Dernières actualités avec #BenjaminCastaldi
Le Soir
3 days ago
- Sport
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Giovanni Castaldi, petit frère de Benjamin, harcelé sur les réseaux sociaux, le journaliste porte plainte
Giovanni Castaldi a rejoint l'équipe de la chaîne « Ligue 1+ ». Mais cette annonce a suscité de nombreux commentaires. Le football reprend en France avec une grande nouveauté ; la création de la plateforme Ligue 1+ qui diffusera 8 des 9 rencontres chaque journée de Ligue 1. Mercredi soir, la plateforme a annoncé l'arrivée de Giovanni Castaldi, comme éditorialiste. Mais cette nomination a suscité de nombreux commentaires. Depuis lors, le petit frère de Benjamin Castaldi est attaqué par une multitude de comptes de fans de l'Olympique de Marseille, qui menacent de ne pas s'abonner, de supprimer leur abonnement déjà pris à Ligue 1+ et appellent même au boycott du nouveau diffuseur. Pour quelle raison ? La diffusion d'une ancienne séquence de la chaîne L'Équipe datant de 2020, où la langue du chroniqueur de « L'Équipe du Soir a fourché », il avait lâché un « Omerde » au lieu d'OM. Puis, la publication sur X d'une capture d'écran d'un message que le journaliste aurait adressé à un abonné de Ligue 1+ : « Alors la sardine n'est pas contente ? Merci pour les 14,99 € par mois pour payer mon salaire ». Le journaliste a réagi sur son compte X : « Je vois circuler deux choses me concernant sur les réseaux sociaux ces dernières heures. D'un côté, un compte me prête des propos qui ne sont pas les miens et qui sont totalement inventés. Ce DM publié est un fake ! C'est pourquoi j'ai décidé de porter plainte. » Avant d'ajouter : « De l'autre, un vieil extrait vidéo sur lequel je me suis déjà exprimé de nombreuses fois. Évidemment, je n'ai rien contre l'OM ! Je suis heureux de rejoindre Ligue 1+ pour parler foot avec passion et respect, pour les 18 clubs du Championnat et leurs supporters ».
Le Figaro
4 days ago
- Entertainment
- Le Figaro
«J'ai traversé une période difficile» : Daniel Mkongo revient dans «La villa des cœurs brisés» 14 ans après «Secret Story»
ENTRETIEN - Au casting de la saison 10 de la téléréalité de TFX, le candidat de 35 ans s'était fait remarquer en 2011 auprès d'Ayem Nour dans la maison des secrets. Après une longue absence, il se confie sur son parcours. Footballeur, mannequin, candidat de téléréalité, auteur, entrepreneur... Nombreuses sont les casquettes de Daniel Mkongo. Rendu célèbre par sa participation à la saison 5 de « Secret Story » en 2011, le Suisse partageait un secret avec Ayem Nour : « Nous sommes un faux couple ». Ce qui devait rester une mission du jeu s'était transformé en véritable histoire d'amour durant quelque temps. Cette édition du jeu de téléréalité alors présentée par Benjamin Castaldi sur TF1 avait rencontré un franc succès, propulsant la plupart des participants au rang de célébrités. Une notoriété que Daniel Mkongo a plutôt bien vécue, malgré son jeune âge (21 ans seulement), et qui lui a permis de se lancer dans différents projets. Publicité Pour mener à bien ses activités, il a mis de côté sa carrière télévisuelle, malgré les sollicitations. Après quatorze ans d'absence, Daniel a finalement décidé de faire son retour dans la saison 10 de « La villa des cœurs brisés » sur TFX. Un programme où sa problématique personnelle est d' « arrêter de minimiser ses souffrances ». À lire aussi «Denis Brogniart est mon père spirituel» : une candidate de «Secret Story» a tenté le casting de «Koh-Lanta» LE FIGARO. - Que faisiez-vous avant de participer à « Secret Story » ? Daniel MKONGO. - Pendant mon adolescence, mon rêve était de jouer au football. J'ai essayé de devenir professionnel, j'ai même joué un peu en Italie. Puis je suis tombé par hasard dans la mode où j'ai eu l'occasion de participer à des concours, notamment Mister Suisse. J'ai un peu pris tout ce qui m'arrivait. Je savais que je voulais faire quelque chose de différent. Je voulais créer des choses. Je ne voulais pas forcément devenir une star. J'ai commencé le mannequinat à 18 ans puis j'ai commencé un apprentissage dans une boutique de luxe à 20 ans. Nous vendions des vêtements, des bijoux, etc. Je suis parti au bout d'un mois, quand on m'a proposé l'émission. Pourquoi avoir dit oui à « Secret Story » ? La ville dans laquelle j'habitais en Suisse est très belle, mais c'est un peu petit. J'ai toujours été intéressé par ce qui se passait ailleurs. Je voulais plus. Ma patronne du magasin de luxe où je travaillais m'a dit : « Écoute, là, tu as 20 ans. Ici, tu peux te former, gagner un bon salaire à la fin, avoir une bonne carrière etc. Mais cette émission pourrait t'ouvrir des portes et t'aider à atteindre tes objectifs. Puis être indépendant et créer ton business ». Après ça, la décision a été assez facile. Que retenez-vous de votre participation en 2011 ? Ma rencontre avec les autres candidats. Nous étions tous sur la même longueur d'onde. Il y avait le jeu, mais aussi une bonne ambiance. Avec Ayem, ça a été une belle expérience, une belle rencontre. Ce sont de bons souvenirs. Je suis très reconnaissant d'avoir participé à l'émission. Elle m'a aidé à rencontrer du monde, et m'a ouvert beaucoup de portes. Aujourd'hui, encore, on m'arrête dans la rue par rapport à ça, alors que je n'ai rien fait. À lire aussi Le casting de «La Villa des cœurs brisés» 10 « J'avais tout investi dans la fabrication d'un hôtel à Marrakech mais, avec la situation en 2020, j'ai fini par tout perdre » Daniel Mkongo Pourquoi avez-vous disparu de la télévision après « Secret Story » ? Après le jeu, j'ai immédiatement lancé ma marque de vêtements. J'ai tout de suite investi et utilisé ma notoriété pour faire quelque chose. « Big Brother » en Italie m'a contacté plusieurs fois. J'avais refusé, puis j'ai cédé. L'expérience n'a pas été très agréable, l'ambiance était différente du programme français. Puis, grâce aux contacts que j'avais pu obtenir, je me suis lancé dans la musique. En écrire a toujours été une passion. J'ai rencontré le plus grand rappeur en Italie, et je suis parti en tournée avec lui pendant plus d'un an. Comme ma marque de vêtements fonctionnait bien, j'en ai lancé une autre en 2016. Je continuais à être sollicité pour d'autres téléréalités, « La villa des cœurs brisés » notamment, mais j'étais très occupé. Je voulais que les gens m'apprécient pour ce que je faisais et non parce que je passais à la télé. Publicité Pourquoi avoir accepté de participer à « La Villa des cœurs brisés » cette année ? Ces cinq dernières années, après le Covid, j'ai traversé une période difficile. J'avais tout investi dans la fabrication d'un hôtel à Marrakech mais, avec la situation en 2020, j'ai fini par tout perdre. Cet échec a eu des conséquences au niveau personnel aussi. J'étais en train de me reconstruire quand la production m'a appelé. Cette proposition est tombée au bon moment alors j'ai accepté. J'avais vu que c'était une émission bienveillante. C'était la bonne occasion de faire passer peut-être un message pour tous ceux qui se trouvent dans ma situation. Il ne faut jamais baisser les bras. Avez-vous des projets à venir, en télévision comme ailleurs ? En télévision, non, pas à 100%. Je ne me sentirais pas en accord avec moi-même. Mais je ne suis pas fermé à des propositions, tant qu'elles ne prennent pas le pas sur mon objectif principal : Marrakech. J'ai besoin de créer, d'être actif.
Le Parisien
08-07-2025
- Entertainment
- Le Parisien
Audiences radio : quel score pour l'arrivée de Cauet sur Europe 2 ?
C'est un cas rare, pour ne pas dire inédit. Alors que l'ensemble des radios reçoivent ce mardi leurs résultats d'audiences pour la fin de saison, confirmant les tendances observées depuis septembre dernier, Europe 2 découvre pour sa part les premiers scores de sa nouvelle recrue ! En effet, après le limogeage express en pleine saison de Benjamin Castaldi faute d'audience le 11 avril dernier, la station a recruté Cauet pour prendre en main sa matinale depuis le 28 avril, malgré sa mise en examen pour viols et agression sexuelle. Avec un objectif clair : redresser la barre des audiences, alors que la station a sombré depuis début 2025 sous la barre du million d'auditeurs, une première dans son histoire. Mais en avril-juin 2025, entre 7 heures et 11 heures, l'animateur a réussi à stopper l'hémorragie. Sa matinale réveille chaque jour 110 000 auditeurs en moyenne, un score parfaitement stable sur un an. Sur une vague, cette tranche importante pour les radios remonte nettement avec 40 000 curieux gagnés par rapport au début 2025, où la tranche avait atteint le plus bas niveau de l'histoire de la station. Si Cauet réalise une arrivée réussie dans un contexte très compliqué pour Europe 2, il reste pour le moment loin des grosses radios musicales. NRJ continue de dominer avec Manu Lévy (589 000 fidèles entre 6 heures et 10 heures, - 65 000 sur un an), devant Nostalgie et le duo Philippe Llado/Sandy Oullion (318 000 personnes entre 6 heures et 9 heures, - 44 000 sur un an) ainsi que Fun Radio et Bruno Guillon (261 000 habitués entre 6 heures et 10 heures, + 48 000 sur un an).
