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Mercato : Marcin Bulka quitte officiellement Nice pour Neom SC en Arabie saoudite
Mercato : Marcin Bulka quitte officiellement Nice pour Neom SC en Arabie saoudite

L'Équipe

time15 hours ago

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Mercato : Marcin Bulka quitte officiellement Nice pour Neom SC en Arabie saoudite

Marcin Bulka s'est officiellement engagé ce samedi avec le Neom SC. Il suit Alexandre Lacazette et Amadou Koné, également enrôlés par le club saoudien après des passages dans des équipes de Ligue 1. Marcin Bulka est désormais un joueur du Neom SC. Comme attendu, le Polonais s'est engagé ce samedi avec le club saoudien, qui aurait déboursé environ 15 millions d'euros pour s'attacher ses services. Au sein du club récemment promu en Saudi Pro League, il retrouvera d'autres anciens de Ligue 1 comme Alexandre Lacazette, arrivé libre après la fin de son contrat avec l'OL, ou Amadou Koné, passé de Reims à Neom fin juin. Bulka (25 ans) quitte Nice après quatre saisons sur la Côte d'Azur. Arrivé en prêt en 2021 en provenance du PSG, il a ensuite été acheté par le Gym, qui l'a installé dans son but et est devenu un joueur référencé en Ligue 1. International polonais (5 sélections), il retrouvera au Neom SC Christophe Galtier, nouvel entraîneur du club, qu'il a côtoyé lors de sa première saison à Nice.

Laura Tenoudji, de «Laura du web» à Madame Estrosi
Laura Tenoudji, de «Laura du web» à Madame Estrosi

Le Figaro

timea day ago

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Laura Tenoudji, de «Laura du web» à Madame Estrosi

PORTRAIT - Connue pour ses chroniques sur l'univers du numérique, Laura Tenoudji se retrouve au cœur d'une affaire de détournement de fonds aux côtés de son époux Christian Estrosi. Ce lundi 30 juin, Christian Estrosi et son épouse Laura Cohen-Tenoudji ont été placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête sur l'organisation de plusieurs événements, dont le concours de chant Eurovision Junior en 2023 et le Nice Climate Summit en 2024, dans la capitale azuréenne. En août dernier, le parquet de Marseille avait en effet ouvert une enquête mettant en cause les deux époux pour de possibles détournements de fonds publics et une prise illégale d'intérêts, avec des soupçons de favoritisme envers la femme du maire de Nice, choisie pour coanimer lesdits événements. Après treize heures d'audition, le couple est ressorti libre ce mardi. Mais depuis, les critiques fusent sur les réseaux sociaux, visant notamment l'ancienne chroniqueuse de Télématin. «Certaines personnes, sans scrupule, n'hésitent pas à s'en prendre à mon administration, mais plus encore à ma famille, à ma femme. Parce que femme de politique, elle n'aurait pas le droit d'exercer librement son métier de journaliste ?», a dénoncé Christian Estrosi. Et d'ajouter ce 1er juillet : «Comme si être un homme politique, ou femme d'un homme politique, revenait à être coupable de tout. Elle qui a toujours été présente pour les Niçois, dans l'épreuve comme dans le besoin. C'est non seulement injuste mais plus encore, profondément irrespectueux de la place des femmes.» Si celle que l'on surnomme «Laura du web» est restée silencieuse depuis, elle a toutefois approuvé les propos de son mari en repartageant sa déclaration. Car au-delà des polémiques actuelles, il reste effectivement une évidence : le parcours de Laura Tenoudji s'est construit bien avant sa rencontre avec Christian Estrosi. Publicité Boulimique de travail Née à Paris en 1976, la journaliste a grandi dans une famille d'intellectuels et d'artistes qui l'ont poussée à se construire par elle-même. Son grand-père, Edmond Ténoudji, producteur de cinéma, son père Sidney, éditeur d'art contemporain, et sa mère, Florence Walhain, artiste peintre disparue en mars dernier à l'âge de 78 ans, lui ont offert un environnement stimulant tout au long de ses jeunes années. Parallèlement à ses études à l'université Paris-Nanterre, l'ancienne élève du prestigieux lycée Pasteur de Neuilly a suivi pendant deux ans des cours intensifs de théâtre au Cours Florent et à l'école Jean Périmony, forgeant sa future aisance pour la télévision. À la suite de l'obtention de sa maîtrise en histoire en 1999, elle décroche l'entretien qui va changer sa vie : une rencontre avec William Leymergie, figure emblématique de Télématin. Nous sommes en 2000, Laura n'a que 24 ans lorsqu'elle présente sa toute première chronique. À l'orée de la montée d'Internet et des nouvelles technologies, sa mission consiste à décrypter et démocratiser cette grande toile d'araignée qu'on appelle «le web». Elle animera alors la rubrique quotidienne multimédia ainsi qu'une chronique hebdomadaire consacrée à l'innovation et au digital, ce qui lui vaudra rapidement le surnom qu'on lui connaît. Depuis vingt-cinq ans, elle est restée fidèle à Télématin, tout en multipliant les projets. Sur son profil LinkedIn, elle se décrit comme une «journaliste passionnée et engagée», une «dénicheuse de pépites françaises», convaincue qu'il faut être «un couteau suisse au XXIe siècle». Elle a notamment animé l'émission culturelle 400 millions de critiques sur TV5 Monde, chroniqué sur Europe 1 les week-ends et lancé en 2023 le podcast Les Obstinés, centré sur l'entrepreneuriat et les parcours féminins. Elle présentait aussi cette année-là Bleu, Blanc, Bouge, un programme court de France Télévisions consacré à l'innovation française, tout en collaborant avec La Tribune. «Être journaliste, c'est être curieux et aimer les autres. Je me suis tout de suite reconnue dans les entrepreneurs que je rencontrais, parce que le monde du digital m'a appris à prendre des risques», confiait-elle à Forbes en 2024. Malgré tout, c'est moins sa carrière que sa vie privée – et notamment son mariage avec Christian Estrosi – qui fait parler. Son couple avec Christian Estrosi En février 2025, William Leymergie racontait avec émotion, et à l'occasion des 40 ans de Télématin, les coulisses de la rencontre entre la chroniqueuse et le politique. «J'ai passé trente ans de ma vie là avec des jeunes gens qui ont vieilli comme moi (...) J'ai présenté à certaines personnes leur compagnon ou compagne. La petite Laura, je lui ai présenté son mari, dans la loge là-bas. On était en avance et je lui ai dit : 'tiens, viens dire bonjour à monsieur Estrosi, tu verras c'est un type très gentil.'» À l'époque, Laura ne remarque pas immédiatement l'homme politique, mais le présentateur retraité se souvient du visage ébahi de ce dernier. «Un coup de foudre» pour lui. Ce n'est que quelques années plus tard, en 2015, qu'ils se recroisent à Nice, lors d'un salon dédié aux nouvelles technologies. Leur rapprochement est d'abord professionnel, avant de devenir une histoire d'amour discrète. «On a passé l'âge des coups de tête», expliquait-elle dans Nice-Matin en 2016, l'année de leur mariage. Cette union, survenue un an seulement après leur rapprochement, n'avait pas échappé à la curiosité des observateurs, d'autant que Christian Estrosi venait de divorcer de Dominique Sassone, sénatrice des Alpes-Maritimes, après vingt ans de mariage, et qu'il avait donc vingt ans de plus que sa nouvelle compagne. Publicité Mais leur mariage dure. En août 2017, soit un an après leur union, Laura donne alors naissance à leur fille, Bianca. Depuis, elle partage rarement des photos de leur enfant, préférant préserver cette intimité, même si elle s'affiche régulièrement avec son époux. Quant au couple, il a fini par s'imposer, solide en dépit des sceptiques. En mars 2024, elle partageait une photo de leur mariage, non sans une certaine malice : «My Love… Je repense aux mauvaises langues qui pariaient que l'on ne tiendrait pas l'année… Ah, les mauvaises langues…». Avant Christian Estrosi, Laura Tenoudji avait déjà construit une autre vie de famille avec Michael Tapiro, fondateur de la Sports Management School et père de son fils, Milan, né en 2009. À 49 ans, elle est ainsi à la tête d'une famille recomposée - le maire de Nice ayant eu trois filles avec son ancienne épouse -, et navigue comme depuis toujours entre vie privée, carrière et engagement public. Un parcours riche néanmoins rattrapé pour l'heure par des questions judiciaires en suspens.

Christian Estrosi attaque Mediapart pour diffamation, la justice donne raison au maire de Nice
Christian Estrosi attaque Mediapart pour diffamation, la justice donne raison au maire de Nice

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timea day ago

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Christian Estrosi attaque Mediapart pour diffamation, la justice donne raison au maire de Nice

MEDIAS - Victoire judiciaire pour le maire de Nice. Christian Estrosi a obtenu gain de cause après la plainte pour diffamation qu'il a déposée à l'encontre d'une journaliste de Mediapart et de l'ancien directeur Edwy Plenel. Ils ont été condamnés ce vendredi 4 juillet, près de cinq ans après un article sur des proches de l'élu embauchés par la métropole. L'article de novembre 2020 révélait les conclusions d'un rapport de la cour régionale des comptes (CRC) qui ne devait être rendu public que deux jours plus tard et qui critiquait le recours par la métropole Nice Côte d'Azur, présidée par Christian Estrosi, à des conseillers très bien payés issus des hautes sphères de l'État. Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant « un ton très affirmatif » et allant « beaucoup plus loin que le rapport de la CRC ». Les deux journalistes devront payer chacun 1000 euros d'amende et conjointement 5000 euros de dommages au maire. Jusqu'à 5900 euros pour un mi-temps « Il n'y a pas eu d'enquête, la journaliste s'est contentée de recopier à charge le rapport », a dénoncé Me Olivier Baratelli, avocat de Christian Estrosi, indiquant avoir produit à l'audience de nombreux éléments sur la réalité du travail effectué par les conseillers mis en cause. Dans un rapport sur la gestion de la métropole, la CRC dénonçait « des pratiques irrégulières dans le domaine de la gestion des ressources humaines » et évoquait sans citer de nom le cas d'un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, d'un juge et d'un ancien préfet, embauchés comme vacataires et payés entre 4500 et 5900 euros par mois pour des horaires de mi-temps sans que leurs missions ne soient toujours précises. « Estrosi a embauché à la métropole des amis qui n'ont pas laissé de traces de leur travail », a titré Mediapart en donnant les noms des trois personnes. À l'époque, Christian Estrosi s'était vivement défendu en assurant qu'il continuerait « à faire appel aux meilleurs ».

Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi
Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi

Le Figaro

time2 days ago

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Mediapart et Edwy Plenel condamnés à Nice pour diffamation envers Christian Estrosi

Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant «un ton très affirmatif» et allant «beaucoup plus loin que le rapport» de la Cour régionale des comptes. Une journaliste de Mediapart et Edwy Plenel, son ancien directeur de publication, ont été condamnés vendredi pour diffamation à la suite d'un article de novembre 2020 sur des proches de Christian Estrosi embauchés par la métropole. L'article révélait les conclusions d'un rapport de la cour régionale des comptes (CRC) qui ne devait être rendu public que deux jours plus tard et qui critiquait le recours par la métropole Nice Côte d'Azur, présidée par M. Estrosi, à des conseillers très bien payés issus des hautes sphères de l'État. Saisi par le maire de Nice, le tribunal correctionnel a pointé deux passages de l'article ayant «un ton très affirmatif» et allant «beaucoup plus loin que le rapport de la CRC». Les deux journalistes devront payer chacun 1.000 euros d'amende et conjointement 5.000 euros de dommages à M. Estrosi. «Il n'y a pas eu d'enquête, la journaliste s'est contentée de recopier à charge le rapport», a dénoncé Me Olivier Baratelli, avocat de M. Estrosi, indiquant avoir produit à l'audience de nombreux éléments sur la réalité du travail effectué par les conseillers mis en cause. Publicité «Pratiques irrégulières» Dans un rapport sur la gestion de la métropole, la CRC dénonçait «des pratiques irrégulières dans le domaine de la gestion des ressources humaines» et évoquait sans citer de nom le cas d'un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, d'un juge et d'un ancien préfet, embauchés comme vacataires et payés entre 4.500 et 5.900 euros par mois pour des horaires de mi-temps sans que leurs missions ne soient toujours précises. «Estrosi a embauché à la métropole des amis qui n'ont pas laissé de traces de leur travail», a titré Mediapart en donnant les noms des trois personnes. À l'époque, M. Estrosi s'était vivement défendu en assurant qu'il continuerait «à faire appel aux meilleurs». Contacté par l'AFP, l'avocat des journalistes de Mediapart n'a pas réagi dans l'immédiat.

Le match Nice-Lausanne annulé en raison de la grève des contrôleurs aériens
Le match Nice-Lausanne annulé en raison de la grève des contrôleurs aériens

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time2 days ago

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Le match Nice-Lausanne annulé en raison de la grève des contrôleurs aériens

Le Gym devra patienter avant de jouer son premier match de préparation d'avant-saison. Initialement prévu samedi, ce dernier a été annulé en raison de la grève des contrôleurs aériens, qui a empêché l'équipe de Lausanne-Sport de décoller. La grève des contrôleurs aériens va impacter le programme de l'OGC Nice. Le Gym devait lancer, samedi, sa campagne de matches amicaux estivaux avec la réception de Lausanne-Sport (à 11 heures), mais l'équipe suisse ne sera finalement pas en mesure de se rendre sur la Côte d'Azur. Son vol a été annulé. Les Aiglons, qui se sont retrouvés le 20 juin à la reprise, vont donc devoir patienter un peu avant de se tester face à un autre adversaire. Pour rappel, le groupe de l'OGCN n'est pas encore au complet, puisque les internationaux reviendront le 3 juillet.

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