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Le Parisien
4 days ago
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Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand, les auteurs en fuite
Nouveau drame dans le Puy-de-Dôme. Un homme de 31 ans a été tué par arme blanche dans la nuit de vendredi à samedi à Clermont-Ferrand, a appris samedi l'AFP de sources concordantes. La victime a été touchée au coeur et au poumon vers minuit et est décédée à l'hôpital, et un deuxième homme a été blessé, a indiqué une source policière à l'AFP, évoquant l'hypothèse d'un différend avec trois personnes dans un contexte alcoolisé. Les auteurs sont en fuite selon cette même source. Le parquet a ouvert une enquête confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée du Puy-de-Dôme. « La victime est née en 1993 à Mayotte et vivait à Clermont-Ferrand », a-t-il précisé à l'AFP. Selon le quotidien local la Montagne , dont les informations ont été confirmées par une seconde source policière, l'homme a été blessé au cours d'une rixe survenue place du 1er mai, où plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées. La semaine dernière, un militaire hors-service de 27 ans a été tué à coups de couteau au cours d'une rixe sur fond d'alcool à la sortie d'une discothèque à Clermont-Ferrand. Son collègue de 23 ans a également été blessé et hospitalisé sans que ses jours ne soient en danger.


Le Figaro
4 days ago
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Un homme tué par arme blanche à Clermont-Ferrand
L'homme aurait été blessé au cours d'une rixe survenue place du 1er mai, où plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées, selon le quotidien local La Montagne. Un homme de 31 ans a été tué par arme blanche dans la nuit de vendredi à samedi à Clermont-Ferrand, a appris samedi l'AFP de sources concordantes. La victime a été touchée au cœur et au poumon vers minuit et est décédée à l'hôpital, et un deuxième homme a été blessé, a indiqué une source policière à l'AFP, évoquant l'hypothèse d'un différend avec trois personnes dans un contexte alcoolisé. Les auteurs sont en fuite selon cette même source. Le parquet a ouvert une enquête confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée du Puy-de-Dôme. «La victime est née en 1993 à Mayotte et vivait à Clermont-Ferrand», a-t-il précisé à l'AFP. Publicité Un militaire tué Selon le quotidien local La Montagne, dont les informations ont été confirmées par une seconde source policière, l'homme a été blessé au cours d'une rixe survenue place du 1er mai, où plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées. La semaine dernière, un militaire hors-service de 27 ans a été tué à coups de couteau au cours d'une rixe sur fond d'alcool à la sortie d'une discothèque à Clermont-Ferrand. Son collègue de 23 ans a également été blessé et hospitalisé sans que ses jours ne soient en danger.


Le Parisien
5 days ago
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Le pisciculteur qui dénonçait des prélèvements excessifs de Volvic débouté
L'affaire tombe à l'eau. La justice administrative a rejeté vendredi la requête d'un propriétaire de pisciculture qui estimait que les prélèvements d'eau accordés à Volvic par l'État lui étaient préjudiciables. Édouard de Féligonde, propriétaire d'un site classé monument historique, réclamait 32 millions d'euros à l'État, affirmant que le tarissement de ses sources était lié aux prélèvements de Danone pour son usine d'embouteillage d'eau minérale Volvic. Le tribunal administratif de Clermont-Ferrand a estimé que « les requérants n'(étaient) pas fondés à se prévaloir d'une carence fautive du préfet du Puy-de-Dôme ». Les plaignants avançaient que depuis 2017, plusieurs mois par an, les sources situées en aval des forages de Danone étaient à sec, et que les bassins privés d'eau s'effondraient, poussant à l'arrêt de l'exploitation. Or, c'est le préfet qui délivre les autorisations de prélèvements. Le tribunal administratif a estimé que l'instruction n'avait pas montré que « les informations dont disposait le préfet du Puy-de-Dôme lui auraient permis d'imputer le tarissement des sources du domaine ( des plaignants ) au caractère excessif des prélèvements autorisés dans l'aquifère de Volvic, en particulier de ceux consentis à la société des eaux de Volvic ». Les juges notent en outre que la préfecture était intervenue en décembre 2021 pour prescrire la baisse des prélèvements maximum autorisés . Par ailleurs, ils estiment que l'autorisation de prélèvements sollicitée par la Société des eaux de Volvic, parce qu'elle n'impliquait pas la réalisation de travaux, ne nécessitait pas d'étude d'impact préalable, comme réclamé par les plaignants. Dans un message à l'AFP, Édouard de Feligonde a dénoncé « un véritable déni de justice ». « L'État n'a rien fait contre le tarissement des sources et l'autre question est sur les prélèvements », souligne-t-il, assurant que le dossier « continuerait prochainement » et laissant entendre qu'il ferait appel du jugement. De son côté, la Société des Eaux de Volvic a salué la décision. « Bien que nous ne soyons qu'observateurs dans cette procédure, c'est une décision satisfaisante », a-t-elle réagi dans un communiqué. Elle souligne être « engagée de longue date dans une réduction des prélèvements d'eau qui sont soumis à des autorisations accordées par les pouvoirs publics » et rappelle avoir réduit à Volvic ses « prélèvements de 15 % entre 2017 et 2024 » et s'être engagé à le faire davantage en cas d'alerte sécheresse.


Le Figaro
13-07-2025
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Militaires agressés au couteau à Clermont-Ferrand : un suspect poursuivi pour meurtre
Un jeune homme a été mis en examen pour meurtre et tentative de meurtre puis écroué. Déjà condamné en 2021 alors qu'il était mineur pour «violences en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner», il encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Un homme soupçonné d'avoir poignardé mortellement ce vendredi 11 juillet un militaire hors-service et blessé son collègue lors d'une rixe à Clermont-Ferrand, a été ce samedi mis en examen pour meurtre et tentative de meurtre puis écroué, a appris l'AFP ce dimanche auprès du parquet. gé d'une vingtaine d'années, il avait été interpellé peu après les faits avec un autre homme du même âge qui a été mis en examen pour «violences aggravées». Les deux hommes ont été placés en détention provisoire, selon la même source à l'AFP. Déjà condamné en 2021 à Moulins alors qu'il était mineur pour «violences en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner», l'homme soupçonné d'avoir porté les coups de couteau encourt la réclusion criminelle à perpétuité «du fait de sa récidive», a encore précisé le parquet. Publicité L'autre militaire toujours hospitalisé La rixe sur fond d'alcool s'était déroulée dans la nuit de jeudi à vendredi à la sortie d'une discothèque avant de «dégénérer», selon la même source à l'AFP. Les victimes, touchées au ventre, avaient été aussitôt prises en charge avec un pronostic vital engagé pour le militaire de 27 ans décédé vendredi soir des suites de ses blessures. Son collègue, âgé de 23 ans, est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger. Le ministre des Armées Sébastien Lecornu avait fait part de sa «vive émotion» samedi sur X, après le décès du caporal-chef Kévin Amodru, qui appartenait au 92e régiment d'infanterie de Clermont-Ferrand, en présentant ses condoléances aux proches et aux «frères d'armes» du disparu.


Le Parisien
11-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Aide sociale à l'enfance : après le suicide de Lily, 15 ans, le département du Puy-de-Dôme visé par une plainte
Une plainte pour mise en danger de la vie d'autrui, déposée début juillet par l'association CDP-Enfance après le suicide d'une jeune adolescente, vise le département du Puy-de-Dôme. Lily , 15 ans, a été retrouvée sans vie janvier dernier dans une chambre d'hôtel où elle avait été placée par l'Aide sociale à l'enfance . « Nous avons saisi le procureur de Clermont-Ferrand pour mise en danger de la vie d'autrui », a déclaré Michèle Créoff, membre de l'association CDP-Enfance et ancienne vice-présidente du Conseil national de la protection de l'enfance, confirmant une information de Mediapart. Dans la plainte, l'association pointe une « prise en charge dans des lieux d'accueil inadaptée à l'âge et à la situation » de l'adolescente, « l'absence de professionnels qualifiés » autour d'elle et « l'absence de réaction face aux signaux d'indice de [sa] vulnérabilité ». Outre la plainte pénale, CDP-Enfance a engagé une procédure administrative pour faire déclarer illégal le placement de Lily à l'hôtel, et une autre pour demander la reconnaissance de la responsabilité de l'État. « L'idée c'est de mettre fin à l'illégalité qui encadre ce dispositif où les responsables ne sont jamais reconnus comme tels », explique Michèle Créoff. Contacté, le conseil départemental du Puy-de-Dôme affirme ne pas avoir été informé officiellement par la justice à ce stade. Le suicide de Lily, le 25 janvier 2024, avait suscité des critiques sur l'état de l'Aide sociale à l'enfance et sur le recours aux hôtels pour loger des enfants, faute de places suffisantes dans les structures existantes. Le décret d'application de la loi Taquet de 2022, qui limite, sans interdire, le recours aux hôtels, a été publié quelques semaines après le drame, en février. Dans la foulée, une commission d'enquête de l'Assemblée nationale avait été lancée. Dans son rapport final publié en avril dernier , elle exhortait les autorités à « agir vite ». La Défenseure des droits Claire Hédon a également alerté sur « de lourdes défaillances » en matière de protection de l'enfance .