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Le Parisien
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Palmeiras – Chelsea : comment regarder le match gratuitement ?
La SE Palmeiras a décroché une place en quarts après avoir éliminé Botafogo, sur un score d'un but à zéro. Face aux Blues, le club basé à Sao Paulo va tout faire pour intégrer le dernier carré. Pour mémoire, l'Alviverde n'a pas disputé la finale de la Coupe du monde des Clubs depuis 2021. Les Blues, de leur côté, se sont qualifiés à l'issue du choc contre le Benfica Lisbonne (1-4). L'enjeu est fort, car les Britanniques ont l'occasion de se rapprocher d'un second sacre. Le match Palmeiras – Chelsea est diffusé ce samedi 5 juillet à 3 heures, en direct et en exclusivité sur la plateforme de streaming DAZN . Vous pouvez regarder le match qui oppose Palmeiras et Chelsea gratuitement avec le compte DAZN Freemium . Pour cela, il vous suffit de créer votre espace personnel. Vous retrouvez alors immédiatement l'intégralité des matchs de la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2025 sur l'écran de votre choix. Si vous souhaitez profiter d'une diffusion en HDR avec son Dolby 5.1, des téléchargements et des replays, optez pour le Pass Expérience Premium au prix de 9, 99 euros. Chaque saison, la plateforme de streaming sportif DAZN vous propose un large choix de contenus. Vous assistez ainsi à la saison régulière et les playoffs de la NFL, et le Super Bowl (sous conditions). Quant aux sports de combat, vous suivez le Glory kickboxing, la PFL et le Bellator, ainsi que la RWS Muay Thaï. Sports mécaniques, football, échecs, golf ou saut d'obstacles, il y en a pour toutes les envies. Cliquez ici pour voir le match Palmeiras – Chelsea


24 Heures
an hour ago
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Ce que Guy Parmelin a vraiment négocié avec le Mercosur, l'UE, les États-Unis et Trump
Le ministre conclut un accord de libre-échange avec quatre pays sud-américains. Il évoque aussi le deal avec Trump et s'exprime sur les Bilatérales. Publié aujourd'hui à 18h59 Guy Parmelin vient de conclure un accord avec le Mercosur, un marché commun qui regroupe le Brésil, l'Argentine, l'Uruguay et le Paraguay. YVAIN GENEVAY En bref: Guy Parmelin, votre plus grand succès, est-ce l'accord avec l'Inde en 2024 ou celui du Mercosur conclu mercredi? Avec l'Inde, c'était exceptionnel. Tout semblait bloqué et, à la dernière minute, nous sommes partis négocier à Mumbai. Une relation de confiance s'est créée dans la nuit. Partir de Davos à 5 h du matin et revenir à Berne le lendemain à 17 h 30 avec un accord: ça marque. Pour le Mercosur, la situation est différente. Les négociations ont été longues et difficiles, avec plusieurs pays impliqués. L'agriculture et la pharma étaient des sujets sensibles. Il fallait réussir avant l'Union européenne. Nous ne pouvions pas nous laisser doubler, alors que ce marché compte 300 millions de consommateurs. Lorsque Johann Schneider-Ammann a signé avec la Chine, il a été encensé par le PLR. Êtes-vous déçu que l'UDC n'ait pas davantage commenté vos succès? Non, il faut distinguer la vie du parti de celle du Conseil fédéral. Je fais mon travail dans l'intérêt du pays. Mon parti a quand même parlé de «voie royale» à propos du libre-échange. Vous resterez sans doute comme le ministre ayant conclu le plus d'accords, avec aussi la Malaisie, la Thaïlande ou encore l'Indonésie. Était-ce votre objectif en reprenant ce Département de l'économie en 2019? À mon arrivée, plusieurs accords étaient bloqués, surtout avec l'Inde. La pandémie, la nouvelle géopolitique mondiale et des discussions internes – notamment avec la secrétaire d'État à l'Économie – m'ont convaincu de relancer la machine. L'accord avec l'Inde a été un déclencheur, en montrant qu'un petit pays peut réussir. Ensuite, tout s'est accéléré. C'est paradoxal, car le milieu agricole, dont vous êtes issu, est craintif vis-à-vis du libre-échange. Je pars du principe que tout ce qui renforce l'économie dans son ensemble profite aussi à l'agriculture. Une économie solide permet de financer les paiements directs aux paysans qui rendent des services à la société. Mais nous restons très prudents dans les négociations. En Suisse, l'autosuffisance alimentaire est de 50%. Protéger ce secteur est une question de sécurité nationale. Avec le Mercosur, les concessions sont minimes. Les vins suisses sont en recul. Les viticulteurs craignent une concurrence accrue des vins du Mercosur. Pouvez-vous les rassurer? Je ne crois pas à une invasion de vins sud-américains. Les quotas restent limités à 50'000 hectolitres et la limitation des droits de douane fera baisser le prix de la bouteille d'environ 70 centimes. Le consommateur suisse qui achète du vin étranger pourrait ainsi préférer un vin du Mercosur à un autre. La difficulté de la production locale, ce n'est pas cette concurrence, mais la baisse de la consommation. Elle a chuté de 8% l'an dernier, soit plus que pour les vins étrangers. Les jeunes boivent moins de vin, c'est un fait. Le secteur doit se réinventer et revoir son marketing. Guy Parmelin a repris le Département de l'économie en 2019. YVAIN GENEVAY Cet accord a été salué par les milieux économiques, mais critiqué par les Verts qui dénoncent un traité au détriment du climat . Que répondez-vous? Ils devraient d'abord lire l'accord. C'est la première fois qu'un chapitre va aussi loin en matière de durabilité. Il couvre la protection du climat, la lutte contre la déforestation, un engagement pour la reforestation, des mesures strictes pour les droits des travailleurs, et la participation des peuples autochtones. Un panel d'experts indépendant a aussi été créé pour surveiller l'application de l'accord. Ses rapports publics pourront faire pression. Ce sont autant de points réclamés par le camp rose-vert. Vous attendez-vous à un référendum? C'est difficile à dire. Si une votation a lieu, nous avons de bons arguments. Il ne faut pas oublier que si l'accord échoue, des emplois risquent d'être perdus, notamment dans l'industrie des machines, avec des délocalisations. Car l'accord entre l'UE et le Mercosur permettra aux entreprises européennes d'exporter sans droits de douane. Ce n'est pas une menace, mais un constat. En 2021, le scrutin sur l'Indonésie a failli échouer, notamment à cause de l'huile de palme. Pour le Mercosur, vos adversaires brandiront le bœuf aux hormones et la déforestation. Comment convaincre? Le chapitre sur la déforestation est clairement un progrès. Pour la viande, on ne sera pas envahis par du bœuf aux hormones. Les Sud-Américains connaissent les goûts des consommateurs suisses et privilégient le bœuf naturel. L'accord encourage aussi une production sans stimulateurs de croissance. Si du bœuf aux hormones est présent dans le contingent de 3000 tonnes, il devra être clairement étiqueté comme tel. Si l'accord avec le Mercosur est conclu, le deal avec les États-Unis sur les droits de douane semble piétiner. Que se passe-t-il? Les États-Unis sont un peu submergés, avec une septantaine de pays en négociations. Ils ont déjà conclu la première étape avec la Grande-Bretagne et la Chine. Pour la Suisse, cela devrait venir rapidement. Début mai, vous indiquiez qu'un accord préliminaire serait conclu dans les deux semaines . Deux mois plus tard, rien. Avez-vous été trop optimiste? Nous pensions que ça irait plus vite. Ce n'est pas le cas. Nous ne sommes pas les seuls à le constater. Le négociateur en chef de l'UE a lui-même dû retourner à Washington. De notre côté, on nous a dit que c'était presque fini. D'ailleurs aucun membre du Conseil fédéral n'a dû intervenir pour l'instant. Le report de la hausse des droits de douane à 31% court jusqu'au 9 juillet. Faut-il s'inquiéter? Théoriquement, cette hausse pourrait avoir lieu, mais en pratique, je ne le pense pas. Rien n'est écrit, mais plusieurs signaux indiquent que les États-Unis considèrent nos négociations de bonne foi. Une prolongation du délai est possible. Notre priorité est d'obtenir rapidement un texte clair sur notre statut pour lever l'incertitude, qui est nuisible pour nos entreprises. Guy Parmelin est également directement impliqué dans l'accord avec les États-Unis sur les droits de douane. YVAIN GENEVAY Notre premier partenaire commercial reste toutefois l'Union européenne. Quel est votre avis sur le paquet d'accords avec l'UE? Depuis 2021, le Conseil fédéral insiste pour stabiliser nos relations avec l'UE. Le paquet actuel a impliqué six des sept départements et nécessité environ 200 rounds de négociations. Le message est clair: ce paquet est bénéfique pour la Suisse. Nous attendons la fin de la consultation. En 2021, c'est vous qui annonciez à Bruxelles la fin des négociations autour de l'accord-cadre. Aujourd'hui vous parlez au nom du Conseil fédéral sur le nouveau paquet. Mais vous, Guy Parmelin, pensez-vous que ce nouveau traité est bon? Que ce soit ce paquet avec l'UE ou les accords de libre-échange, il s'agit de la politique collégiale du Conseil fédéral, pas d'un de ses membres. Vous avez joué un rôle pour ramener les partenaires sociaux dans l'accord. Estimez-vous avoir fait votre devoir, ou comptez-vous vous engager dans les débats parlementaires ou lors de la votation? Une fois que le Conseil fédéral aura préparé son message, il le transmettra au parlement. En tant que chef du Département de l'économie, je suis responsable notamment du dossier sur la protection des travailleurs. Je représenterai ces aspects, tout comme mon collègue Albert Rösti le fera pour l'électricité. Tout est structuré. Jeudi, votre parti, l'UDC, saluait l'accord avec le Mercosur tout en critiquant le futur paquet avec l'UE. Que lui dites-vous? Que les deux sont importants? La politique du Conseil fédéral n'est pas celle des partis. Il arrive qu'un parti s'oppose à la position de l'un de ses membres au gouvernement. C'est normal dans notre système politique. Sur le dossier européen, le Conseil fédéral a pris une décision. Et il s'agit de la mettre en œuvre. Plus sur Guy Parmelin, le Mercosur et le libre-échange Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Florent Quiquerez est journaliste à la rubrique Suisse depuis 2015. Spécialisé en politique, il couvre avant tout l'actualité fédérale. Auparavant, il a travaillé comme correspondant parlementaire pour les Radios Régionales Romandes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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2 hours ago
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Nicolas Jarry - Joao Fonseca, Grand Chelem, Wimbledon, Troisième tour, Vendredi 04 juillet 2025
Wimbledon, Grand Chelem, Troisième tour N. Jarry (Q) J. Fonseca 6 5 3 4 38' Grand Chelem, 04 juil. 2025 afficher uniquement les temps forts (8) 15A Nicolas Jarry réagit avec un ace au T. 0-15 Faute directe en coup droit de Jarry qui n'a pas passé sa première balle. Jeu Fonseca, 5-4 Les serveurs gardent l'ascendant alors qu'il devient difficile de retourner, à l'image de Jarry, à la faute sur ce revers. Le Chilien va servir pour le set. 40-15 Nouveau service gagnant pour le Brésilien qui enchaîne bien dans ce neuvième jeu. 15A Ace extérieur de Joao Fonseca. 30-0 Fonseca boise son retour de revers sur la deuxième balle du Chilien. 15-0 Ace extérieur de Jarry. Fonseca a failli terminer sa course dans le public. Jeu Fonseca, 4-3 Le Brésilien a serré le jeu pour enchaîner les bonnes premières et provoquer les fautes en retour de Nicolas Jarry. Les joueurs tournent. 40-15 Fonseca passe une bonne première au T. Le retour de coup droit de Jarry est trop long. 30-15 Ace au T du Brésilien. 40-15 Service gagnant de Jarry. Trop compliqué à retourner. 30-15 Jarry se relance avec une accélération de coup droit sur le retour tendre de Fonseca. 15A Double faute du Chilien. 15-0 Jarry sert fort vers le T. Le retour de Fonseca sort. AV. Fonseca Service puissant au T du Brésilien. Le retour en coup droit de Jarry sort.


L'Équipe
4 hours ago
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Philippe Coutinho quitte Aston Villa et s'engage pour de bon avec Vasco de Gama
Après une saison en prêt au Vasco de Gama, Philippe Coutinho a été transféré dans son club formateur. Le Brésilien quitte Aston Villa, qu'il avait rejoint en 2022 en provenance du Barça. Le retour au pays de Philippe Coutinho va se prolonger. L'été dernier, Aston Villa avait prêté l'international brésilien au Vasco de Gama. Ce vendredi, le club anglais a annoncé le transfert définitif du milieu de terrain de 33 ans vers son club formateur. L'équipe de Rio de Janeiro retrouvera donc le joyau qu'elle avait poli jusqu'en 2010, avant qu'il ne se dirige vers l'Europe et l'Inter Milan. Sa carrière a été marquée par un brillant passage à Liverpool entre 2013 et 2018. Coutinho était alors l'un des meilleurs joueurs de Premier League. Le montant de son transfert au Barça - 135 millions d'euros - avait ensuite permis aux Reds de bâtir une équipe taillée pour le titre national et la Ligue des champions. Mais, entre la Catalogne, le Bayern, Aston Villa et Al-Duhail, le Brésilien ne s'était plus épanoui comme sur les bords de la Mersey. Avec le Vasco de Gama, il a marqué cinq buts en 26 apparitions la saison passée.


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4 hours ago
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Comparé à Messi et Neymar, adoubé par Ronaldinho et Ancelotti : avant de rejoindre Chelsea, Estevao veut confirmer... en éliminant les Blues de la Coupe du monde des clubs
Considéré par certains comme le Brésilien le plus talentueux depuis Neymar, Estevao affronte Chelsea, dans la nuit de vendredi à samedi (3 heures, heure française) en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs. Un rendez-vous particulier puisque le club londonien a acheté l'ailier de Palmeiras 57 M€ bonus inclus et le récupérera à l'issue de la compétition. Si le poids des attentes avait un nom aujourd'hui, il s'appellerait sans doute Estevao. Son surnom, récupéré lors de ses jeunes années à Cruzeiro, et qu'il déteste ? « Messinho », le petit Messi, tout simplement. L'ancienne gloire brésilienne Cafu estime que « son style ressemble à celui de Neymar » et Ronaldinho a récemment confessé « adorer le voir jouer ». Chelsea n'a d'ailleurs pas hésité, il y a un an, à mettre 34 millions d'euros (+ 23 M€ de bonus éventuels) pour s'attacher les services d'un joueur alors âgé de 17 ans et qui ne comptait que six mois en pro avec Palmeiras. Il faut croire que les Blues ont bien fait, vu le semestre suivant de l'ailier droit carioca. Estevao a terminé l'année 2024 avec 13 buts et 9 passes décisives, il a été élu meilleur joueur du Championnat et il est devenu en septembre le cinquième plus jeune joueur à évoluer en Seleçao. C'était sous le mandat de Dorival Junior, mais rien n'a changé avec l'arrivée de Carlo Ancelotti sur le banc auriverde. « Je vois ce que tout le monde voit : un joueur au talent extraordinaire, spécial, très jeune et qui a encore des choses à apprendre » Carlo Ancelotti, nouveau sélectionneur du Brésil Le technicien italien, qui a titularisé Estevao en Équateur début juin, expliquait au moment de le convoquer : « Je l'avais seulement observé à la télé ou en vidéo, mais je vois ce que tout le monde voit : un joueur au talent extraordinaire, spécial, très jeune et qui a encore des choses à apprendre. Je ne peux pas lui dire comment dribbler, il le sait mieux que moi. Ce que je peux lui dire, c'est de beaucoup travailler au niveau défensif pour aider l'équipe et de garder sa créativité avec le ballon. Mais il me semble un garçon humble donc c'est top. » C'est l'une des différences avec la précédente pépite de Palmeiras, Endrick, qui a peiné à avoir du temps de jeu au Real Madrid cette saison. Estevao possède un caractère moins m'as-tu vu et un environnement plus sain. Et côté terrain, « il a tout, nous confie un spécialiste du marché brésilien. Le dribble, la capacité à combiner, le sens du but... C'est le plus grand talent brésilien depuis Neymar. » Entre « impatience » et « concentration », le destin lui offre un duel face à Chelsea L'Europe a hâte de le découvrir et lui a hâte de découvrir l'Europe, comme il l'expliquait il y a quelques jours : « C'est très difficile de garder complètement mon esprit ici. Je vais réaliser un rêve, tout en sachant que je dois maintenir ma concentration. Au fur et à mesure que cela approche, l'impatience grandit, on a des papillons dans l'estomac. » Des déclarations qui ont été modérément appréciées au pays, d'autant qu'Estevao n'a ni marqué ni délivré de passe décisive lors de ses quatre apparitions (toutes en tant que titulaire) à la Coupe du monde des clubs et que le hasard du tableau propose un duel face à... Chelsea, dans la nuit de vendredi à samedi (3 heures, heure française) en quarts de finale. Un contexte brûlant, à tel point que son entraîneur à Rio, Abel Ferreira, a eu des mots envers les médias : « Si nous pouvions tous faire un effort de se mettre à sa place, celle d'avoir 18 ans. Vous vous rappelez de ce qu'il s'est passé avec Endrick ? Vous vouliez l'envoyer en réserve. Il faut avoir un peu d'empathie. Regardez ce que vous faites aux joueurs. Le sang, c'est ce qui fait vendre... Mais tant qu'il est là, je vais en profiter. »