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Le Figaro
18 hours ago
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Wimbledon : «Vous m'avez volé ce jeu», s'emporte la joueuse russe Pavlyuchenkova contre une erreur d'arbitrage
LE SCAN SPORT - Le 8e de finale du tournoi féminin disputé actuellement sur le Centre Court entre Anastasia Pavlyuchenkova et Sonay Kartal a été marqué par une polémique d'arbitrage. Contrairement à Roland-Garros, Wimbledon a décidé cette année de se passer de ses juges de lignes, en privilégiant l'arbitrage électronique à 100%. Une bonne idée ? Confirmation ce dimanche: L'ordinateur n'est pas non plus parfait. Lors du match entre Anastasia Pavlyuchenkova et Sonay Kartal en huitièmes de finale sur le Centre Court, Pavlyuchenkova aurait dû remporter son jeu de service à 5–4 dans le premier set. Mais une balle clairement trop longue de son adversaire n'a pas été annoncée faute. Les ralentis de télévision ont montré que la balle était pourtant clairement faute. Mais l'arbitre a pris la décision de faire rejouer le point, car lui n'avait pas à disposition le ralenti, et ni des juges de lignes qui auraient vu clairement la balle sortir.... Après un délai de près de trois minutes pendant lequel l'arbitre a téléphoné pour clarifier la situation, il a fini par déclarer un peu gêné : « Le système électronique n'a pas été en mesure d'arbitrer le dernier point, il sera donc rejoué ». Et Kartal a finalement breaké son adversaire quelques minutes plus tard dans un instant clé de la manche à 4–4. « C'est incroyable. Vous m'avez volé le jeu ! », a lâché Pavlyuchenkova frustrée et en colère contre l'arbitre lors du changement de côté. Publicité Une colère légitime. Pour réparer cette injustice, la Russe est parvenue à débreaker dans la foulée face à son adversaire britannique et s'est imposée lors du jeu décisif (7-3 après un premier set long de 77 minutes). Elle a su surmonter la frustration de cette injustice, en se disant sûrement que le tout IA n'était pas infaillible...
L'Équipe
2 days ago
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Jannik Sinner se promène contre Pedro Martinez et se qualifie pour les huitièmes de finale de Wimbledon
Jannik Sinner n'a pas traîné pour battre (6-1, 6-3, 6-1) Pedro Martinez, diminué par une douleur à l'épaule droite. Le numéro 1 mondial s'est qualifié samedi pour son 17e huitième de finale, une première pour un Italien. Sous le toit du Centre Court, Jannik Sinner a effectué sa petite balade habituelle en première semaine pour battre (6-1, 6-3, 6-1) Pedro Martinez en moins deux heures (1 h 55'') au troisième tour. Cinq jeux perdus, le tarif bas de ses premiers tours (7 jeux perdus au premier match, 5 au deuxième). Face à l'Espagnol, diminué par une douleur à l'épaule droite et contraint de servir aux alentours de 130 km/h en premières balles, le numéro 1 mondial n'a jamais été mis en danger. Après vingt minutes de jeu, il menait 5-0 et n'avait laissé aucune balle de jeu à son adversaire qui a fait appel au kiné au changement de côté pour se faire masser l'épaule. Après ce temps mort médical adverse, l'Italien a commis quelques fautes qui ont permis au 52e mondial d'éviter la bulle. Si le jeu s'est équilibré au deuxième set, c'est avant tout en raison de quelques approximations de Sinner, un peu endormi par le faux rythme. À 6-1, 4-3, il a dû écarter ses quatre seules balles de break avant de gagner le set sur un excellent passing de coup droit croisé et de dérouler dans la troisième manche. Sans très bien jouer (31 fautes directes pour 46 coups gagnants), le protégé de Darren Cahill s'est tranquillement qualifié pour sa 17e deuxième semaine en Grand Chelem, une première pour un joueur italien. En huitièmes de finale, il affrontera Dimitrov ou Ofner et permet à son pays de placer déjà deux joueurs en deuxième semaine avec la victoire (6-2, 6-4, 6-2) de Flavio Cobolli contre Jakub Mensik.
