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Laura Tenoudji, de «Laura du web» à Madame Estrosi
Laura Tenoudji, de «Laura du web» à Madame Estrosi

Le Figaro

timea day ago

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Laura Tenoudji, de «Laura du web» à Madame Estrosi

PORTRAIT - Connue pour ses chroniques sur l'univers du numérique, Laura Tenoudji se retrouve au cœur d'une affaire de détournement de fonds aux côtés de son époux Christian Estrosi. Ce lundi 30 juin, Christian Estrosi et son épouse Laura Cohen-Tenoudji ont été placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête sur l'organisation de plusieurs événements, dont le concours de chant Eurovision Junior en 2023 et le Nice Climate Summit en 2024, dans la capitale azuréenne. En août dernier, le parquet de Marseille avait en effet ouvert une enquête mettant en cause les deux époux pour de possibles détournements de fonds publics et une prise illégale d'intérêts, avec des soupçons de favoritisme envers la femme du maire de Nice, choisie pour coanimer lesdits événements. Après treize heures d'audition, le couple est ressorti libre ce mardi. Mais depuis, les critiques fusent sur les réseaux sociaux, visant notamment l'ancienne chroniqueuse de Télématin. «Certaines personnes, sans scrupule, n'hésitent pas à s'en prendre à mon administration, mais plus encore à ma famille, à ma femme. Parce que femme de politique, elle n'aurait pas le droit d'exercer librement son métier de journaliste ?», a dénoncé Christian Estrosi. Et d'ajouter ce 1er juillet : «Comme si être un homme politique, ou femme d'un homme politique, revenait à être coupable de tout. Elle qui a toujours été présente pour les Niçois, dans l'épreuve comme dans le besoin. C'est non seulement injuste mais plus encore, profondément irrespectueux de la place des femmes.» Si celle que l'on surnomme «Laura du web» est restée silencieuse depuis, elle a toutefois approuvé les propos de son mari en repartageant sa déclaration. Car au-delà des polémiques actuelles, il reste effectivement une évidence : le parcours de Laura Tenoudji s'est construit bien avant sa rencontre avec Christian Estrosi. Publicité Boulimique de travail Née à Paris en 1976, la journaliste a grandi dans une famille d'intellectuels et d'artistes qui l'ont poussée à se construire par elle-même. Son grand-père, Edmond Ténoudji, producteur de cinéma, son père Sidney, éditeur d'art contemporain, et sa mère, Florence Walhain, artiste peintre disparue en mars dernier à l'âge de 78 ans, lui ont offert un environnement stimulant tout au long de ses jeunes années. Parallèlement à ses études à l'université Paris-Nanterre, l'ancienne élève du prestigieux lycée Pasteur de Neuilly a suivi pendant deux ans des cours intensifs de théâtre au Cours Florent et à l'école Jean Périmony, forgeant sa future aisance pour la télévision. À la suite de l'obtention de sa maîtrise en histoire en 1999, elle décroche l'entretien qui va changer sa vie : une rencontre avec William Leymergie, figure emblématique de Télématin. Nous sommes en 2000, Laura n'a que 24 ans lorsqu'elle présente sa toute première chronique. À l'orée de la montée d'Internet et des nouvelles technologies, sa mission consiste à décrypter et démocratiser cette grande toile d'araignée qu'on appelle «le web». Elle animera alors la rubrique quotidienne multimédia ainsi qu'une chronique hebdomadaire consacrée à l'innovation et au digital, ce qui lui vaudra rapidement le surnom qu'on lui connaît. Depuis vingt-cinq ans, elle est restée fidèle à Télématin, tout en multipliant les projets. Sur son profil LinkedIn, elle se décrit comme une «journaliste passionnée et engagée», une «dénicheuse de pépites françaises», convaincue qu'il faut être «un couteau suisse au XXIe siècle». Elle a notamment animé l'émission culturelle 400 millions de critiques sur TV5 Monde, chroniqué sur Europe 1 les week-ends et lancé en 2023 le podcast Les Obstinés, centré sur l'entrepreneuriat et les parcours féminins. Elle présentait aussi cette année-là Bleu, Blanc, Bouge, un programme court de France Télévisions consacré à l'innovation française, tout en collaborant avec La Tribune. «Être journaliste, c'est être curieux et aimer les autres. Je me suis tout de suite reconnue dans les entrepreneurs que je rencontrais, parce que le monde du digital m'a appris à prendre des risques», confiait-elle à Forbes en 2024. Malgré tout, c'est moins sa carrière que sa vie privée – et notamment son mariage avec Christian Estrosi – qui fait parler. Son couple avec Christian Estrosi En février 2025, William Leymergie racontait avec émotion, et à l'occasion des 40 ans de Télématin, les coulisses de la rencontre entre la chroniqueuse et le politique. «J'ai passé trente ans de ma vie là avec des jeunes gens qui ont vieilli comme moi (...) J'ai présenté à certaines personnes leur compagnon ou compagne. La petite Laura, je lui ai présenté son mari, dans la loge là-bas. On était en avance et je lui ai dit : 'tiens, viens dire bonjour à monsieur Estrosi, tu verras c'est un type très gentil.'» À l'époque, Laura ne remarque pas immédiatement l'homme politique, mais le présentateur retraité se souvient du visage ébahi de ce dernier. «Un coup de foudre» pour lui. Ce n'est que quelques années plus tard, en 2015, qu'ils se recroisent à Nice, lors d'un salon dédié aux nouvelles technologies. Leur rapprochement est d'abord professionnel, avant de devenir une histoire d'amour discrète. «On a passé l'âge des coups de tête», expliquait-elle dans Nice-Matin en 2016, l'année de leur mariage. Cette union, survenue un an seulement après leur rapprochement, n'avait pas échappé à la curiosité des observateurs, d'autant que Christian Estrosi venait de divorcer de Dominique Sassone, sénatrice des Alpes-Maritimes, après vingt ans de mariage, et qu'il avait donc vingt ans de plus que sa nouvelle compagne. Publicité Mais leur mariage dure. En août 2017, soit un an après leur union, Laura donne alors naissance à leur fille, Bianca. Depuis, elle partage rarement des photos de leur enfant, préférant préserver cette intimité, même si elle s'affiche régulièrement avec son époux. Quant au couple, il a fini par s'imposer, solide en dépit des sceptiques. En mars 2024, elle partageait une photo de leur mariage, non sans une certaine malice : «My Love… Je repense aux mauvaises langues qui pariaient que l'on ne tiendrait pas l'année… Ah, les mauvaises langues…». Avant Christian Estrosi, Laura Tenoudji avait déjà construit une autre vie de famille avec Michael Tapiro, fondateur de la Sports Management School et père de son fils, Milan, né en 2009. À 49 ans, elle est ainsi à la tête d'une famille recomposée - le maire de Nice ayant eu trois filles avec son ancienne épouse -, et navigue comme depuis toujours entre vie privée, carrière et engagement public. Un parcours riche néanmoins rattrapé pour l'heure par des questions judiciaires en suspens.

Christian Estrosi attaque Mediapart pour diffamation, la justice donne raison au maire de Nice
Christian Estrosi attaque Mediapart pour diffamation, la justice donne raison au maire de Nice

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timea day ago

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Christian Estrosi attaque Mediapart pour diffamation, la justice donne raison au maire de Nice

MEDIAS - Victoire judiciaire pour le maire de Nice. Christian Estrosi a obtenu gain de cause après la plainte pour diffamation qu'il a déposée à l'encontre d'une journaliste de Mediapart et de l'ancien directeur Edwy Plenel. Ils ont été condamnés ce vendredi 4 juillet, près de cinq ans après un article sur des proches de l'élu embauchés par la métropole. L'article de novembre 2020 révélait les conclusions d'un rapport de la cour régionale des comptes (CRC) qui ne devait être rendu public que deux jours plus tard et qui critiquait le recours par la métropole Nice Côte d'Azur, présidée par Christian Estrosi, à des conseillers très bien payés issus des hautes sphères de l'État. Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant « un ton très affirmatif » et allant « beaucoup plus loin que le rapport de la CRC ». Les deux journalistes devront payer chacun 1000 euros d'amende et conjointement 5000 euros de dommages au maire. Jusqu'à 5900 euros pour un mi-temps « Il n'y a pas eu d'enquête, la journaliste s'est contentée de recopier à charge le rapport », a dénoncé Me Olivier Baratelli, avocat de Christian Estrosi, indiquant avoir produit à l'audience de nombreux éléments sur la réalité du travail effectué par les conseillers mis en cause. Dans un rapport sur la gestion de la métropole, la CRC dénonçait « des pratiques irrégulières dans le domaine de la gestion des ressources humaines » et évoquait sans citer de nom le cas d'un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, d'un juge et d'un ancien préfet, embauchés comme vacataires et payés entre 4500 et 5900 euros par mois pour des horaires de mi-temps sans que leurs missions ne soient toujours précises. « Estrosi a embauché à la métropole des amis qui n'ont pas laissé de traces de leur travail », a titré Mediapart en donnant les noms des trois personnes. À l'époque, Christian Estrosi s'était vivement défendu en assurant qu'il continuerait « à faire appel aux meilleurs ».

Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi
Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi

Le Figaro

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Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi

Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant «un ton très affirmatif» et allant «beaucoup plus loin que le rapport» de la Cour régionale des comptes. Une journaliste de Mediapart et Edwy Plenel, son ancien directeur de publication, ont été condamnés vendredi pour diffamation à la suite d'un article de novembre 2020 sur des proches de Christian Estrosi embauchés par la métropole. L'article révélait les conclusions d'un rapport de la cour régionale des comptes (CRC) qui ne devait être rendu public que deux jours plus tard et qui critiquait le recours par la métropole Nice Côte d'Azur, présidée par M. Estrosi, à des conseillers très bien payés issus des hautes sphères de l'État. Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant «un ton très affirmatif» et allant «beaucoup plus loin que le rapport de la CRC». Les deux journalistes devront payer chacun 1.000 euros d'amende et conjointement 5.000 euros de dommages à M. Estrosi. «Il n'y a pas eu d'enquête, la journaliste s'est contentée de recopier à charge le rapport», a dénoncé Me Olivier Baratelli, avocat de M. Estrosi, indiquant avoir produit à l'audience de nombreux éléments sur la réalité du travail effectué par les conseillers mis en cause. Publicité «Pratiques irrégulières» Dans un rapport sur la gestion de la métropole, la CRC dénonçait «des pratiques irrégulières dans le domaine de la gestion des ressources humaines» et évoquait sans citer de nom le cas d'un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, d'un juge et d'un ancien préfet, embauchés comme vacataires et payés entre 4.500 et 5.900 euros par mois pour des horaires de mi-temps sans que leurs missions ne soient toujours précises. «Estrosi a embauché à la métropole des amis qui n'ont pas laissé de traces de leur travail», a titré Mediapart en donnant les noms des trois personnes. À l'époque, M. Estrosi s'était vivement défendu en assurant qu'il continuerait «à faire appel aux meilleurs». Contacté par l'AFP, l'avocat des journalistes de Mediapart n'a pas réagi dans l'immédiat.

«Cassez-vous !» : à Nice, l'exubérante mise en scène d'Estrosi pour réclamer le départ d'un bateau de croisière
«Cassez-vous !» : à Nice, l'exubérante mise en scène d'Estrosi pour réclamer le départ d'un bateau de croisière

Le Figaro

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«Cassez-vous !» : à Nice, l'exubérante mise en scène d'Estrosi pour réclamer le départ d'un bateau de croisière

Le maire de Nice a voulu empêcher le débarquement de passagers d'une croisière en s'appuyant sur un arrêté qui n'est pas encore en vigueur, selon la préfecture. «Vous n'avez pas le droit d'être là [...] Cassez-vous !» : depuis une embarcation, le maire de Nice Christian Estrosi (Horizons) s'en est pris verbalement à l'équipage d'un bateau de croisière qui se trouvait dans la rade de Villefranche-sur-Mer, en train de débarquer des passagers. Agacé et dans une mise en scène exubérante, l'élu leur a affirmé qu'ils pouvaient être «lourdement condamnés». «Vous n'êtes personne !», leur a-t-il encore lancé lors d'une séquence filmée par France 3 Côte d'Azur. Avec plus de 3000 passagers, le Voyager of the Seas de la compagnie Royal Caribbean Group ne respectait pas, selon Christian Estrosi, un arrêté en vigueur depuis juillet qui interdit les grands navires de croisière, jugés trop polluants. Le maire de Nice, également président de la métropole, souhaitait début janvier chasser les croisières de la rade de Villefranche-sur-Mer et du port de Nice, mais face à la forte contestation des acteurs économiques et maritimes, il était revenu sur cette décision, fixant alors des critères. Publicité Les escales dans la rade doivent ainsi être limitées à 65 par an, avec pas plus d'un bateau par jour et le nombre de passagers à bord ne peut plus excéder 2500. Sur le port de Nice, les bateaux avec plus de 450 passagers ne devraient plus être acceptés. «Je ne lâcherai rien» Dans un courrier adressé au commandant de la croisière visée, Christian Estrosi lui a notifié l'interdiction de débarquer des passagers à terre du fait du non-respect de ces conditions. L'élu indique également avoir saisi la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher et les préfets de la Méditerranée et des Alpes-Maritimes. «En tant qu'autorité portuaire, j'ai tenu à me rendre moi-même à bord du bateau pour notifier formellement à l'équipage l'interdiction de débarquement. Le commandant a non seulement refusé de me recevoir à bord, mais également de prendre en compte ma notification officielle», a ensuite expliqué Christian Estrosi sur son compte X, en précisant qu'il avait alors «ordonné la fermeture de tous les accès à la gare maritime». «Au lendemain du Sommet de l'océan, je ne lâcherai rien», a-t-il encore affirmé. L'Union maritime des Alpes-Maritimes (UM06), qui s'était opposée à cette interdiction stricte des croisières, a assuré que la présence de ce navire était tout à fait autorisée par les différentes autorités compétentes. «Buzz» et «bluff» «La réglementation dont il parle n'existe pas», assure Nicolas Plummion au Figaro, le président de l'UM06. «Il y en a marre, c'est lui qui est en position illégale et qui veut faire le buzz. Ce n'est que du bluff, il y en ras-le-bol de vouloir nous empêcher de bosser», dénonce-t-il. Publicité Contactée par Le Figaro, la préfecture confirme qu'à ce stade, aucun arrêté de limitation des croisières n'est en vigueur, comme l'affirme pourtant Christian Estrosi. «Au-delà de la légalité, il y a un sujet plus global sur ces paquebots : pour le faire avancer de manière efficace, il faut qu'il y ait une coordination, ça ne peut pas être unilatéral. Il faut un travail concerté, qui a déjà commencé», a réagi le préfet Laurent Hottiaux sur le plateau de BFM Nice. Le représentant de l'État a rappelé que si la gare maritime relevait bien de la compétence de la métropole, «la possibilité de débarquer relève du département, qui est investi du pouvoir de police portuaire». En réaction à cette séquence, le député niçois Éric Ciotti, ennemi juré de Christian Estrosi et qui siège au conseil départemental, n'a pas pu s'empêcher de railler cette sortie. «Barbe rouge ! À l'abordage avant d'être coulé», a-t-il écrit sur son compte X, en ajoutant une tête de clown. Si de nombreuses croisières font historiquement escale sur la Côte d'Azur, elles ne sont plus forcément les bienvenues. À Cannes, David Lisnard vient également de décider de limiter le nombre d'escales, lui qui réclame un pouvoir décisionnel sur cette question laissée aux maires.

Christian Estrosi part à l'abordage contre le paquebot Voyager of the Seas, en rade de Villefranche-sur-Mer
Christian Estrosi part à l'abordage contre le paquebot Voyager of the Seas, en rade de Villefranche-sur-Mer

Le HuffPost France

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Christian Estrosi part à l'abordage contre le paquebot Voyager of the Seas, en rade de Villefranche-sur-Mer

NICE - Christian Estrosi a offert une image insolite jeudi 3 juillet. Le maire de Nice a en effet voulu montrer qu'il ne se laissait pas faire face aux paquebots qui ne respectent pas de nouvelles obligations de mouillage au large des côtes niçoises. Depuis le 1er juillet, les navires de croisière sont en effet limités dans la rade de la ville voisine de Villefranche-sur-Mer, afin de « réduire la pollution et préserver la santé des habitants », selon les arguments du maire de Nice dévoilés quelques jours plus tôt au micro de France 3. Les paquebots doivent désormais avoir une capacité maximale de 2 500 passagers pour pouvoir mouiller dans la rade Villefranche-sur-Mer et de 450 au au port de Nice. Avec comme règles supplémentaires : une seule escale par jour et 65 maximum par an. Face au cas d'un navire ne respectant pas ces nouvelles mesures, Christian Estrosi s'est donc retroussé les manches pour aller lui-même le prévenir qu'il était hors des clous. À bord d'un navire de la police portuaire, l'élu niçois s'est approché au plus près de l'immense Voyager of the Seas, de la compagnie américaine Royal Caribbean International, dans le but de remettre à son commandant de bord une lettre rappelant les nouvelles règles émises par la Métropole Nice-Côte d'Azur. Car avec 3 100 passagers à son bord, ce paquebot accueille donc 600 passagers de plus que les 2 500 règlementaires. « Toutes les compagnies maritimes sont déjà parfaitement informées. Si le navire ne lève pas l'ancre, nous engagerons des poursuites », a relevé Christian Estrosi auprès de France 3 lors de cette séquence maritime inhabituelle. Le maire s'est aussi adressé directement au capitaine du paquebot. « You're not allowed to be there » Mais face au refus de celui-ci de le laisser monter à bord, Christian Estrosi s'en est alors pris avec véhémence à un officier présent sur un ponton directement arrimé au paquebot : « où est le capitaine ? Je suis le Président de la Métropole et vous n'êtes pas autorisés à être ici ! Vous serez lourdement condamnés pour ça ! Vous n'êtes personne ! ». « La gare maritime de Villefranche-sur-Mer est fermée. Les passagers ne pourront pas débarquer », a-t-il encore prévenu, sans grand succès, comme le relate France 3 et comme vous pouvez également le voir dans la séquence vidéo reprise ci-dessous par BFMTV. « Je regrette de voir qu'il y a des gens qui se croient tout permis et qui croient que le domaine maritime de la métropole leur appartient », s'est ensuite plaint l'édile en rentrant bredouille de sa virée, avec toujours sa lettre entre les mains. Il compte désormais porter plainte contre le navire « pour non-respect des décisions de la Métropole ». Le maire de Nice pourrait toutefois avoir des problèmes avec la justice avec cette tentative infructueuse. Car l'Union Maritime des Alpes-Maritimes dénonce désormais une « tentative d'embarquement illégale du maire de Nice à bord du navire de croisière Voyager of the Seas, sans autorisation préalable ». D'autant que cette escale avait été validée en amont par la Métropole de Nice elle-même », souligne l'association, pour qui le paquebot était donc parfaitement en règle en jetant l'ancre à cet endroit.

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