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France-Pays de Galles: à quelle heure et sur quelle chaîne suivre le 2e match des Bleues à l'Euro féminin ?
France-Pays de Galles: à quelle heure et sur quelle chaîne suivre le 2e match des Bleues à l'Euro féminin ?

Le Figaro

time5 days ago

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France-Pays de Galles: à quelle heure et sur quelle chaîne suivre le 2e match des Bleues à l'Euro féminin ?

Après leur belle victoire contre l'Angleterre (2-1), tenante du titre, les Bleues doivent faire le travail face aux Galloises mercredi soir lors de leur deuxième match de l'Euro. L'heure de confirmer. Après leur excellente entame à l'Euro samedi soir avec une victoire contre l'Angleterre (2-1), championne d'Europe en titre, les Bleues défient le pays de Galles ce mercredi. Les Françaises de Laurent Bonadei pourraient décrocher leur billet pour les quarts de finale en cas de nouvelle victoire. Les Galloises, plus faible adversaire du groupe et balayées par les Pays-Bas lors de la première journée (3-0), n'ont plus d'autres choix que de s'imposer pour continuer à rêver d'une qualification pour la suite de la compétition. Une rencontre à suivre à 21h mercredi en direct commenté sur notre site, mais aussi sur France 2.

France-Angleterre à l'Euro 2025 : « le statut de challenger nous va mieux », assume Delphine Cascarino
France-Angleterre à l'Euro 2025 : « le statut de challenger nous va mieux », assume Delphine Cascarino

Le HuffPost France

time05-07-2025

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France-Angleterre à l'Euro 2025 : « le statut de challenger nous va mieux », assume Delphine Cascarino

FOOTBALL - À 28 ans, Delphine Cascarino s'apprête à vivre sa quatrième compétition internationale après avoir manqué le Mondial 2023 à cause d'une blessure aux ligaments croisés. Tout juste revenue des États-Unis pour terminer la préparation avec les Bleues, la n°20 tricolore s'est confiée sur son changement de vie depuis son départ à San Diego et ses aspirations pour cet Euro disputé en Suisse. Pour l'équipe de France, il débute ce samedi 5 juillet à 21 heures contre l'Angleterre, championne d'Europe en titre. So Foot. Vous avez manqué la Coupe du monde en 2023 à cause de votre blessure au genou, puis vous avez connu une élimination en quarts aux JO l'année dernière. Est-ce que vous abordez cet Euro avec un esprit de revanche ? Delphine Cascarino. Oui, on a à cœur de faire mieux. Comme vous l'avez dit, j'ai raté une compétition majeure. Là, j'ai envie de jouer, j'ai envie de profiter avec mes coéquipières, et forcément on a envie d'aller gagner un titre, un titre qu'on n'a pas encore et on va travailler pour. On parle à l'étranger de la France comme une des favorites, pourtant, côté équipe de France, on tend à tempérer en se présentant comme un challenger. Dans quelle optique vous abordez cet Euro ? Pour moi, le terme challenger correspond bien à notre équipe, étant donné qu'on n'a rien gagné encore. Donc nous associer au fait d'être favori, je pense que ce serait un peu trop prétentieux. On a encore tout à prouver, donc le statut de challenger, ça nous va mieux. L'équipe de France semble entrer dans une nouvelle ère avec les non-sélections de joueuses majeures comme Wendie Renard, d'Eugénie Le Sommer et de Kenza Dali. Est-ce que la génération qui arrive et dont vous faites partie va enfin pouvoir remporter ce premier trophée ? Leur non-sélection, c'est assez triste pour elles, mais pour nous aussi, parce qu'en tant que sportives et en tant que femmes, ce sont des personnes qu'on apprécie. Mais quoi qu'il arrive, on va essayer de tout donner pour gagner, et je ne sais pas si sans elles ou avec elles, on aura plus ou moins de chances de l'emporter, seul l'avenir nous le dira. Depuis que Laurent Bonadei a pris la tête de l'équipe de France, il y a eu l'arrivée d'un préparateur mental dédié à l'équipe. Est-ce que ça peut faire la différence lors de l'Euro ? C'est un plus. Le fait d'avoir déjà plus de moyens, plus de staff dans l'équipe, c'est forcément positif pour nous et pour notre progression. Et oui, l'aspect mental est aussi très important et c'est peut-être ce qui nous a fait défaut dans le passé. Donc là, on est très contentes d'être mieux accompagnées. En partant à San Diego, vous n'avez pas eu peur de mettre votre carrière en sélection en jeu ? Non, je ne me suis jamais posé cette question, je n'ai jamais eu peur. Quoi qu'il arrive, je me donne toujours à fond. Si j'avais été amenée à ne pas être sélectionnée, ça aurait été la vie. La vie de sportif, c'est comme ça, des fois, il y a des choix à prendre. Même à l'autre bout du monde, je me donne à fond pour être sélectionnée. De plus en plus de joueuses françaises partent à l'étranger, alors qu'auparavant, c'était très rare. Qu'est-ce que vous pensez de cette dynamique ? Humainement, c'est que du positif pour une sportive d'aller jouer dans un autre championnat, découvrir une autre culture, une autre langue. Je pense que ça apporte individuellement, mais aussi à l'équipe de France parce que ce sont des expériences qu'on n'aurait pas eues si on était restées toute notre carrière en France.

Euro féminin : les Bleues en quête d'un premier trophée, doit-on y croire ?
Euro féminin : les Bleues en quête d'un premier trophée, doit-on y croire ?

Le Figaro

time05-07-2025

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Euro féminin : les Bleues en quête d'un premier trophée, doit-on y croire ?

L'équipe de France entre en lice à l'Euro féminin contre l'Angleterre, championne en titre, ce samedi (21h). Un an après la déception des JO et le début d'un nouveau cycle, les Bleues peuvent-elles enfin goûter à l'ivresse d'un trophée ? Football, rugby, handball et basket-ball. Quatre sports, huit équipes de France et un vilain petit canard. Les Bleues du foot entendent la même rengaine depuis très, trop longtemps : à quand un trophée majeur ? Les principales intéressées ne l'ignorent pas, les sacres en Tournoi de France (2020, 2022, 2023) ou en SheBelieves Cup (2017) n'ont aucunement la valeur qu'aurait, par exemple, un triomphe à l'Euro 2025, aventure qui a pour point de départ un périlleux duel face à l'Angleterre samedi (21h). «Notre objectif, c'est d'aller au bout, tout donner pour aller chercher un trophée», brandissait Laurent Bonadei au Figaro . Le sélectionneur tempérait toutefois : «On se positionne comme outsider puisqu'on n'a jamais rien gagné encore, donc on ne peut pas être considéré comme favoris. Surtout dans un groupe où on a les deux derniers vainqueurs de l'Euro, un groupe très très difficile.» Publicité Huit victoires de suite, série en cours La France n'a pas été vernie au tirage au sort. Tête de série grâce à son bon bilan en éliminatoires, elle a hérité des championnes d'Europe anglaises et des Pays-Bas, 11e nation au classement Fifa derrière... la France. Les Bleues ne peuvent vraiment pas bomber le torse, elles qui n'ont jamais goûté à une finale d'Euro ou Coupe du monde sous Corinne Diacre (2017-2023) et qui n'ont pas dépassé les quarts au Mondial 2023 et aux JO de Paris, malgré le coup de poker Hervé Renard. Voilà pour le verre à moitié vide. Car il y a aussi des motifs d'espoir, de rêve. Les Bleues attaquent l'Euro après huit victoires d'affilée. Un 6/6 en Ligue des nations suivi d'une démonstration face à la Belgique (5-0) et une remontée dans la douleur contre le Brésil, 4e nation mondiale (3-2). «On a acquis beaucoup d'expérience et de confiance. On doit montrer qu'on ne sera pas une équipe facile à manœuvrer, mais on ne doit pas se griser par les résultats et rester dans cette position avec de l'humilité, du travail», équilibrait Bonadei. Sur le papier, les Bleues ne manquent pas d'atouts. À commencer par la richesse de son attaque, où elle peut proposer de l'explosivité (Diani, Cascarino, Malard), des finisseuses (Katoto, Baltimore) ou de la subtilité technique (Mateo). Avec des milieux travailleuses (Toletti, Geyoro...) et de l'expérience à tous les postes, la France devra surtout surveiller sa gestion défensive des espaces, mise à mal par le Brésil, pour ne pas surcharger Peyraud-Magnin, certes décisive face à la Seleção et arrivée à maturité en tant que doyenne du groupe (33 ans). On a à cœur d'aller en chercher un, parce que ça restera à jamais le premier de l'équipe de France féminine. Elisa De Almeida, joueuse de l'équipe de France Le positif est aussi à trouver dans le malheur des autres. L'Angleterre a vu son emblématique gardienne Mary Earps, devenue remplaçante, prendre sa retraite internationale il y a un mois, à la surprise générale. La défenseuse Millie Bright, épuisée par une saison longue avec Chelsea, a renoncé à l'Euro. Les Anglaises ont été dominées par l'Espagne début juin (2-1) alors que les Pays-Bas ont été giflés par l'Allemagne (4-0). Selon son résultat samedi, la France peut soit s'ouvrir d'entrée le chemin vers les quarts, soit voir se profiler une «finale» contre les Néerlandaises le 13 juin. Le match face au pays de Galles (9 juin), Petit Poucet de l'Euro, devrait être une formalité. Bonadei, qui a loué le «caractère» de ses ouailles après la victoire sur le Brésil, pourra jouer la carte de cette armoire à trophées vide pour les motiver. Publicité «On a à cœur d'aller en chercher un, parce que ça restera à jamais le premier de l'équipe de France féminine», nous confiait la défenseuse Elisa De Almeida. L'heure n'est pas à l'urgence. Bonadei, prompt à rappeler qu'il a signé pour trois ans, jusqu'à la Coupe du monde 2027, justifiait les non-sélections de Wendie Renard et Eugénie Le Sommer au nom de «l'avenir» de l'équipe de France. Certaines joueuses, déjà précieuses (Bacha, Baltimore, Malard...) ou amenées à l'être (Samoura, Sombath...), n'ont pas plus de 25 ans, et seules Majri et Peyraud-Magnin ont dépassé les 30 ans. Lentement mais sûrement, les pions sont posés pour tenter d'offrir au football féminin français un coin de ciel bleu.

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