logo
#

Dernières actualités avec #Arctique

Virginia Mearns nommée ambassadrice du Canada pour l'Arctique
Virginia Mearns nommée ambassadrice du Canada pour l'Arctique

La Presse

time6 days ago

  • Politics
  • La Presse

Virginia Mearns nommée ambassadrice du Canada pour l'Arctique

PHOTO TIRÉE DU SITE DE L'INSTITUTE FOR RESEARCH ON PUBLIC POLICY (Ottawa) Le gouvernement du premier ministre Mark Carney nomme jeudi son ambassadrice pour l'Arctique, cherchant à resserrer les liens avec les nations circumpolaires dans un contexte de préoccupations croissantes en matière de sécurité. Dylan Robertson La Presse Canadienne Le cabinet de la ministre des Affaires étrangères, Anita Anand, a annoncé que Virginia Mearns sera l'ambassadrice pour l'Arctique et supervisera la politique étrangère pour la région, qu'Ottawa a diffusée en décembre dernier. Cette politique prévoit une collaboration scientifique dans l'Arctique, une coordination renforcée en matière de sécurité et l'ouverture de nouveaux consulats en Alaska et au Groenland. Ces engagements ont précédé l'annonce par le gouvernement de coupes budgétaires au sein du service diplomatique, qui s'inscrivent dans le plan de M. Carney visant à financer une augmentation massive des dépenses militaires. M. Carney a déclaré jeudi matin, lors d'un évènement à Inuvik, dans les Territoires du Nord-Ouest, qu'il annoncerait officiellement la nomination plus tard dans la journée. Mme Mearns vit à Iqaluit et a travaillé au sein des gouvernements inuits locaux.

Projets miniers et énergétiques : en Arctique, la stratégie de Pékin accumule les échecs
Projets miniers et énergétiques : en Arctique, la stratégie de Pékin accumule les échecs

Le Figaro

time6 days ago

  • Business
  • Le Figaro

Projets miniers et énergétiques : en Arctique, la stratégie de Pékin accumule les échecs

Réservé aux abonnés Malgré des investissements et des efforts colossaux, la Chine n'est pas parvenue à s'implanter significativement dans les pays de la zone arctique. « Décrypter les discours sur les investissements chinois dans l'Arctique. » Tel est le titre d'une passionnante étude, menée par trois chercheurs - le Canadien Paul Whitney Lackenbauer, l'Islandais Guobjörg Rikey Th. Hauksdottir, le Norvégien Anders Christoffer Edstrom - et publiée par la Harvard Kennedy School. Contrairement aux idées reçues et régulièrement véhiculées dans les médias, la Chine aurait échoué dans sa stratégie arctique annoncée à grand renfort de communiqués depuis une dizaine d'années. « Le gouvernement, les entreprises et les organisations chinoises ont communiqué leurs ambitions et leurs projets d'investissement dans la région arctique, mais seule une faible proportion d'entre eux se sont pleinement concrétisés. », soulignent les auteurs de l'étude. Non sans préciser : « La raison n'est pas entièrement imputable aux investisseurs et aux fondements économiques chinois. Nous observons un ensemble de facteurs complexes qui ont entravé leur réalisation, notamment…

La Russie lance en mer sa « Tempête de Juillet », une opération militaire d'envergure
La Russie lance en mer sa « Tempête de Juillet », une opération militaire d'envergure

Le HuffPost France

time7 days ago

  • Business
  • Le HuffPost France

La Russie lance en mer sa « Tempête de Juillet », une opération militaire d'envergure

INTERNATIONAL - Menace maritime « XXL ». Tandis que Kiev et Moscou se retrouvent ce mercredi 23 juillet à Istanbul pour un nouveau round de négociations au sujet de la guerre en Ukraine, la Russie a officiellement lancé ce même jour des exercices d'ampleur et « résolument offensifs » en mer. Comme le rapporte Reuters, citant le ministère russe de la Défense, d'importants exercices navals ont été mis en place dans les océans Pacifique et Arctique ainsi que dans les mers Baltique et Caspienne. Avec comme nom de code pour ces opérations militaires maritimes : « July Storm », ou « Tempête de Juillet » en français. Une manière pour le Kremlin de tester pendant cinq jours l'état de préparation de sa flotte navale en cas d'opérations dites non standards. Au programme, utilisation d'armes à longue portée et autres technologies avancées. Simulation grandeur nature Selon les données fournies à Reuters, la Russie va déployer durant ces essais pas moins de 150 navires et 15 000 militaires. En mer, ces soldats russes « s'exerceront au déploiement dans des zones de combat, à la conduite d'opérations anti-sous-marines, à la défense des zones de déploiement et d'activité économique », précise le ministère russe de la Défense. Mais ce n'est pas tout, puisque les Russes chercheront aussi à simuler des situations de guerre, en s'exerçant à « repousser les attaques d'armes aériennes, de bateaux sans pilote et de drones ennemis, à assurer la sécurité de la navigation, à frapper les cibles ennemies et les groupes navals ». Dans ce cadre, ce sont 120 avions et dix systèmes de missiles côtiers qui sont également mobilisés pour cette « Tempête de Juillet ». Le Parisien cite également l'agence russe TASS, selon laquelle 950 pièces de matériel militaire seront également concernées par les exercices. Cette grande opération d'entraînement sera dirigée par le chef de la marine, l'amiral Alexandre Moiseev. Démonstration de force Si les objectifs exacts de cet exercice ne sont pas précisés, Reuters indique que l'armée russe constitue la troisième plus grande puissance militaire mondiale. Il s'agit aussi d'une manière de montrer qu'après trois ans et cinq mois de guerre avec l'Ukraine, Moscou n'a rien perdu de ses capacités militaires, bien que les forces navales ne soient pas celles les plus mises à contribution depuis le début du conflit en 2022. Il reste « beaucoup plus facile pour les Russes de faire des exercices avec leur marine qu'avec l'infanterie ou les forces terrestres », note par ailleurs sur LCI l'envoyé spécial et éditorialiste international Xavier de Giacomoni. « Bien évidemment, toutes les forces terrestres sont occupées en Ukraine et totalement en flux tendu », ajoute-t-il. Malgré tout, Le Parisien indique que la Russie prévoit un autre exercice d'envergure, en septembre, « au sol ». Il sera organisé en étroite collaboration avec la Biélorussie d'Alexandre Loukachenko, proche allié de Vladimir Poutine. Nommé « Zapad 2025 », cet exercice militaire terrestre est organisé tous les quatre ans.

Guerre en Ukraine : c'est quoi l'impressionnante opération « Tempête de juillet » lancée en mer par la Russie ?
Guerre en Ukraine : c'est quoi l'impressionnante opération « Tempête de juillet » lancée en mer par la Russie ?

Le Parisien

time7 days ago

  • Business
  • Le Parisien

Guerre en Ukraine : c'est quoi l'impressionnante opération « Tempête de juillet » lancée en mer par la Russie ?

150 navires, 120 avions et 15 000 militaires sur le pont. La Russie sort l'artillerie lourde pour son opération « Tempête de juillet » . Le ministère de la Défense russe a annoncé, dans un communiqué relayé par Reuters , que le Kremlin avait entamé ce mercredi d'importants exercices navals dans les océans Pacifique et Arctique ainsi que dans les mers Baltique et Caspienne. L'exercice, surnommé « July Storm » (« Tempête de juillet », en français) aura lieu du 23 au 27 juillet et testera l'état de préparation de la flotte russe pour des opérations non standard, l'utilisation d'armes à longue portée et d'autres technologies avancées, y compris des systèmes sans pilote, a déclaré le ministère. « En mer, les équipages des navires s'exerceront au déploiement dans des zones de combat , à la conduite d'opérations anti-sous-marines, à la défense des zones de déploiement et d'activité économique », ajoute le ministère de la Défense russe. Ils s'exerceront également à « repousser les attaques d'armes aériennes, de bateaux sans pilote et de drones ennemis , à assurer la sécurité de la navigation, à frapper les cibles ennemies et les groupes navals. » Au total, cette série d'exercices impliquera plus de 120 avions et 10 systèmes de missiles côtiers. 150 navires et 15 000 militaires seront aussi mobilisés. L'agence de presse russe Tass évoque également 950 pièces de matériel militaire. Le chef de la marine, l'amiral Alexandre Moiseev, dirigera l'exercice. Une occasion de prouver que la Russie possède toujours la troisième marine la plus puissante du monde après la Chine et les États-Unis, selon la plupart des classements publics, même si elle a subi une série de pertes très médiatisées lors de la guerre en Ukraine . En septembre prochain, Moscou se lancera dans un autre exercice militaire d'envergure, le Zapad 2025, coorganisé avec la Biélorussie, et qui a lieu tous les quatre ans. Il s'agira de la première édition depuis le début de l'invasion en Ukraine. Exercice militaire « au sol », le Zapad devrait impliquer 13 000 hommes selon les précédentes annonces du Kremlin.

Le gouvernement fédéral reste muet sur le remplacement de ses ambassadeurs spéciaux
Le gouvernement fédéral reste muet sur le remplacement de ses ambassadeurs spéciaux

La Presse

time22-07-2025

  • Politics
  • La Presse

Le gouvernement fédéral reste muet sur le remplacement de ses ambassadeurs spéciaux

Le gouvernement fédéral reste muet sur le remplacement de ses ambassadeurs spéciaux (Ottawa) Le gouvernement Carney ne dit pas s'il continuera de nommer des ambassadeurs sur les thèmes défendus par le cabinet Trudeau, maintenant que les mandats des envoyés d'Ottawa pour le climat et les femmes et la sécurité arrivent à échéance. Dylan Robertson La Presse Canadienne Mais un éminent observateur du service extérieur affirme qu'il est probable qu'Ottawa pourvoie ces postes d'ici l'automne. Catherine Stewart, ambassadrice du Canada pour les changements climatiques, a quitté son poste en mars. Son mandat devait expirer à la fin du mois de juillet. En mars également, et quelques jours seulement après l'entrée en fonction du premier ministre Mark Carney, le mandat de Jacqueline O'Neill comme ambassadrice du Canada pour les femmes, la paix et la sécurité a pris fin comme prévu. Les deux postes ont été créés pour promouvoir les valeurs canadiennes à l'étranger. Le gouvernement fédéral a également annoncé en décembre la création d'un poste d'ambassadeur pour l'Arctique. Le gouvernement n'a pas précisé quand ce poste pourrait être pourvu. Les groupes LGBTQ+ canadiens réclament depuis des années qu'Ottawa nomme un ambassadeur spécial pour les droits LGBTQ+, semblable à celui de la France et des États-Unis sous l'administration Biden. Le bureau de Mark Carney n'a pas répondu lorsqu'on lui a demandé s'il nommerait un envoyé LGBTQ+, maintiendrait les postes expirés ou nommerait un ambassadeur pour l'Arctique. Les questions sur les envoyés surviennent alors que le gouvernement demande à Affaires mondiales Canada de réaliser des économies de 7,5 % à compter du printemps prochain, parallèlement aux efforts du gouvernement pour respecter la hausse de ses objectifs de dépenses en matière de défense. Affaires mondiales Canada a indiqué qu'il appartenait au conseil des ministres de décider si Ottawa doit nommer une envoyée pour les femmes, la paix et la sécurité, ou FPS. La porte-parole du ministère, Brittany Fletcher, a déclaré que le Plan d'action national pour les femmes, la paix et la sécurité « continue d'être coordonné par Affaires mondiales Canada et est soutenu par neuf autres ministères et organismes fédéraux partenaires ». La diplomatie FPS reconnaît l'impact disproportionné de la guerre sur les femmes et les filles et promeut leur leadership dans la consolidation de la paix et la prévention des conflits. Le Canada est un fervent défenseur des femmes, de la paix et de la sécurité depuis le gouvernement conservateur de Stephen Harper. Le Canada a nommé une ambassadrice FPS en 2019, en s'appuyant sur un cadre stratégique soulignant qu'Ottawa s'était forgé une réputation de leadership dans ce domaine, tout en reconnaissant que le concept avait fait l'objet d'une forte réaction négative à l'étranger. « Certains champions de longue date des femmes, de la paix et de la sécurité voient leur soutien s'effriter, alors que leurs opposants en profitent pour exploiter leur désunion », peut-on lire dans le cadre stratégique. Katrina Leclerc, présidente du Réseau Femmes, Paix et Sécurité-Canada, a confié qu'il était « profondément préoccupant » que le poste d'ambassadrice soit vacant depuis quatre mois. Mme Leclerc a rappelé à La Presse Canadienne qu'il était important d'avoir une personne-ressource pour coordonner le travail de la société civile, des ministères et des collègues internationaux. « Bien qu'une politique ou un plan d'action national soit important, sans un leadership institutionnel comme celui de l'ambassadrice, sa mise en œuvre risque d'être fragmentée ou dépriorisée, a-t-elle écrit dans un courriel. Il ne s'agit pas d'un simple rôle symbolique : il fournit la structure et la stratégie nécessaires pour intégrer les priorités FPS dans les portefeuilles canadiens de la diplomatie, du développement et de la défense. » Elle a souligné que le premier ministre Carney avait initialement supprimé un poste ministériel consacré à l'égalité des genres, avant de le rétablir en réponse aux critiques du public. « À l'heure où nous assistons à un recul démocratique, à des conflits et à des violences sexistes à l'échelle mondiale, l'absence d'ambassadrice FPS au Canada risque de signaler un recul par rapport à ses engagements féministes », a-t-elle prévenu. Peut-être à l'automne De son côté, Environnement Canada a déclaré qu'il appartenait au conseil des ministres de décider de nommer ou non une nouvelle ambassadrice pour les changements climatiques, sur avis des ministres des Affaires étrangères et de l'Environnement. Colin Robertson, ancien diplomate canadien et vice-président de l'Institut canadien des affaires mondiales, a dit s'attendre à ce que les différentes nominations soient effectuées cet automne. « Nous n'avons pas vraiment besoin de procéder à ces nominations avant septembre, a expliqué M. Robertson. Je ne tirerais aucun enseignement du fait que ces postes soient devenus caducs. » Selon M. Robertson, Mark Carney s'intéresse vivement à la politique étrangère et recherche probablement de bons ambassadeurs, y compris des personnes extérieures au service extérieur. Le premier ministre recherche probablement des envoyés dotés du savoir-faire politique nécessaire pour gérer des relations délicates avec les États-Unis tout en faisant valoir les intérêts particuliers du Canada, a soutenu M. Robertson. « Il a probablement plusieurs listes devant lui et il les étudie, a-t-il dit. Il agit rapidement, mais il est aussi attentif. » Le gouvernement fédéral a annoncé son intention de nommer un nouvel envoyé spécial pour la préservation de la mémoire de l'Holocauste et la lutte contre l'antisémitisme. Deborah Lyons a pris sa retraite trois mois avant la fin prévue de son mandat. La porte-parole du ministère du Patrimoine canadien, Ines Akué, a déclaré qu'« un nouvel envoyé spécial sera nommé en temps opportun ».

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store