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C'est vous qui le dites 4 juillet: Tourisme médical, jeunes en difficulté
C'est vous qui le dites 4 juillet: Tourisme médical, jeunes en difficulté

24 Heures

time2 days ago

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C'est vous qui le dites 4 juillet: Tourisme médical, jeunes en difficulté

Accueil | Opinion | Courrier des lecteurs | Opinion Retrouvez ici votre courrier des lecteurs du 4 juillet Commentaire 24 heures / lecteurs Publié aujourd'hui à 07h09 Tourisme médical, et nous alors? Une réflexion parue dans «24 heures» du 9 avril dénonçait le problème du tourisme médical créé par le nombre croissant de requérants d'asile qui profitent de notre système médical pour bénéficier gratuitement de traitements onéreux. À cette époque, le canton de Vaud était particulièrement concerné par la présence au CHUV de six Géorgiens en attente d'une greffe. Le coût estimé était de 300'000 francs par personne et représentait donc un montant total de 1,8 million de francs que le Canton risquait de devoir assurer. Mon épouse souffre d'une maladie qui ne peut être soignée et éventuellement guérie que par trois hôpitaux en Suisse (Lausanne, Bâle et Saint-Gall). Nous avons contacté le CHUV pour un examen en vue d'une prise en charge. Le service concerné nous a informés qu'il ne prenait pas en charge les personnes âgées de plus de 65 ans pour cette maladie (mon épouse en a 72) à cause du manque de personnel soignant. Nous sommes un couple Suisse retraité qui a toujours payé ses impôts et ses assurances. Bien que je comprenne la position du CHUV, qui doit fixer des règles, je ne comprends pas le refus de prendre en charge mon épouse dont le cas mobilisera certainement moins de soignants que les six patients Géorgiens qui n'ont pas d'assurance, mais ont bien entendu le droit d'être soignés. Dépités par le peu de considération montré par le CHUV pour notre demande de consultation soutenue par plusieurs rapports médicaux, nous avons contacté l'hôpital de Bâle, qui s'est dit prêt à nous recevoir pour une première entrevue. Je pense qu'il n'est pas nécessaire de parler des diverses contraintes en rapport avec une hospitalisation à Bâle! J'ai moi-même 85 ans… René Glauser, Ollon Jeunes en difficulté Des limites à ne pas dépasser Comme pour bon nombre de Lausannois et Lausannoises scolarisés à Béthusy dans les années 60, Corbeyrier et Luan occupent une place à part dans mon cœur. Nous sommes nombreux à être montés en car jusqu'à Corbeyrier et, de là, à pied jusqu'à Luan. Nous y avons passé de merveilleuses journées, apprenant l'art du vivre-ensemble et nous sustentant de victuailles achetées auprès du commerce local. Nos rapports avec la population et les biens qui leur appartiennent étaient basés sur le respect d'autrui. Or, que lisons-nous dans «24 heures» du 28 juin? Des jeunes «en difficulté» vandalisent véhicules, scooters, panneaux et cambriolent l'unique café de Luan. Le fait d'être un jeune en difficulté doit-il tout excuser? Si nous désirons réellement qu'un certain nombre de nos jeunes déstructurés trouvent leur place dans la vie et dans la société, ils doivent d'abord apprendre qu'il y a des limites à ne pas transgresser sous peine de punition. Je termine avec une pensée de profonde solidarité avec les habitantes et les habitants des deux localités précitées. Jean-Luc Chollet, Rovéréaz Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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