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Une nouvelle fresque murale dans les rues de Liverpool en l'honneur de Diogo Jota
Une nouvelle fresque murale dans les rues de Liverpool en l'honneur de Diogo Jota

L'Équipe

time15-07-2025

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Une nouvelle fresque murale dans les rues de Liverpool en l'honneur de Diogo Jota

Après la mort tragique de Diogo Jota dans un accident de la route en Espagne le 3 juillet dernier, de nombreux hommages ont afflué dans le monde entier. Récemment, une fresque murale a été réalisée dans les rues de Liverpool en l'honneur du numéro 20. Pour honorer la mémoire de Diogo Jota, décédé tragiquement le 3 juillet avec son petit frère André Silva dans un accident de la route en Espagne, de nombreux hommages ont été rendus dans le monde entier. Alors que Liverpool a décidé de retirer le numéro 20, que portait le Portugais, de toutes les équipes du club anglais, une nouvelle fresque murale a été réalisée dans les rues de Liverpool en l'honneur de l'ancien attaquant. Depuis l'annonce de sa mort, la 97e Avenue, située devant la tribune principale d'Anfield, a accueilli plusieurs centaines d'hommages tels que des fleurs, des écharpes aux couleurs des Reds ou encore des manettes de jeux, symbole d'une passion de Diogo Jota. Une autre fresque murale avait vu le jour où les mots « Forever 20 » ont été peints, près du stade. Autour, les supporters ont pu y ajouter des messages personnalisés.

Mort de Diogo Jota : «La famille a ma parole qu'ils ne roulaient pas trop vite», deux témoins contestent la version de la Guardia espagnole
Mort de Diogo Jota : «La famille a ma parole qu'ils ne roulaient pas trop vite», deux témoins contestent la version de la Guardia espagnole

Le Figaro

time10-07-2025

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Mort de Diogo Jota : «La famille a ma parole qu'ils ne roulaient pas trop vite», deux témoins contestent la version de la Guardia espagnole

Deux chauffeurs routiers, doublés par la voiture où se trouvaient Diogo Jota et son frère, assurent que le véhicule circulait à une allure modérée avant l'accident qui a coûté la vie aux deux footballeurs, jeudi dernier en Espagne. De nouveaux éléments une semaine après le drame. Jeudi dernier sur l'autoroute A-52 dans la province de Zamora (nord-ouest de l'Espagne), l'ex-joueur de Liverpool Diogo Jota et son frère André Silva ont perdu la vie lors d'un accident de la circulation, suscitant l'émotion du monde du football. Dans les jours qui ont suivi, un premier rapport d'expertise de la «Guardia civil» espagnole a informé que «tout tendait vers un grand excès de vitesse par rapport à la limite autorisée sur la route», et que «les marques laissées» par l'un des pneus du véhicule, une Lamborghini Huracan de location, étaient actuellement à l'étude. Alors que l'enquête reste en cours, pour déterminer les circonstances du décès des deux footballeurs portugais, deux témoignages sortis dans la presse apportent ce jeudi une version différente des faits. Interrogé par le tabloïd portugais Correio de Manha, le chauffeur routier José Aleixo Duarte révèle avoir été doublé «à vitesse modérée», cinq minutes avant l'accident, par la Lamborghini Huracan, conduite vraisemblablement par Diogo Jota. Publicité «Ils conduisaient très calmement» Le témoin pointe par ailleurs le mauvais état de la chaussée et indique qu'un autre conducteur aurait vu le véhicule déraper sur l'autoroute. José Azevedo, lui, s'est présenté sur les réseaux sociaux comme l'auteur de la vidéo montrant la Lamborghini en flammes dans la nuit. Le chauffeur routier déclare : «J'ai filmé, je me suis arrêté, j'ai essayé d'aider, mais malheureusement, je n'ai rien pu faire. J'ai la conscience tranquille. Je sais ce que j'ai vécu cette nuit-là, car je ne savais pas qui était à l'intérieur. Mes plus sincères condoléances à la famille.» Ensuite, le témoin nie le potentiel excès de vitesse de la voiture qui transportait les deux frères. «La famille a ma parole qu'ils ne roulaient pas trop vite. J'ai pu voir la marque et la couleur de la voiture lorsqu'ils m'ont dépassé. Ils conduisaient très calmement, appuie-t-il. Je conduis sur cette route tous les jours, du lundi au samedi. Je sais de quelle route il s'agit, et j'ai vu des choses vraiment scandaleuses sur d'autres voitures, mais ils conduisaient très calmement. Il faisait sombre, et malgré cela, j'ai pu parfaitement voir la marque et la couleur du véhicule. Plus tard, malheureusement, l'accident s'est produit.»

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