Dernières actualités avec #Bilbao
Le Figaro
a day ago
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Mercato : Surprise en Espagne, Nico Williams snobe le Barça et prolonge à Bilbao... jusqu'en 2035
Nico Williams prolonge jusqu'en 2035 à l'Athletic Bilbao. Le FC Barcelone mais aussi le Bayern Munich voulaient le recruter. L'ailier espagnol a assuré avoir décidé «avec son cœur» Un frère Williams peut toujours en cacher un autre du côté de l'Athletic Bilbao. Nico a décidé de prolonger l'aventure jusqu'en 2035 avec son club formateur. Il était pourtant ardemment désiré par le FC Barcelone mais n'a visiblement pas cédé aux sirènes catalanes, en partie tirées par son ami en sélection Lamine Yamal. Suivre les pas de son frère La clause de libération de Nico Williams a été réévaluée de 50%, elle atteignait les 58 millions d'euros précédemment et devrait donc maintenant se situer autour des 90 millions. À la suite de sa prolongation, l'ailier de bientôt 23 ans a déclaré sur les réseaux sociaux de l'Athletic : «je suis là où je veux être, avec mon peuple, c'est ma maison. J'ai décidé avec mon cœur». Publicité Pour rappel, son grand frère Iñaki, évolue également au sein du club basque depuis 2014. Il y a quelques semaines, des supporters de Bilbao avaient vandalisé une fresque représentant Nico Williams, jugeant qu'il avait manqué de respect à l'institution. À voir si cette prolongation va pouvoir renouer le lien va pouvoir entre le joueur et les plus fervents suiveurs de l'Athletic.
Le Parisien
a day ago
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Mercato : annoncé au Barça, Nico Williams fait volte-face et prolonge finalement à l'Athletic Bilbao
Nico Williams reste à la maison ! L'attaquant de l'Athletic Bilbao, âgé de 22 ans et annoncé avec insistance du côté du FC Barcelone, a finalement prolongé vendredi avec son club formateur. L'international espagnol (28 sélections, 6 buts) s'est engagé jusqu'en 2035. « L'Athletic Club et Nico Williams ont conclu un accord pour prolonger de huit saisons, jusqu'au 30 juin 2035, son contrat qui se terminait en 2027. Sa clause de résiliation augmente de plus de 50 % par rapport à la précédente », écrit le club basque dans un communiqué. « Quand il faut prendre des décisions, pour moi, ce qui compte le plus, c'est le cœur. Je suis là où je veux être, avec mon équipe, ici, c'est chez moi. Aupa Athletic ! », a déclaré Nico Williams dans la vidéo annonçant son renouvellement. Ces dernières semaines, et alors que les rumeurs d'un départ vers le FC Barcelone se propageaient, une fresque le représentant dans les rues de Bilbao avait été vandalisée à plusieurs reprises. Cette fois, dans la vidéo d'annonce de sa prolongation, c'est le joueur lui-même qui vient y laisser sa trace en pleine nuit en taggant un grand « WIN », comprendre « Gagner » ainsi que « 2035 ».
L'Équipe
a day ago
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Convoité par le FC Barcelone et le Bayern Munich, Nico Williams prolonge finalement à l'Athletic Bilbao
Annoncé sur le départ avec des offres du FC Barcelone et du Bayern Munich, l'ailier espagnol Nico Williams a finalement prolongé, vendredi, avec l'Athletic Bilbao, jusqu'en juin 2035. Sa clause libératoire a également été augmentée de 50 %. Revirement de situation dans le mercato estival. Annoncé proche du FC Barcelone mais aussi en discussion avec le Bayern Munich, l'ailier de 22 ans Nico Williams a finalement prolongé son contrat, ce vendredi, avec l'Athletic Bilbao, jusqu'en 2035. Son bail initial courait jusqu'en 2027. Le club basque a également annoncé une augmentation de 50 % de sa clause libératoire, à l'origine fixée à 58 M€. « Quand il faut prendre des décisions, pour moi, ce qui compte le plus, c'est le coeur, a déclaré l'international espagnol (26 sélections), formé au club, dans la vidéo d'annonce de sa prolongation. Je suis là où je veux être, avec mon équipe, ici, c'est chez moi. Aupa Athletic ! » « Cette nouvelle preuve de loyauté marque une étape importante dans l'histoire des rouges et blanc », a partagé l'Athletic Bilbao, qui disputera la Ligue des champions la saison prochaine. Son frère aîné, Inaki Williams, qui porte lui aussi les couleurs de l'équipe espagnole (jusqu'en juin 2028), a réagi sur les réseaux sociaux avec un « SE QUEDA » (il reste, traduit de l'espagnol). Cette nouvelle devrait ravir les supporters basques, qui n'avaient pas apprécié les rumeurs de départ à tel point que certains d'entre eux avaient dégradé une fresque murale en son honneur.
Le Parisien
2 days ago
- Entertainment
- Le Parisien
Une humoriste simule un acte de masturbation lors d'un stand-up dans une église basque, le diocèse crie au « sacrilège »
Sa « performance » créé la polémique. Dimanche matin, l'humoriste espagnole Ane Lindane a mimé un acte de masturbation à l'aide d'un crucifix en criant « Dieu est mort ! », debout sur l'autel de l'église Saint Laurent d'Arbérats, dans la commune d'Arbérats-Sillègue ( Pyrénées-Atlantiques ). La scène s'est produite à l'occasion du festival « Euskal Herria Zuzenean » (EHZ), qui se déroulait du 27 au 29 juin dernier. Environ 200 personnes étaient présentes dans le lieu de culte pour assister au spectacle de cette humoriste de 36 ans, originaire de Bilbao. Son entrée en scène est, selon ses dires, une « improvisation de quelques secondes ». Le parquet de Bayonne, cité par le journal Sud-Ouest , a ouvert une enquête pour « exhibition sexuelle, dégradations et provocation à la haine en raison de religion », après que les images des faits ont été abondamment relayées sur les réseaux sociaux. L'épisode a scandalisé la communauté religieuse locale. Mgr Marc Aillet, évêque du diocèse de Bayonne, a déploré des gestes « particulièrement obscènes » et des propos « violemment antichrétiens ». « De tels agissements (…) constituent, aux yeux de l'Église, un sacrilège qui appelle un acte de réparation », indique-t-il dans un court communiqué. Une messe de réparation se tiendra dans l'église le 8 juillet prochain. Devant l'ampleur prise la polémique, Ane Lindane a réagi par la provocation via une vidéo postée sur X . « Je n'étais pas moi-même, c'était le Diable. Je suis possédée ! Je suis victime », dit celle qui se revendique comme une « clown punk », précisant avoir reçu de nombreuses menaces de morts et d'appels au viol. Auprès de Ici Pays basque , l'humoriste explique que son stand-up était organisé dans le cadre d'un spectacle payant pour adultes, et assure n'avoir rien dégradé dans l'église, prévue pour accueillir l'événement. « Ce que j'ai fait, c'était pas pour de vrai. (…) En revanche, beaucoup de choses que fait l'Église catholique, c'est pas de la fiction. N'oublions pas tous les abus qui se sont passés dans des collèges catholiques français », a-t-elle poursuivi, en référence au gigantesque scandale d'abus sexuels à Bétharram .
