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«Disneyland est devenu la référence» : des États-Unis à la Chine, comment le parc a conquis le monde
«Disneyland est devenu la référence» : des États-Unis à la Chine, comment le parc a conquis le monde

Le Figaro

time6 days ago

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«Disneyland est devenu la référence» : des États-Unis à la Chine, comment le parc a conquis le monde

DISNEYLAND, UN RÊVE DEVENU EMPIRE (2/3) - Il y a 70 ans, Walt Disney révolutionnait les parcs d'attractions avec son premier Disneyland, près de Los Angeles. Un modèle que l'entreprise a voulu depuis reproduire sur plusieurs continents, avec des succès... et quelques erreurs. «Disneyland est devenu la référence» : des États-Unis à la Chine, comment le parc a conquis le monde «Disneyland est devenu la référence» : des États-Unis à la Chine, comment le parc a conquis le monde «Le rêve de Walt est un cauchemar» : il y a 70 ans, l'inauguration du premier Disneyland tournait au chaos Il y a 70 ans, Walt Disney révolutionnait les parcs d'attractions avec son premier Disneyland, près de Los Angeles, un rêve fou dans lequel le producteur de cinéma mettra toutes ses économies. Malgré une ouverture chaotique, le 17 juillet 1955, Disney a depuis conquis le monde en exportant son concept en Europe et en Asie. Mais l'entreprise, dont le concept a inspiré de nombreux concurrents, doit redoubler d'efforts pour cultiver sa différence et rester leader mondial de l'industrie des parcs de loisirs. Dans cette série en trois épisodes, Le Figaro vous embarque dans les coulisses des royaumes enchantés Disney et de leur bataille pour rester au sommet. «L'imitation est la plus sincère des flatteries» : cet adage, attribué à Oscar Wilde, s'applique tout autant à l'art qu'à l'univers professionnel... Ou aux parcs d'attractions. Le groupe Disney en sait quelque chose : un simple tour dans la maison hantée d'Europa-Park, deuxième parc d'attractions le plus visité d'Europe, permet de se rendre compte à quel point le géant américain a inspiré son concurrent. Une angoissante pièce sans porte ni fenêtre dont les murs et les tableaux s'étirent, d'étranges véhicules avançant en continu au milieu d'automates de fantômes et de cadavres… Pour qui a déjà visité Disneyland, la ressemblance est frappante. Elle ne s'arrête pas là : le parc allemand a ainsi aussi reproduit une balade en bateau au milieu des pirates, ici en Indonésie au lieu des Caraïbes, et même le bâtiment en forme de boule blanche identique à l'emblème du parc Epcot en Floride. Les créateurs d'Europa-Park, la famille Mack, ne se sont d'ailleurs jamais cachés que leurs attractions…

Fuites de gaz, canicule, attractions en panne... Il y a 70 ans, l'inauguration du premier Disneyland tourne au chaos
Fuites de gaz, canicule, attractions en panne... Il y a 70 ans, l'inauguration du premier Disneyland tourne au chaos

Le Figaro

time19-07-2025

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Fuites de gaz, canicule, attractions en panne... Il y a 70 ans, l'inauguration du premier Disneyland tourne au chaos

DISNEYLAND, UN RÊVE FOU DEVENU EMPIRE (1/3) - Il y a 70 ans, Walt Disney révolutionnait les parcs d'attractions avec son premier Disneyland, près de Los Angeles. Mais le 17 juillet 1955, la journée d'ouverture est un cauchemar. «À tous ceux qui pénètrent dans cet endroit heureux, bienvenue. Disneyland est votre royaume.» Ce dimanche 17 juillet 1955, les 90 millions d'Américains qui suivent en direct à la télévision l'inauguration du premier parc à thème de Walt Disney, en Californie, n'y voient que du feu. Devant les caméras, le génie du dessin animé présente avec fierté ce projet titanesque qui lui tient tellement à cœur qu'il y a englouti toutes ses économies - et celles de l'entreprise -, soit 17 millions de dollars (175 millions d'euros actuels). Des célébrités ont fait le déplacement et les personnages assurent l'animation, pendant que les trois présentateurs, dont le futur président Ronald Reagan, dévoilent les différentes zones du parc. Ce que les téléspectateurs ne voient pas, c'est que, derrière les caméras, le rêve du producteur est en train de virer au cauchemar…

Manifestants pro-migrants, altercations... À Disneyland, journée très perturbée pour JD Vance et sa famille
Manifestants pro-migrants, altercations... À Disneyland, journée très perturbée pour JD Vance et sa famille

Le Figaro

time14-07-2025

  • Politics
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Manifestants pro-migrants, altercations... À Disneyland, journée très perturbée pour JD Vance et sa famille

Des manifestants et représentants démocrates, dont le gouverneur Gavin Newsom, ont critiqué la venue du vice-président américain dans le parc d'attractions samedi quelques jours après une nouvelle vague d'interpellations de clandestins près de Los Angeles. Le programme de vacances de la famille Vance passe mal aux États-Unis. Le vice-président JD Vance était avec sa femme et ses enfants à Disneyland ce dimanche en Californie. Mais en lieu et place de Mickey, c'est un groupe de manifestants - des centaines selon le Los Angeles Times - qui a accueilli le proche de Donald Trump. Ces militants pro-migrants dénonçaient les récentes opérations des services de l'Immigration et des douanes pour traquer les étrangers clandestins. Lors de raids jeudi menés dans le cadre de la campagne de répression de l'immigration illégale lancée par la nouvelle administration, environ 200 personnes ont été arrêtées et des affrontements ont opposé agents et manifestants. Une fois à l'intérieur du parc situé près d'Anaheim, en périphérie de Los Angeles, JD Vance n'était pas au bout de ses peines. Alors qu'il se promenait son garçon dans les bras, le vice-président s'est vu encore interpeller par Jane Fleming Kleeb, vice-présidente du Comité national démocrate, qui se trouvait également dans le parc avec sa famille. «Nous soutenons les immigrants, nous soutenons l'Amérique !», lui crie-t-elle et de le prendre à partie : «Je croyais que vous détestiez la Californie ?». Suite à ces incidents, le dispositif de sécurité a dû être renforcé autour du dirigeant américain, entraînant des fermetures temporaires d'attractions et des temps d'attente prolongés pour le reste des visiteurs, selon The Independent. Publicité Critique de Disney, entreprise «woke» Le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, célèbre pourfendeur de la politique d'expulsion de Donald Trump, n'a pas raté l'occasion d'un commentaire glacial sur X : «J'espère que vous passerez un bon moment en famille, JD Vance. Ce ne sera certainement pas le cas des familles que vous déchirez», a écrit samedi l'ancien maire de San Francisco, gouverneur de ce bastion démocrate depuis 2019. Selon le ministère, 200 personnes sans papiers ont été arrêtées lors des descentes dans les localités de Carpinteria et Camarillo jeudi. Un ouvrier agricole est décédé après avoir été grièvement blessé lors d'une descente dans des fermes légales de cannabis près de Los Angeles, et dix enfants ont été sauvés «d'une exploitation potentielle, du travail forcé et du trafic d'êtres humains», a fait savoir l'administration. Cette intervention a ravivé les tensions qui avaient marqué la ville de Los Angeles un mois auparavant, lors d'arrestations massives de clandestins qui ont parfois dégénéré en violences. Par ailleurs, certains médias américains voient dans la présence du vice-président américain une ironie, alors que JD Vance avait précédemment critiqué la société américaine pour son côté «woke» pour ses politiques de diversité et d'inclusion. En avril 2022, alors sénateur de l'Ohio, il avait déclaré que l'entreprise «profitait des aides gouvernementales depuis des décennies» et qu'elle devait cesser. Un an plus tard, il reprenait une information selon laquelle Disney avait licencié près de 250 employés pour les remplacer par des migrants titulaires de visas temporaires, certains employés sortants étant «tenus de former leurs remplaçants pour qu'ils puissent occuper les postes qu'ils avaient perdus». «L'immigration de masse est un programme de vol organisé contre les citoyens américains», avait-il dénoncé. «Disney est woke de la main gauche et vole les citoyens américains avec l'autre».

Seine-et-Marne : des bus bondés et l'absence de train exaspèrent les usagers de l'est du département
Seine-et-Marne : des bus bondés et l'absence de train exaspèrent les usagers de l'est du département

Le Parisien

time10-07-2025

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Seine-et-Marne : des bus bondés et l'absence de train exaspèrent les usagers de l'est du département

« J'ai déjà dû prendre un Uber plusieurs fois pour aller au travail à Disney ou alors m'arranger avec mes colocataires. » Ce mercredi midi, Marie ( le prénom a été modifié ), 29 ans, attend le bus 17 à Crécy-la-Chapelle . Tous les jours, elle emprunte cette ligne du Seine-et-Marne Express pour se rendre au travail. Mais il n'est pas rare qu'elle ne puisse pas monter dans le bus « parce qu'il est complet » et qu'elle doive attendre le suivant. La ligne de bus en question relie La Ferté-Gaucher , tout au nord-est du département, à la gare RER de Chessy, à côté de Disneyland Paris. Les bus desservent les communes de Crécy-la-Chapelle et Coulommiers. Barbara, pâtissière dans un restaurant parisien, dresse le même constat amer. Elle prend tous les matins le bus aux aurores à La Ferté-Gaucher, direction Chessy. Ensuite, elle monte dans le RER pour rejoindre la capitale . « Il arrive que, pendant les vacances d'hiver ou estivales, le bus ne vienne pas du tout à l'heure prévue. »

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