Dernières actualités avec #Boavista


Le Figaro
14 hours ago
- Sport
- Le Figaro
Foot : propriété de Gérard Lopez, le club historique de Boavista plongé dans les abysses au Portugal
Faute de certificat requis et de moyens financiers, ce club historique a été relégué en cinquième division portugaise, au niveau amateur. Cauchemar pour un club historique. Détenu par Gérard Lopez, Boavista a été officiellement relégué administrativement par les instances portugaises et évoluera, la saison prochaine, en cinquième division. Le club propriété de Gérard Lopez, d'abord relégué Liga 2 sur le plan sportif, ne possède pas les certificats requis de la Sécurité sociale et de l'Administration fiscale pour s'inscrire ne serait-ce qu'en troisième ou quatrième division. C'est pourquoi, il a été plongé au niveau amateur, explique le journal portugais O Jogo. Publicité Endetté dans les grandes largeurs, Boavista avait été interdit de recrutement lors de cinq des six derniers mercatos. Avant d'être même privé d'électricité dans son propre stade en raison de factures impayées. Le propriétaire Gérard Lopez - qui a vu la DNCG, en France, maintenir les Girondins de Bordeaux en National 2 - et son équipe de direction ont encore la possibilité de faire appel de cette décision. Les supporters de Boavista (champion du Portugal en 2001, cinq coupes nationales remportées) retiennent leur souffle.


L'Équipe
15 hours ago
- Sport
- L'Équipe
Le club historique portugais Boavista, propriété de Gerard Lopez, officiellement relégué au niveau amateur
Les instances portugaises ont annoncé la relégation administrative du club de Boavista, propriété de Gérard Lopez. Faute de certificat requis, le club ne pourra pas évoluer en Liga 2 et devra repartir du niveau amateur. C'est un géant portugais qui vient de tomber. Le club historique de Boavista est officiellement relégué administrativement et évoluera en cinquième division portugaise la saison prochaine, au niveau amateur. Relégué sportivement en Liga 2, le club propriété de Gérard Lopez n'a pas pu s'inscrire en deuxième division - ni dans les troisième et quatrième niveaux - faute de certificats requis de la Sécurité sociale et de l'Administration fiscale, selon le journal portugais O Jogo. Boavista est l'une des institutions du football portugais, possédant un titre de champion du Portugal (2001) et cinq coupes nationales. En proie à d'immenses dettes, Boavista a été interdit de transferts cinq fois sur les six dernières fenêtres de mercato, et a même été privé d'électricité dans son stade à cause de factures impayées. La direction a encore la possibilité d'effectuer un dernier recours en appel face aux instances portugaises - avant de connaître le même sort que Bordeaux, autre propriété de Gérard Lopez.


Le Parisien
19 hours ago
- Sport
- Le Parisien
Football : Boavista, l'un des clubs de Gérard Lopez, rétrogradé en 5e division
Boavista plonge à son tour. Un an après la relégation administrative des Girondins de Bordeaux en National 2, le club portugais, également dirigé par Gérard Lopez, s'enfonce dans la crise. Dernier de Liga Portugal cette saison, Boavista devait être relégué en D2… mais ne jouera finalement pas au deuxième, ni même au troisième niveau : la faute à des documents non transmis à temps, selon O Jogo . Résultat : le club est pour l'instant renvoyé vers le cinquième échelon, dans les rangs amateurs. La commission des licences a recalé le dossier en raison d'un défaut de certificats fiscaux et sociaux. Un ultime recours est possible dans les 3 jours à venir, mais la situation reste extrêmement précaire. Avec des dettes colossales, des fournisseurs non payés (y compris l'électricité du stade, coupée en avril), et plusieurs mercatos sans le moindre droit de recruter (5 sur les 6 derniers), Boavista illustre les failles d'un modèle de gestion. Ce n'est pas un cas isolé. Avant Boavista et Bordeaux, le club belge de Mouscron, aussi détenu par Lopez, avait subi une relégation administrative en 2022. Même Lille, cédé fin 2020, avait été laissé dans une situation financière critique. Malgré le titre remporté quelques mois plus tard, Olivier Létang parlait d'un club « mort économiquement » lors d'une audition au Sénat en 2023. Derrière les promesses de relance, les clubs de Gérard Lopez accumulent surtout les descentes aux enfers.