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Le HuffPost France
17-07-2025
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« Intervilles » : Le clin d'œil touchant de Nagui lors de son hommage à Thierry Ardisson
DIVERTISSEMENT - « Une pensée pour Thierry Ardisson qui nous a quittés ». Dans le troisième épisode de l'émission Intervilles, diffusée sur France 2 ce jeudi 17 juillet, l'animateur Nagui a rendu hommage à son collègue décédé, l'homme de télévision Thierry Ardisson, mort lundi d'un cancer du foie. Après avoir prononcé des mots touchants, il a lancé l'une des musiques adorées du producteur décédé. Accompagné de Méline Blanc-Micciché, l'ex-assistante de réalisation de Tout le monde en parle, émission de débats produite par Thierry Ardisson et diffusée jusqu'en 2006, Nagui a déclaré en direct : « on va sourire, on va continuer de sourire en pensant fort à lui. » Lire aussi Obsèques de Thierry Ardisson : cercueil noir, Beatles et foule de stars, un enterrement tel qu'il l'imaginait Avant de poursuivre : « c'est aujourd'hui que ses proches étaient avec lui (lors de son enterrement ndlr). On aurait aimé, Méline et moi, être avec eux. On embrasse fort Audrey Crespo-Mara (son épouse ndlr) et les enfants (...) ». Une chanson d'Elvis diffusée en direct Puis, Nagui a voulu faire un dernier clin d'œil à Thierry Ardisson, en lançant à la fin de son hommage, le titre Little less conversation d'Elvis Presley, que « l'homme en noir » adorait. Après avoir dansé avec Nagui, l'animateur Bruno Guillon a plaisanté : « à la différence de Thierry, que je salue aussi, on peut bouger pendant le jingle ». Une pointe d'humour noir qui aurait fait plaisir à l'animateur. Lors des obsèques de Thierry Ardisson, ce jeudi après-midi, quelque 500 invités habillés en noir ont dit un « dernier bonsoir » à la star du petit écran. Et autant d'admirateurs se sont pressés derrière les barrières et ont applaudi le cercueil noir verni. Des titres de George Harrison, John Lennon, David Bowie ou encore Jean-Louis Aubert (Voilà c'est fini), ont retenti en l'église Saint-Roch. Car « l'homme en noir » était un amoureux de musique.
Le Figaro
04-07-2025
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Les perles des repas d'affaires : «Chaque année c'est un moment magique : il s'agit de servir 700 couverts entre 1h30 et 3h30 du matin»
Réservé aux abonnés Le Figaro vous révèle les coulisses des repas business et leurs croustillantes anecdotes. Depuis 125 ans, le Fouquet's Paris accueille des habitués dont les profils sont bigarrés. Joe Dassin en a vanté les charmes dans une chanson culte en 1969, que chacun est en mesure de siffloter d'un air guilleret. Les charmes de la plus belle avenue du monde, selon l'expression consacrée. Elle est désormais largement contestée : les Parisiens s'y rendent beaucoup moins qu'il y a quelques décennies. Pourtant, certaines choses ne changent pas et ne changeront probablement jamais : ses adresses. Le Fouquet's est une institution depuis 125 ans. Sa popularité est internationale. Elvis Presley y a fait les 400 coups. Sur les murs, les photographies des stars du show-business signées le studio Harcourt se comptent par dizaines. Du matin au soir, 7 jours sur 7, cette adresse du groupe Barrière sert des centaines de couverts de rendez-vous d'affaires. «L'établissement a su traverser les siècles, se réjouit Julien Gardin, fraîchement nommé directeur du Fouquet's. L'enthousiasme de nos équipes est débordant.» Plusieurs salons selon la nature du rendez-vous et ses enjeux Il faut dire que le cadre paie son écot en matière de théâtralité, offrant…
