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Le Figaro
03-08-2025
- Sport
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Cyclisme : combien va toucher Pauline Ferrand-Prévot après son sacre sur le Tour de France Femmes ?
Lauréate de la Grande Boucle au féminin, Pauline Ferrand-Prévot touchera une belle petite somme. Mais bien moins que Tadej Pogacar, vainqueur chez les messieurs... Le Tour de France Femmes 2025, parti de Vannes la semaine dernière, s'est achevé ce dimanche à Châtel Les Portes du Soleil au terme d'une nouvelle étape de montagne marquée, entre autres, par la montée difficile du col de Joux Plane. Le jour de gloire pour Pauline Ferrand-Prévot, qui a enlevé la victoire d'étape et le classement général. Elle remportera ainsi une jolie somme, à savoir 50.000 euros. La deuxième du classement général, Demi Vollering, touchera 25.000 euros, et la troisième, Katarzyna Niewiadoma, aura droit à 10 000 €. Puis, ce sera dégressif avec par exemple un gain de 1 500 euros pour la dixième. Il est bon de signaler que ces primes seront partagées entre les différents membres des équipes. Publicité Dix fois moins que les hommes Ces montants, qui peuvent sembler assez intéressants pour une course très jeune – c'est seulement la quatrième édition –, sont malgré tout dix fois inférieurs à ceux que touchent les hommes lors de la Grande Boucle. En effet, Tadej Pogacar – et son équipe – a empoché 500.000 euros pour sa victoire finale après trois semaines de course. Il faut dire que le cyclisme masculin est, pour l'instant, bien plus développé et médiatisé que le cyclisme féminin. Une chose est sûre, si ce dernier continue d'attirer de plus en plus de monde, les gains devraient rapidement augmenter.


Le Figaro
03-08-2025
- Sport
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Tour de France Femmes : combien va toucher la gagnante de la quatrième édition ?
La lauréate de la Grande Boucle touchera une belle petite somme. Mais bien moins Le Tour de France Femmes 2025, parti de Vannes la semaine dernière, s'achève ce dimanche à Châtel Les Portes du Soleil au terme d'une nouvelle étape de montagne marquée, entre autres, par la montée difficile du col de Joux Plane. Celle qui remportera le maillot jaune empochera une jolie somme, à savoir 50 000 euros. Dix fois moins que les hommes La deuxième du classement générale touchera 25 000 euros et celle qui complètera le podium aura droit à 10 000 €. Puis, ce sera dégressif avec par exemple un gain de 1 500 euros pour la dixième. Il est bon de signaler que ces primes seront partagées entre les différents membres des équipes. Publicité Ces montants, qui peuvent sembler assez intéressants pour une course très jeune – c'est seulement la quatrième édition –, sont malgré tout dix fois inférieurs à ceux que touchent les hommes lors de la Grande Boucle. En effet, Tadej Pogacar – et son équipe – a empoché 500 000 euros pour sa victoire finale après trois semaines de course. Il faut dire que le cyclisme masculin est, pour l'instant, bien plus développé et médiatisé que le cyclisme féminin. Une chose est sûre, si ce dernier continue d'attirer de plus en plus de monde, les gains devraient rapidement augmenter.


Le Figaro
26-07-2025
- Sport
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Tour de France Femmes : rivalité Vollering-Van der Breggen, Ferrand-Prévot outsider, les Françaises meilleures que les Français...5 raisons de suivre l'édition 2025
Le Tour de France Femmes avec Zwift 2025 s'élance ce samedi de Vannes. Il se terminera dimanche prochain à Châtel Les Portes du Soleil. Un suspense attendu S'il n'y a (quasiment) pas eu de suspense dans le Tour de France masculin avec une domination écrasante de Tadej Pogacar, il devrait en être autrement dans le Tour de France Femmes avec Zwift. Les favorites sont nombreuses : Katarzyna Niewiadoma, Demi Vollering, Anna van der Breggen, Marlen Reusser, Pauline Ferrand-Prévot, Elisa Longo Borghini ou encore Pauliena aucune d'entre elles ne semble être une jambe au-dessus des autres. Ce qui devrait nous offrir une course aussi ouverte qu'excitante. Rappelons que l'année dernière, la Polonaise – la première citée – avait remporté la Grande Boucle avec seulement quatre secondes d'avance sur la tenante du titre – la deuxième citée, nouvelle coureuse de la FDJ-Suez – et dix sur l'étonnante Néerlandaise de la Fenix-Deceuninck – la dernière citée – au terme d'une dernière étape d'anthologie avec une arrivée à l'Alpe d'Huez. À découvrir Le classement du Tour de France La rivalité Demi Vollering-Anna van der Breggen Il y a encore un an, Anna van der Breggen – retraitée depuis fin 2021 – était la directrice sportive de Demi Vollering au sein de la Team SD Worx - Protime. C'est elle, entre autres, qui l'avait menée au sacre sur le Tour de France 2023. Mais l'excitation de la course manquait (trop) à la double championne du monde. Et elle a finalement décidé de reprendre sa carrière professionnelle, à la surprise géné surtout à la surprise de sa compatriote qui n'avait pas été mise au courant de ce choix. La meilleure coureuse du monde s'est (légèrement) sentie trahie et a fait le choix d'aller voir ailleurs pour retrouver de la confiance. Elle a choisi de rejoindre la FDJ-Suez, l'une des meilleures du monde, pour l'aider à gagner une nouvelle fois la Grande Boucle. Avec le soutien de grimpeuses telles que Juliette Labous et Évita Muzic, elle devrait avoir l'équipe nécessaire pour atteindre son objectif. Et battre sa nouvelle rivale ? Une chose est sûre, on devrait assister à une belle bataille entre les deux anciennes les autres favorites. À lire aussi Tour de France : «On m'appelle Hercule Poirot !», Elie, des étals des marchés au volant de la voiture poireau Publicité Pauline Ferrand-Prévot de retour pour en découdre Il y a un an, Pauline Ferrand-Prévot remportait la médaille d'or olympique de l'épreuve VTT cross-country. Dans la foulée, elle annonçait son envie de revenir sur la route avec l'ambition, dans les trois ans, de remporter le Tour de France Femmes avec Zwift. Son début de saison a été étincelant, au-delà des attentes avec une troisième place sur les Strade Bianche Donne et une victoire de prestige sur Paris-Roubaix. On l'a en revanche sentie un peu plus e difficulté sur les épreuves avec des ascensions un peu plus longues. Mais la championne française a pris le temps de se préparer ces dernières semaines pour être au mieux sur cette Grande Boucle. Elle sera à coup sûr l'une des attractions de l'épreuve. Tant sur qu'en dehors de la route ! Des Françaises meilleures que les Français ? Un coureur dans les dix premiers du classement général – Kévin Vauquelin – et une victoire d'étape avec Valentin Paret-Peintre au sommet du Mont le Tour de France masculin, les Français ne sont pas rentrés bredouilles. Mais ils n'ont pas non plus beaucoup pesé sur la course. Les Françaises, elles, devraient se distinguer davantage. En effet, avec Pauline Ferrand-Prévot et l'étonnante Cédrine Kerbaol, les Tricolores comptent deux outsiders, capables de jouer une place dans les cinq premières au classement général, voire de monter sur le podium (si ce n'est plus pour PFP). Juliette Labous et Évita Muzic, coéquipières de Demi Vollering devraient aussi avoir l'occasion de se mettre en évidence quand la route s'élève. Tout comme Marion Bunel, la jeune équipière de Pauline Ferrand-Prévot, qui fait partie des favorites pour le maillot blanc de meilleure jeune. Il faudra aussi surveiller la prometteuse grimpeuse Julie Bégo, qui dispute sa première Grande Boucle, ainsi que la routière-sprinteuse Gladys Verhulst-Wild sur les étapes qui seront réservées aux filles les plus rapides. Enfin, Dilyxine Miermont, deuxième d'une étape sur le dernier Tour d'Italie, pourrait bien être l'une des révélations de cette édition 2025. À lire aussi Tour de France femmes 2025 : le parcours dévoilé, avec une diagonale de la Bretagne aux Alpes Un parcours relativement difficile Neuf étapes et très peu réservées aux sprinteuses. Le Tour de France Femmes avec Zwift 2025 s'annonce aussi difficile que palpitant. Le départ, en Bretagne, devrait sourire aux sprinteuses avec la côte de Cadoudal du côté de Plumelec (1ère étape) et le final difficile vers Quimper (2e étape). Les filles les plus rapides devraient ensuite avoir l'occasion de s'illustrer à Angers (3e étape) et à Poitiers (4e étape). Puis, on rentrera dans le dur avec un parcours escarpé du côté de Guéret (5e étape)...avant la moyenne montagne entre Clermont-Ferrand et Ambert (6e étape) et Bourg-en-Bresse et Chambéry (7e étape) avec entre autres le col du Granier. Surviendra alors l'étape-reine de cette Grande Boucle entre Chambéry et le mythique col de la Madeleine (18,9 km à 8%) qui devrait faire des dégâts pour le classement général (8e étape). La dernière étape (montagneuse) entre Praz-sur-Arly et Châtel Les Portes du Soleil s'annonce aussi propice à des attaques de loin. Pour renverser le Tour ?