Dernières actualités avec #Dior


Le Figaro
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À l'Unesco, Dior célèbre les jeunes femmes qui transforment le monde
Le 3 juillet, pour leur cinquième année de partenariat, l'Unesco et la maison de couture ont organisé la nouvelle conférence mondiale Women@Dior & Unesco, axée sur le mentorat, la transmission, la formation et l'accompagnement vers l'autonomie des femmes. Le 3 juillet, il est 8 heures du matin lorsque les premiers invités passent les portiques du siège de l'Unesco au 125 avenue de Suffrene, dans le 7e arrondissement de Paris. Ce jour-là, pour la cinquième année consécutive, l'organisation des Nations unies a accueilli la conférence mondiale Women@Dior & Unesco qui vise à mettre en lumière l'avenir professionnel des jeunes générations, l'accès à l'éducation et le rôle primordial des modèles féminins. Le ton a été donné dès le début dans une salle de conférences - redécorée de robes blanches Dior pour l'occasion - lorsque Audrey Azoulay, directrice générale de l'Unesco, prend la parole : «Ce programme a déjà bénéficié à plus de 2500 jeunes femmes issues de 19 pays à travers le monde. [...] Nous savons que lorsqu'une crise survient, que ce soit une guerre, une pandémie ou une crise climatique, les filles et les femmes sont les premières touchées. C'est pourquoi nous devons accorder une plus grande attention à l'éducation des filles et à leur autonomisation, à l'autonomisation des femmes dans le monde entier.» Besoins prioritaires Lors de la cérémonie d'ouverture, Olivier Sastre, directeur général adjoint en charge des ressources humaines et du développement durable de Christian Dior Couture, et Delphine Arnault prennent aussi la parole. «Dans notre monde complexe, façonné par les mutations sociales, environnementales et technologiques, l'autonomisation et l'inclusion des femmes sont des besoins prioritaires. Ces besoins répondent aux convictions profondes qui nous animent chez Dior. Aujourd'hui plus que jamais, l'éducation des femmes est essentielle à la construction d'une société plus stable», a ainsi annoncé la présidente-directrice générale de Christian Dior Couture et membre du conseil d'administration et du comité exécutif de LVMH. Aujourd'hui plus que jamais, l'éducation des femmes est essentielle à la construction d'une société plus stable Delphine Arnault Publicité Faire de l'éducation un levier majeur dans l'émancipation des femmes a aussi été un sujet abordé sur scène par Maud Alvarez-Pereyre, directrice des ressources humaines et membre du comité exécutif de LVMH, et Stefania Giannini, sous-directrice générale pour l'éducation de l'Unesco. Ce rendez-vous a également donné la parole à d'autres femmes au parcours inspirant afin de défendre la puissance au féminin, à l'instar de la cheffe d'orchestre Zahia Ziouani qui notamment dirigé la cérémonie de clôture des Jeux olympiques de Paris 2024, la Fashion Creative Tamu McPherson, ou encore Domitille Kiger, championne du monde de parachutisme et cocréatrice de zerOGravity, simulateur de chute libre basé au Futuroscope. Jeunes talents Sans omettre l'intervention touchante de la cinéaste Zuriel Oduwole, 22 ans, plus jeune nominée au prix Nobel de la paix qui, à l'âge de 14 ans, avait rencontré le secrétaire d'État américain John Kerry afin d'échanger autour de l'accès à l'éducation des jeunes filles : «Comment peut-on participer à un combat avec un bras dans le dos et trouver cela juste ? Comment peut-on courir avec une jambe attachée et trouver cela acceptable ? Ou comment peut-on regarder un panneau au loin, très loin, avec un œil fermé ? Vous voyez, c'est essentiellement ce que le monde entier fait chaque jour, essayant de résoudre nos défis mondiaux multidimensionnels, tout en laissant les femmes hors de la solution, par commodité et parfois pour des raisons insignifiantes.» Cette conférence a aussi été l'occasion pour la maison Dior de sélectionner, comme chaque année, les deux lauréates de Dream For Change Project, un programme qui permet à des centaines de participantes de bénéficier du soutien d'un mentor dans le but de présenter un projet favorisant l'indépendance des jeunes filles dans leurs communautés locales. Cette saison, les cinq Mentees (les jeunes talents féminins soutenus par Dior, NDLR) finalistes - venues de Corée du Sud, des États-Unis, de France, du Népal et du Royaume-Uni – sont montées sur scène pour présenter leurs projets. À lire aussi «Avoir un mentor m'a aidée à élever ma voix» : à l'Unesco, le projet Women@Dior soutient le projet de jeunes femmes dans le monde entier Deux initiatives ont ainsi été distinguées, pour la toute première fois, par un vote du public. Le premier projet lauréat, «Mama Maisha Kenya», aide les Mama Mbogas (vendeuses sur les marchés du Kenya, NDLR) à acquérir des connaissances dans divers domaines afin de lutter contre les inégalités financières. Le second, baptisé «Femini'Lab», est une plateforme d'aide à l'entrepreneuriat au féminin présentée sur scène par Louise Gozard qui, sur scène, n'a pas manqué de faire preuve de sororité : «Je suis si fière de vous les filles, pour tout, et merci beaucoup aux femmes et filles du monde entier.»


Le Figaro
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Les trésors de Gianfranco Ferré sous le marteau
Jusqu'au 9 juillet, la maison de vente de Pénélope Blanckaert célèbre le couturier italien et sa mode baroque à travers une vente exclusive. Ce qu'aime Pénélope Blanckaert, experte du vêtement vintage passée chez Artcurial et Christie's, ce sont les garde-robes qui racontent une histoire passée, un créateur plus ou moins oublié. Alors, c'est dire son enthousiasme quand elle a découvert le dressing d'une ancienne amie de Gianfranco Ferré, l'imposant couturier italien à la tête de Dior de 1989 à 1996. « Gianfranco Ferré, c'est un peu le 'Jonathan Anderson' de son époque, explique-t-elle. Il avait le même esprit intello. La presse disait de ces vêtements qu'ils étaient des œuvres, des œuvres portables. » À lire aussi Les débuts de Jonathan Anderson chez Dior Homme, notre verdict Surnommé l'architecte de la mode qu'il a d'ailleurs étudié à l'École polytechnique de Milan, Gianfranco Ferré est quasiment passé à la trappe de l'histoire de la mode, en tout cas celle vue par les réseaux sociaux. Pourtant, il a bel et bien marqué la haute couture des années 1990, de ses volumes grandioses, ses broderies minutieuses, ses poignets exagérés, ses dos sculptés et son goût des dorures. Un style baroque aux lignes précises qui se fondra parfaitement dans l'élégance teintée de XVIIIe siècle de la maison Dior, dont il est nommé directeur artistique après le départ de Marc Bohan, et qui sera à son tour remercié lorsque sera intronisé un jeune John Galliano. Publicité « De ses créations émane un certain historicisme, confie Pénélope Blanckaert. On sent son amour pour l'architecture italienne mais aussi un tropisme oriental. Mais attention, rien à voir avec Gianni Versace. Lui avait cette sensualité intellectuelle, majestueuse, voire distante. Par exemple, il travaillait davantage les dos que les décolletés de ses robes souvent longues. Ses collections sont singulières, ornementées, chargées et sans doute moins faciles à assortir. Or, elles sont précisément magnifiques, décalées avec des basiques du vestiaire actuel. » Au total, 230 pièces sélectionnées pour se fondre dans le dressing d'une femme active et élégante d'aujourd'hui. Tailleurs de laine sèche d'une modernité remarquable, ensembles sportswear chic en jersey, ensembles cocktail japonisants et robes du soir aux dos ciselés dont les estimations sont plus qu'abordables (certains prix de départ affichent seulement 40 euros). Le tout disponible à l'enchère sur le site de Penelope's jusqu'au 9 juillet. Lot n° 2 : pochette estimation : 60-80 euros. Penelope's auction Lot n° 116 : robe automne hiver 1993-1994 estimation : 350-550 euros. Penelope's auction Lot n° 117 : pardessus Gianfranco Ferré estimation : 150-250 euros. Penelope's auction « Cette vente c'est du jamais vu, confie Pénélope Blanckaert. C'est une vraie prise de risque de proposer ça sur des marchés qui n'ont pas de côtes. D'où les prix accessibles. L'idée est également de donner envie à la nouvelle génération de s'initier à la vente aux enchères. C'est une expérience d'achat unique, avec un aspect ludique qu'on ne trouve nulle part ailleurs. Bien sûr, pour sécuriser nos arrières, on propose à côté, des classiques comme des Kelly ou sacs Chanel. Qui sait, peut-être que certains s'intéresseront ensuite à Ferré. » Pour les plus curieux, un extrait des pièces sera présenté du 5 au 8 juillet dans la galerie Charles Zana à Paris.


La Presse
10 hours ago
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Une maroquinerie de luxe cambriolée à Paris
(Paris) Une boutique de maroquinerie de luxe spécialisée dans les produits de seconde main a été cambriolée dimanche à l'aube à Paris par plusieurs personnes qui se sont emparées de sacs à main Chanel, Hermès ou Dior pour un montant d'environ un million d'euros (1,6 million CAD), a appris l'AFP de source policière. Agence France-Presse Le casse s'est déroulé peu après 5 h (23 h heure de l'Est) rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le 8e arrondissement, un secteur de la capitale française où sont concentrées de nombreuses boutiques de luxe. Les malfaiteurs se sont introduits dans le magasin « Houlux » en escaladant un balcon au 4e étage, a-t-on ajouté de même source. Après avoir désactivé l'alarme, ils ont jeté les sacs par la fenêtre où un complice les a réceptionnés pour les mettre dans un véhicule. Plus d'une centaine de sacs de marques Hermès, Dior, Louis Vuitton et Chanel ont été dérobés. Ils ont quitté les lieux vingt minutes plus tard. Le butin est estimé à environ un million d'euros hors taxe. La brigade de répression du banditisme (BRB) a été saisie de l'enquête.


Le Figaro
16 hours ago
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Cambriolage d'une maroquinerie de luxe à Paris, butin d'environ un million d'euros
Le casse s'est déroulé peu après 05h00 rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le 8e arrondissement. Une boutique de maroquinerie de luxe spécialisée dans la seconde main a été cambriolée dimanche à l'aube à Paris par plusieurs personnes qui se sont emparées de sacs à main Chanel, Hermès ou Dior pour un montant d'environ un million d'euros, a appris l'AFP de source policière. Le casse s'est déroulé peu après 05h00 rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le 8e arrondissement de la capitale où sont concentrées de nombreuses boutiques de luxe. Vingt minutes chrono Les malfaiteurs se sont introduits dans le magasin «Houlux» en escaladant un balcon au 4e étage, a-t-on ajouté de même source. Après avoir désactivé l'alarme, ils ont jeté les sacs par la fenêtre où un complice les a réceptionnés pour les mettre dans un véhicule. Plus d'une centaine de sacs de marques Hermès, Dior, Louis Vuitton et Chanel ont été dérobés. Ils ont quitté les lieux vingt minutes plus tard. Le butin est estimé à environ un million d'euros hors taxe. Publicité La brigade de répression du banditisme (BRB) a été saisie de l'enquête.