Dernières actualités avec #CaroleEtienne


Le Parisien
2 hours ago
- Science
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Enquête à Sciences-po Lille, assistante d'école maternelle écrouée pour viols, permis de conduire : les infos à retenir ce midi
Une enquête ouverte après les propos sur Internet d'une étudiante gazaouie . Le parquet de Lille a annoncé jeudi avoir ouvert une enquête pour apologie du terrorisme et apologie de crime contre l'humanité concernant les publications sur les réseaux sociaux d'une étudiante gazaouie, dont Sciences-po Lille a annulé l'inscription mercredi. « Une enquête a été ouverte pour apologie du terrorisme, apologie de crime contre l'humanité avec utilisation d'un service de communication au public en ligne », a écrit la procureure de la République de Lille, Carole Étienne, à l'AFP. Des captures d'écran circulant sur les réseaux sociaux montrent qu'un compte, attribué à cette étudiante par des internautes et fermé depuis, a repartagé des messages appelant à tuer des juifs. Les températures vont grimper la semaine prochaine, le mois d'août pourrait être caniculaire. La météo de l'Hexagone est sur le point de connaître un brusque changement dans les prochains jours. Après une séquence pluvieuse dans certaines régions et des températures parfois légèrement sous les moyennes de saison , c'est une situation quasiment inverse qui serait sur le point de s'installer en France. Chaleur et temps sec devraient ainsi être au programme de la semaine prochaine. Il ne s'agit encore que d'une tendance. Mais les signaux sont de plus en plus nombreux et fiables à mesure que l'échéance approche. C'est même un temps particulièrement chaud pour la saison qui pourrait caractériser le début du mois d'août.


Le Parisien
3 hours ago
- Politics
- Le Parisien
Une enquête ouverte après les propos antisémites d'une étudiante palestinienne admise à Sciences-po Lille
Le parquet de Lille a annoncé jeudi avoir ouvert une enquête pour « apologie du terrorisme » et « apologie de crime contre l'humanité » concernant les publications sur les réseaux sociaux de Nour Attalah, une étudiante arrivée de Gaza en février dernier, dont Sciences-po Lille a annulé l'inscription ce mercredi. « Une enquête a été ouverte pour apologie du terrorisme, apologie de crime contre l'humanité avec utilisation d'un service de communication au public en ligne », a écrit la procureure de la République de Lille, Carole Étienne. Des captures d'écran circulant sur les réseaux sociaux montrent qu'un compte, attribué à cette étudiante par des internautes et fermé depuis, a repartagé des messages appelant à tuer des juifs. Depuis, elle a été désinscrite de l'Institut d'études politiques de Lille, où elle devait étudier à partir de septembre, en raison du contenu de certaines de ses publications qui « entre en contradiction frontale avec les valeurs portées par Sciences-po Lille », a indiqué l'établissement mercredi. « Pourquoi on est passé à travers ? Il y a quand même une question, il faut y répondre », a reconnu jeudi sur RMC François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l'Intérieur. « Il y aura des poursuites qui seront engagées et sur la base de ces éléments-là, elle est susceptible d'être renvoyée dans son pays, bien évidemment », a-t-il ajouté. « Administrativement, semble-t-il, je suis très prudent, il n'y avait pas de difficulté particulière, sauf que sur les réseaux sociaux, voilà, on s'en est rendu compte », a-t-il ajouté, précisant que « les services des titres de séjour relèvent du ministère des Affaires étrangères ». Sollicité, Sciences-po Lille a expliqué avoir « accueilli cette étudiante sur proposition du consulat général de France à Jérusalem ». L'incident a fait largement réagir dans la classe politique, jusqu'au gouvernement. « Une étudiante gazaouie tenant des propos antisémites n'a rien à faire en France », a réagi sur X le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Il a indiqué avoir « demandé qu'une enquête interne soit diligentée pour que cela ne puisse en aucun cas se reproduire ». Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a souligné sur le même réseau social avoir « demandé de faire fermer ce compte haineux » , et a martelé que « les propagandistes du Hamas n'ont rien à faire dans notre pays ».


Le Figaro
18-07-2025
- Science
- Le Figaro
Bébé mort au CHU de Lille : le décès est «compatible avec une chute», annonce le parquet
Le nourrisson est décédé mardi après avoir été retrouvé blessé par terre dans un service de néonatalogie au CHU de Lille, à la suite d'un traumatisme «compatible avec une chute au sol». Le nourrisson retrouvé blessé par terre dans un service de néonatalogie du CHU de Lille est mort d'un traumatisme «compatible avec une chute au sol», a indiqué vendredi le parquet de Lille, confirmant qu'un enfant a été vu près du berceau au moment des faits. Selon les premiers éléments de l'enquête, «le nourrisson est décédé d'un traumatisme cranio-encéphalique très sévère, compatible avec une chute au sol», a indiqué à l'AFP la procureure de la République Carole Etienne. Publicité Un enfant de six ans «vu à proximité de l'enfant au sol» Les faits se sont déroulés le 11 juillet en fin de matinée au sein du service néonatologie de l'hôpital Jeanne de Flandre, l'une des principales maternités de la région: une petite fille de cinq jours, née prématurée, a été retrouvée inerte au sol dans une chambre de soin. Elle est décédée mardi. Confirmant les déclarations de la famille du nourrisson, qui a pointé le comportement perturbateur du frère d'un autre bébé hospitalisé dans le service, la procureur confirme qu'un «enfant de six ans, membre d'une autre famille, a effectivement été vu à proximité du berceau et de l'enfant au sol». L'enquête ouverte pour «recherche des causes de la mort» «se poursuit par de nombreuses diligences et auditions», indique le parquet. La famille du nourrisson n'a pour le moment pas porté plainte Le centre hospitalier, évoquant dans un communiqué de presse mercredi «un événement exceptionnel particulièrement grave et bouleversant, non lié aux soins», a pris «des mesures de stricte limitation des visites au sein des unités de néonatologie» et mis en place un soutien psychologique. La famille du nourrisson, qui n'a pas encore décidé de porter plainte ou non, a appelé l'hôpital à «assumer sa responsabilité» pour que «cela n'arrive plus jamais». Ils déplorent notamment «la vétusté des locaux», a indiqué une cousine du père du bébé, Karima Farhi, soulignant que les infirmières ne disposent pas de vitre permettant de surveiller en permanence des enfants hospitalisés loin de leurs mères et confiés à leur responsabilité. Publicité Elle souligne en outre que «le personnel médical avait été prévenu» du «comportement anormal depuis plusieurs jours» du garçonnet, déjà vu à proximité de la petite Zayneb, «qu'il appelait ma poupée». Ce qui n'a pas empêché sa présence dans le service le 11 juillet en fin de matinée alors que les visites n'y sont autorisées qu'à partir de midi, selon elle. La famille a lancé vendredi un «appel à témoins» aux parents dont les enfants ont été hospitalisés à Jeanne de Flandre, et «qui ont pu constater ou vivre le manque de sécurité et de surveillance des bébés», les appelant à contacter le parquet de Lille.