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Le Parisien
2 days ago
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« Ils ne mesurent pas le danger » : un adolescent de 17 ans meurt noyé dans un plan d'eau fermé de Chambly
Un adolescent de 17 ans originaire de Bornel est mort noyé dans le plan d'eau du Mesnil-Saint-Martin , un hameau de la commune de Chambly (Oise). Le drame s'est produit ce vendredi 4 juillet, en fin de journée. Une dizaine de jeunes étaient alors présents sur le site. Malgré l'intervention rapide des pompiers, le jeune homme n'a pu être réanimé. « C'est d'une tristesse inouïe. Je pense très fort à la famille », réagit le maire (PS) de la commune, David Lazarus. Ce dernier déplore les baignades sauvages sur ce site privé. « C'est une ancienne carrière qui a été remplie d'eau. Elle est particulièrement dangereuse pour la baignade car elle est profonde et la température est très vite froide. Il y a un risque d'hydrocution. » Le lieu, appartenant l'entreprise Cogéfim, était grillagé et formellement interdit à la baignade . Des merlons avaient également été installés par le passé pour en limiter l'accès et plusieurs panneaux signalaient l'interdiction. « Ils ont détruit les plages du plan d'eau pour ne pas que les gens puissent en profiter et s'allonger, poursuit l'élu. Malgré tout ça, les jeunes y vont quand même. » « Depuis le drame, j'ai rencontré plein de jeunes de Chambly qui m'ont dit qu'ils y allaient. Ils ne mesurent pas le danger », souffle l'édile. Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte, confirme Loïc Abrial, le procureur de la République. Les investigations ont été confiées à la brigade de gendarmerie de Chambly. Le jeune défunt jouait au football à l'Association Sportive des Cheminots de Chambly. L'ASCC lui a rendu hommage ce samedi matin sur les réseaux sociaux, annonçant avoir mis en place un lieu de recueillement au stade des Cheminots.
Le Parisien
3 days ago
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Marié avec la fille de son ex, un père de famille condamné pour violences et détention d'images pédopornographiques
Le cas d'Olivier C., 50 ans, habitant de Chambly (Oise) à l'époque des faits en 2021, a monopolisé le tribunal correctionnel de Senlis mercredi soir jusque tard dans la nuit. Outre la complexité des faits qui lui étaient reprochés, l'impact qu'ils ont eu sur sa famille reste difficilement quantifiable. Depuis 2009, Olivier C. vivait pacsé avec une femme ayant deux enfants d'une précédente union et avec laquelle il aura des jumelles nées en 2010. En janvier 2021, l'employeur d'Olivier C., l'Institut national du patrimoine, effectue un signalement auprès de la justice car des images à caractère pédopornographique ont été découvertes sur son disque dur professionnel.
