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Mercato : Dorgeles Nene passe sa visite médicale avec Fenerbahçe
Mercato : Dorgeles Nene passe sa visite médicale avec Fenerbahçe

L'Équipe

time7 hours ago

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Mercato : Dorgeles Nene passe sa visite médicale avec Fenerbahçe

Le Malien de Salzbourg, Dorgeles Nene, va quitter l'Autriche pour rejoindre la Turquie. Le transfert de l'ailier gauche, sous contrat jusqu'en 2028, à Fenerbahçe est estimé à 20 millions d'euros. Comme annoncé vendredi, Dorgeles Nene, qui sort d'une saison aboutie avec Salzbourg (49 matches, 15 buts et 9 passes décisives toutes compétitions confondues) avait trouvé un accord avec le club turc de Fenerbahçe autour d'un contrat de cinq ans. Le club turc, où le joueur est sous contrat jusqu'en 2028, a désormais trouvé un accord avec le club autrichien pour un transfert estimé à 20 M€. L'ailier gauche de 22 ans, international malien (23 sélections) est déjà sur place et passe sa visite médicale.

Le RC Lens proche de signer Mamadou Sangaré, milieu offensif du Rapid de Vienne
Le RC Lens proche de signer Mamadou Sangaré, milieu offensif du Rapid de Vienne

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time16 hours ago

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Le RC Lens proche de signer Mamadou Sangaré, milieu offensif du Rapid de Vienne

Comme annoncé par la presse autrichienne, Mamadou Sangaré devrait s'engager au RC Lens dans les prochains jours. Le milieu de terrain malien du Rapid de Vienne passera sa visite médicale dans l'Artois ce mardi. Lens fait ses courses en Autriche. D'après le média autrichien Kurier, Mamadou Sangaré devrait quitter le Rapid de Vienne pour s'engager à Lens. Titulaire en Championnat dimanche face à Altach (0-0), le milieu de terrain malien de 23 ans sera à Lens ce mardi pour passer sa visite médicale. La saison dernière, l'international malien (6 sélections) a disputé 44 rencontres avec le Rapid, pour 3 buts et 3 passes décisives.

MotoGP : «C'est inadmissible»... Le coup de gueule de Fabio Quartararo
MotoGP : «C'est inadmissible»... Le coup de gueule de Fabio Quartararo

Le Figaro

timea day ago

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MotoGP : «C'est inadmissible»... Le coup de gueule de Fabio Quartararo

15e ce dimanche lors du Grand Prix d'Autriche, le Français n'a pas caché son mécontentement et sa frustration après la course. Un week-end en Autriche pour rien. Ou si peu. Tel est le constat émis par Fabio Quartararo après sa 15e place lors de la course dimanche. « Il n'y a rien qui pourrait me redonner le sourire aujourd'hui. Honnêtement, je le savais et je m'attendais déjà à ce genre de course. Les autres ont fait un très grand pas en avant, nous n'avons rien fait du tout. Nous faisons tout pour comprendre exactement ce qu'il s'est passé sur ce tracé. Je n'en retire aucun apprentissage, aucune sensation, c'était presque inutile… Je n'ai pas l'impression de quitter l'Autriche en ayant appris quelque chose. » «C'est clairement mon pire week-end de l'année», a-t-il ensuite poursuivi. «Les seules motos que je peux dépasser sont les Yamaha. Il n'y avait pas de potentiel dès l'entame du week-end et cela ne s'est jamais amélioré. Comment peut-on glisser en quatrième dans la ligne droite ? C'est la seule moto qui réagit de cette façon. C'est inadmissible…» A voir si le tracé hongrois, qui l'attend dès le week-end prochain, lui sourira davantage.

« C'est inadmissible » : le coup de gueule de Fabio Quartararo contre son équipe après le Grand Prix d'Autriche
« C'est inadmissible » : le coup de gueule de Fabio Quartararo contre son équipe après le Grand Prix d'Autriche

Le Parisien

timea day ago

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« C'est inadmissible » : le coup de gueule de Fabio Quartararo contre son équipe après le Grand Prix d'Autriche

C'est une nouvelle déception pour Fabio Quartararo. Ce dimanche 17 août, le Français a terminé à la 15e position au terme des 28 tours du Grand Prix d'Autriche, remporté par Marc Marquez. Le pilote Yamaha, parti 16e sur la grille de départ, a tenu des mots forts dans une interview accordée à Motorsport, à l'issue du 13e GP de la saison. « Je le savais, et je m'attendais à ce genre de course… C'était une course où, dès le premier tour on sait que ça ne va pas, s'agace le Niçois, pointant du doigt le comportement de sa Yamaha. Comment on peut glisser en quatrième dans la ligne droite ? C'est inadmissible ». En Autriche, les quatre derniers pilotes, Fabio Quartararo et Alex Rins (16e) chez Yamaha, puis Miguel Oliveira (17e) et Jack Miller (18e) chez Pramac, sont chacun au guidon d'une Yahama. Des performances qui témoignent de la perte de compétitivité du constructeur japonais.

« Maintenant, les gens attendent que je gagne tout alors que le MotoGP n'est pas comme ça » : Marc Marquez  s'est imposé pour la première fois en Autriche
« Maintenant, les gens attendent que je gagne tout alors que le MotoGP n'est pas comme ça » : Marc Marquez  s'est imposé pour la première fois en Autriche

L'Équipe

time2 days ago

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« Maintenant, les gens attendent que je gagne tout alors que le MotoGP n'est pas comme ça » : Marc Marquez s'est imposé pour la première fois en Autriche

Auteur de son neuvième doublé de la saison, Marc Marquez continue d'écraser le MotoGP, même sur les circuits qui ne lui avaient jamais souri. En le voyant arriver en Autriche, il pouvait y avoir un petit doute, comme un soupçon de malédiction qui planait sur lui : et si le Red Bull Ring n'était tout simplement pas fait pour Marc Marquez ? En huit participations, l'Espagnol (32 ans) ne s'y était jamais imposé, trois fois deuxième mais jamais premier sur un circuit qui était peut-être sa faiblesse, après tout. Beaucoup de virages à droite, très peu à gauche, ce n'est pas sa configuration préférée, alors d'autres pilotes avaient le droit de rêver. Ce n'était effectivement qu'un songe car l'Espagnol ne veut rien laisser et il avait cette fois l'arme quasi absolue : une Ducati, née en Italie mais taillée à la perfection pour les pentes autrichiennes. La Desmosedici y avait gagné neuf fois sur onze et il ne pouvait en être autrement aux mains d'un sextuple champion du monde MotoGP parti pour écraser toute la saison. « J'avais oublié de regarder derrière alors je me suis un peu inquiété. C'était une Ducati et je redoutais la tenue de ses pneus. » Marc Marquez, au sujet de Fermin Aldeguer Vainqueur du sprint samedi, Marquez a ajouté le Grand Prix pour réussir un sixième doublé d'affilée, son neuvième de l'année. Il a encore usé de sa spéciale : la gestion puis l'attaque à mi-course. Marco Bezzecchi a tenté de résister, roue contre roue pendant quelques virages, mais l'Italien a fini par se ranger. Seul Fermin Aldeguer, auteur d'une fin de course époustouflante sur sa Ducati Gresini (il a fini à 1 seconde), aura fait naître un soupçon de crainte chez le leader : « J'avais oublié de regarder derrière alors je me suis un peu inquiété. C'était une Ducati et je redoutais la tenue de ses pneus. » Mais sur cette terre vierge pour lui, Marquez a bien conquis la 71e victoire de sa carrière. Tandis que Francesco Bagnaia a sombré (8e) et qu'Alex Marquez a payé son long lap de pénalité (10e), ce succès lui offre 142 points d'avance au Championnat sur son frère. L'Espagnol dégage une impression d'invincibilité. Cela devrait le ravir, il dit plutôt que cela l'inquiète : « C'est le problème. Maintenant, les gens attendent que je gagne tout alors que le MotoGP n'est pas comme ça. » Il est pourtant bien en train de le faire changer.

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