesé. Pia Sundhage a entraîné les États-Unis, le Brésil, la Suède... Je ne peux pas imaginer qu'elle prenne ça en compte », ajoute-t-il. Une femme qui gagne de l'argent n'est pas toujours bien vue, surtout en mettant en avant sa plastique. Robin Carrel, journaliste pour 20 Minutes en Suisse La Suédoise de 65 ans a d'ailleurs privilégié les profils jeunes, mais aussi ceux capables d'amener de la flexibilité et de la cohésion. Deux qualités que Lehmann incarne, selon Robin Carrel. « Mine de rien, son expérience et son recul sur tout ce qui peut se passer autour, surtout pour un Euro en Suisse, doivent quand même pas mal aider dans le groupe. Elle est vraiment très proche des jeunes », explique-t-il. Quant à son statut de célébrité, souvent source de critiques, il ne devrait ni l'avantager, ni lui nuire. « Je pense que ça ne joue absolument en rien. Même au pire des cas, ça peut jouer un peu contre elle, parce que ça peut être potentiellement une source de divertissement, précise le journaliste suisse. Il y a beaucoup de critiques forcément, parce qu'une femme qui gagne de l'argent n'est pas toujours bien vue, surtout en mettant en avant sa plastique. Mais le foot reste toujours la base de tout ce qu'elle fait. » L'intéressée, elle, savoure simplement sa présence au rendez-vous. « Je ne peux pas être plus heureuse de représenter mon pays pour cet Euro. Rendons la Suisse fière et montrons comment le football féminin est en train de grandir », a-t-elle écrit sur Instagram où elle se montre sans filtre avec ses fans du monde entier.

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