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Mercato : Thiago Almada à l'Atlético de Madrid, c'est officiel
Mercato : Thiago Almada à l'Atlético de Madrid, c'est officiel

L'Équipe

time17-07-2025

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Mercato : Thiago Almada à l'Atlético de Madrid, c'est officiel

Alors qu'un accord avait été trouvé ce mardi avec l'Atlético de Madrid, l'arrivée de Thiago Almada a été officialisée ce jeudi par les Colchoneros. Le désormais ex-joueur de l'OL a signé jusqu'en 2030. Un quatrième club en un an. Après Atlanta United, Botafogo et l'OL, Thiago Almada va enfin se poser. Alors qu'un accord avait été trouvé avec l'Atlético de Madrid ce mardi, l'Argentin a paraphé ce jeudi un bail avec les Colchoneros jusqu'en 2030 après avoir passé sa visite médicale. Retourné au Brésil le 30 juin après six mois agités par une dizaine de réserves posées par les présidents de Ligue 1 en amont des matches de l'OL, le milieu offensif de 24 ans va découvrir la Liga. Thiago Almada s'apprête également à se frotter aux méthodes de Diego Simeone, dans un effectif où il retrouvera ses compatriotes Nahuel Molina, Giuliano Simeone et Julian Alvarez alors que Rodrigo De Paul est sur le départ, tout proche de rejoindre l'Inter Miami et Lionel Messi en MLS. Côté financier, une somme de 21 millions d'euros pour acquérir 50 % des droits économiques de l'international argentin (10 sélections, 4 buts) a été évoquée. Les retombées devraient revenir au pot commun d'Eagle (Lyon, Botafogo, Molenbeek). Les Rhodaniens espèrent percevoir une indemnité, alors que le club estime avoir financé l'arrivée de l'Argentin au Brésil il y a un an. Via Eagle, Lyon avait acheté les droits économiques de Thiago Almada, Luiz Henrique et Igor Jesus pour 91,7 M€. Depuis, les trois ont ou devraient être vendus hors de la sphère Eagle pour 12, 33 et 21 M€ (pour 50 % de la valeur du joueur dans le cas d'Almada).

Les détails du plan financier qui a convaincu la DNCG de maintenir l'OL en Ligue 1
Les détails du plan financier qui a convaincu la DNCG de maintenir l'OL en Ligue 1

L'Équipe

time10-07-2025

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Les détails du plan financier qui a convaincu la DNCG de maintenir l'OL en Ligue 1

Pour valider son maintien en Ligue 1, l'OL a présenté à la DNCG un apport de 124 millions d'euros en tout. Il y a ce que la Direction nationale du contrôle de gestion exigeait et ce qu'elle a finalement accepté. Selon nos informations, pour obtenir son maintien en Ligue 1 devant la commission d'appel, mercredi à la Fédération française, l'Olympique Lyonnais a posé sur la table 124 millions d'euros en tout : 87 millions en cash plus 37 millions de garanties. Des montants pas si éloignés de ceux présentés en première instance. Simplement, le duo Michele Kang-Michael Gerlinger, respectivement présidente et directeur général du club, est arrivé avec de l'argent tangible, pas avec des lettres d'intention. Et avec d'autres appuis : entre la relégation en Ligue 2 prononcée le 24 juin et l'audition de mercredi, Kang et Gerlinger (intronisés officiellement le 30 juin) ne se sont pas contentés de centraliser l'argent dispersé au sein d'Eagle. Ils ont profité de ce court délai pour s'assurer du soutien d'acteurs majeurs, en interne et en externe. Kang a promis que Textor ne ferait pas son retour Pour preuve, la présence au sein de la délégation dépêchée boulevard de Grenelle de neuf personnes, dont Mark Affolter, représentant du fonds d'investissement ARES au sein du board d'Eagle, Jean-Pierre Conte, un des actionnaires, ou Thierry Sauvage, ancien directeur de l'OL, époque Jean-Michel Aulas. Autant d'éléments qui expliquent que la DNCG ait validé, avec des restrictions (encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation), le dossier présenté. Les mêmes éléments auraient-ils suffi s'ils avaient été portés par John Textor ? Sans doute pas. D'ailleurs, une bonne partie de l'entretien de mercredi entre la DNCG et Kang (l'audition a duré 2h30) aurait été centrée sur la question de l'ancien président, toujours actionnaire majoritaire à cette heure. Pour réinstaurer un climat de confiance entre l'OL et les instances, la femme d'affaires a dû apporter la garantie que Textor, poussé à la démission il y a dix jours, ne reviendrait pas d'une façon ou d'une autre dans le jeu. À lire aussi Et maintenant, l'austérité De la peur au soulagement Eredivisie Live, l'éphémère chaîne TV du Championnat néerlandais André veut rejoindre le Paris FC

L'austérité en L1 ou la possible faillite : face à la commission d'appel de la DNCG, l'OL joue ce mercredi sa survie
L'austérité en L1 ou la possible faillite : face à la commission d'appel de la DNCG, l'OL joue ce mercredi sa survie

L'Équipe

time09-07-2025

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L'austérité en L1 ou la possible faillite : face à la commission d'appel de la DNCG, l'OL joue ce mercredi sa survie

L'OL sera fixé sur son avenir ce mercredi, après son passage devant la DNCG fédérale d'appel : au mieux il restera en L1, avec des restrictions imposées par les instances ou par ses propres ressources internes. La fin de la partie de poker menteur est fixée pour ce mercredi matin, dans le XVe arrondissement de Paris. L'Olympique Lyonnais, sanctionné par toutes les organisations possibles du football mondial, européen et français, depuis un peu plus d'un an, abat vraisemblablement sa dernière carte au siège de la Fédération, devant la commission d'appel de la DNCG. Quinze jours après que le gendarme financier a confirmé la rétrogradation en Ligue 2 prononcée à titre conservatoire le 15 novembre dernier, le club rhodanien joue sa survie. Car c'est bien de cela qu'il s'agit : même si le club obtient son maintien en Ligue 1, il sortira au mieux très cabossé des deux semaines qui s'achèvent. Il a déjà changé depuis le coup de tonnerre du 24 juin. John Textor, le président qui a manqué 100 % de ses échéances devant les instances, a été poussé à démissionner de son poste de président et remplacé officiellement le 30 juin par Michele Kang, autre actionnaire d'Eagle. C'est cette dernière qui a mené, en étroite collaboration avec son bras droit Michael Gerlinger, nommé directeur général, l'opération sauvetage. Avec un cahier des charges précis : 1- alimenter le compte courant de l'OL d'une centaine de millions d'euros en réorientant un maximum de capitaux ventilés sur différents comptes de la galaxie Eagle (dont Textor reste actionnaire majoritaire), sans trop abonder sur ses fonds personnels, pas beaucoup plus étendus que ceux de l'ancien président (elle pourrait apporter 30 M€) ; 2- obtenir d'ARES, le fonds d'investissement qui a permis l'achat du club par Textor il y a deux ans et demi (425 millions d'euros), l'autre centaine de millions attendue par la DNCG en garantie. Le mur de la dette quasi infranchissable en cas de rétrogradation confirmée De la réalisation de ces objectifs dépendra le verdict de l'instance de contrôle, et la suite de l'histoire. Si le maintien est prononcé, même sans restriction (encadrement de la masse salariale, interdiction de recrutement), une phase d'austérité débutera pour le club. Elle est incarnée par l'arrivée dans les bureaux de Décines de Chris Mallon, représentant d'ARES, spécialiste du redressement des entreprises en difficulté. Réduction drastique de la masse salariale, départs des plus grosses valeurs marchandes de l'effectif, ambitions sportives limitées : voilà pour le scénario le moins défavorable. Mais si la DNCG fédérale confirme la décision de première instance, c'est à un horizon en gris foncé, voire en gris très foncé auquel l'OL fera face, au-delà de recours encore possibles. Malgré le plan social achevé en début d'année, le club serait surdimensionné du stade au plafond en cas de relégation en Ligue 2. Le mur de la dette (541 millions d'euros fin décembre) deviendrait quasi infranchissable et la faillite envisageable. Et Textor pendant ce temps ? Il semble plus que jamais concentré sur Botafogo, le dernier club où il a encore le loisir d'appliquer son modèle « disruptif » avec son associé sur place Thairo Arruda, le directeur général du club de Rio de Janeiro. Mardi, ce dernier a dû démentir l'information selon laquelle le champion d'Amérique du Sud aurait acquis un terrain à Barra de Tijuca pour y construire un nouveau stade. Mais il a confirmé l'arrivée de Davide Ancelotti (le fils de Carlo, sélectionneur du Brésil) sur le banc comme entraîneur. Et l'homme d'affaires américain, toujours aux manettes à Botafogo et Molenbeek, n'aurait pas renoncé à acheter un club anglais dans les prochains mois. À lire aussi Ces supporters devenus lanceurs d'alerte du naufrage financier Une partie de poker menteur entre actionnaires et créanciers ? La drôle de compétition de Mbappé Kvaratskhelia, un héros aussi discret qu'essentiel

DNCG : l'OL doit trouver 200 millions d'euros pour espérer rester en Ligue 1
DNCG : l'OL doit trouver 200 millions d'euros pour espérer rester en Ligue 1

Le Parisien

time03-07-2025

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DNCG : l'OL doit trouver 200 millions d'euros pour espérer rester en Ligue 1

Deux informations à retenir dans le dossier entre l'OL et la DNCG, le gendarme financier ayant pris la décision de rétrograder le club lyonnais en Ligue 2 : le prochain rendez-vous est fixé au 10 juillet et le club présidé désormais par Michele Kang va devoir trouver une énorme somme d'argent pour espérer obtenir l'annulation de la rétrogradation et son maintien en Ligue 1. Selon L'Équipe , on parle de 200 millions d'euros : 100 à injecter dans les comptes dès maintenant et 100 autres à garantir pour la durée de la saison prochaine. Mais comment Michele Kang et Michael Gerlinger, nouveau directeur général, trouveront-ils cette somme d'ici une semaine ? La question va hanter les supporters de l'OL. Après la décision de la DNCG, l'ex-président John Textor avait annoncé interjeter appel devant une Commission fédérale spécialisée. Il rappelait alors que la maison-mère de l'OL, Eagle, et ses actionnaires avaient apporté 83 millions d'euros en trésorerie. Il annonçait qu'un plan de départs volontaires aurait permis de réduire les charges du club. Les fins des contrats ou transferts de joueurs onéreux comme Alexandre Lacazette, Nicolás Tagliafico, Anthony Lopes ou encore Maxence Caqueret et Rayan Cherki ont par ailleurs allégé la masse salariale d'une trentaine de millions d'euros. Insuffisant toutefois pour la DNCG. L'objectif reste de ramener la masse salariale à hauteur de 75 millions d'euros et l'instance pourrait en cas de maintien en L1 imposer un encadrement des salaires. Sont également tombés 19,5 millions d'euros d'options d'achat obligatoires pour trois joueurs prêtés. D'ici l'audience en appel, l'enjeu est de réunir l'argent manquant, de le mettre au bon endroit et de montrer patte blanche selon une source proche du dossier. Le nœud du problème se situerait dans la répartition des sommes dans les comptes, notamment celles provenant de la multipropriété Eagle Holding.

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