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10-08-2025
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L'incendie qui a ravagé l'Aude en France est «maîtrisé»
Les pompiers ont réussi à contenir les flammes qui ont dévoré près de 17'000 hectares. Pour éviter toute reprise de ce sinistre d'une ampleur historique, les soldats du feu restent mobilisés. Publié aujourd'hui à 18h51 Mis à jour il y a 4 minutes Même si le feu est désormais maîtrisé, les pompiers sont toujours mobilisés afin d'éviter une quelconque reprise. IMAGO/Anadolu Agency Le gigantesque incendie survenu mardi dans les Corbières a été «maîtrisé» dimanche par les 1300 pompiers toujours mobilisés pour éviter des réactivations, comme il y en a eu dans la journée, marquée par des températures caniculaires . À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. « Le feu est désormais maîtrisé. Ce qui suppose tout de même le maintien de la mobilisation. La mobilisation doit être totale, il s'agit de tenir et ne pas faiblir», a déclaré Amélie Trioux, directrice de cabinet du préfet de l'Aude, lors d'un point presse à Lézignan-Corbières. Sur l'incendie dans l'Aude Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
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10-07-2025
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Les polémiques sur la technologie ne datent pas d'hier à Wimbledon
La disparition des juges de ligne fait parler à Wimbledon. En 1980, une innovation technologique suscitait déjà des critiques. Publié aujourd'hui à 15h48 Pour la première fois en 148 ans, le tournoi de Wimbledon est orphelin de ses juges de ligne. IMAGO/Anadolu Agency Après l'Open d'Australie et l'US Open, Wimbledon a cédé aux sirènes de l' arbitrage automatisé . Pour la première fois en 148 ans d'existence, le plus vieux tournoi du monde a abandonné ses juges de ligne au profit de la technologie, devenant le troisième Majeur à adopter cette innovation. Et ce système fait jaser. Lors de la rencontre entre Pavlyuchenkova et Kartal dimanche dernier, le système a connu une défaillance. Le coup de Sonay Kartal était visiblement trop long, mais l'arbitrage électronique n'a pas fonctionné. Le point a dû être rejoué, au lieu d'être accordé à Anastasia Pavlyuchenkova. Arbitrage automatique contesté La directrice générale de Wimbledon a expliqué après la rencontre que la défaillance était liée à une «erreur humaine», qui a «désactivé» le système durant la rencontre. «C'était un moment crucial, je pense que l'arbitre de chaise aurait dû prendre l'initiative», a regretté la Russe, qui s'est finalement imposée dans cette rencontre. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «C'est marrant parce que lorsque nous avions des juges de ligne, on nous demandait constamment pourquoi nous n'avions pas de système d'appel de ligne électronique, car il est plus précis», a ironisé Debbie Jevans, présidente du All England Club, qui organise Wimbledon, sur la BBC après la rencontre. En 1980 déjà Une déclaration en guise de clin d'œil au passé. Oui, les juges de ligne ont pu être critiqués, mais l'innovation dans l'arbitrage aussi. Et pas plus loin qu'à Wimbledon. Comme le rappelle ce jeudi «The Guardian» , en 1980, le tournoi londonien avait inauguré Cyclops, un système permettant de limiter les erreurs d'arbitrage sur les services. Deux boîtes étaient placées de chaque côté du carré de service. Quand la balle était captée out , une lumière rouge apparaissait, et un signal sonore était envoyé au juge de ligne, qui annonçait la faute. Déjà à l'époque, l'innovation n'était pas perçue d'un très bon œil. «La science a reçu un accueil glacial à Wimbledon», écrivait «The Guardian» à l'époque. «Deux décisions étaient assurément fausses», s'était plaint le champion roumain Ilie Nastase, après une victoire. Le gros serveur américain Butch Walts partageait cet avis: «Ça devrait éviter les mauvaises décisions, ce n'est pas le cas. On peut virer un juge de ligne s'il fait des erreurs. Pourquoi ne pas éteindre la machine quand elle en fait?» Son inventeur, Bill Carlton, avait alors défendu son précieux. «Les joueurs se plaindraient dans tous les cas, avait-il tonné. Ma machine fait des erreurs dans des marges tolérables.» Sauf dans un cas particulier, que rappelle le média britannique. En 1987, un juge de ligne n'avait… pas allumé la machine. Comme quoi, les modes sont parfois cycliques. Lire aussi sur Wimbledon Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
