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Emma Thompson aurait « pu changer le cours de l'histoire » si elle avait dit oui à Trump
Emma Thompson aurait « pu changer le cours de l'histoire » si elle avait dit oui à Trump

Le HuffPost France

timea day ago

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Emma Thompson aurait « pu changer le cours de l'histoire » si elle avait dit oui à Trump

PEOPLE - Red flag. À l'occasion du festival du Film de Locarno en Suisse ou Emma Thompson a été honorée, l'actrice est revenue sur une anecdote assez personnelle qui la relie au président actuel des États-Unis Donald Trump. En effet, l'homme politique d'aujourd'hui 79 ans lui aurait proposé un rendez-vous galant... le jour même ou l'actrice divorçait de son premier mari Kenneth Branagh. D'après des propos rapportés par The Telegraph, l'actrice britannique a déclaré qu'elle se trouvait sur le tournage de la comédie dramatique Primary Colors sorti en 1998 lorsque son téléphone a sonné. Elle a répondu et a entendu l'homme d'affaires dire : « Bonjour, c'est Donald Trump. » Lire aussi L'actrice de « Mektoub, My Love : Canto Due », Ophélie Bau, fait le point sur sa brouille avec Abdellatif Kechiche Si l'interprète de Nanny McPhee a d'abord cru à une blague, elle a par la suite interrogé milliardaire : « Je lui ai dit : 'Comment puis-je vous aider ?' Peut-être avait-il besoin d'aide. » Le futur président était, lui, très clair dans ses intentions. « J'aimerais beaucoup que vous veniez séjourner dans l'un de mes magnifiques hébergements. On pourrait peut-être dîner ensemble », lui aurait-il dit. « J'aurais pu changer le cours de l'histoire américaine » De cette proposition, la star de Love Actually est restée évasive. « C'est très gentil. Merci beaucoup. Je vous recontacterai », affirme-t-elle avoir répondu. Avant de se questionner sur la manière dont il avait réussi à obtenir son numéro. « J'ai réalisé que ce jour-là, mon jugement de divorce était tombé. Et je parie qu'il a des gens qui cherchent des personnes convenables à mettre à son bras », analyse-t-elle aujourd'hui. « Vous savez, une gentille divorcée, c'est ce qu'il recherchait. C'est du harcèlement ! », dénonce-t-elle. Si l'anecdote n'a pas eu de suite, elle fait quand même rire la principale intéressée. « J'aurais pu sortir avec Donald Trump, et j'aurais alors eu une histoire à raconter. J'aurais pu changer le cours de l'histoire américaine », a-t-elle ironisé. Aujourd'hui, l'actrice de 66 ans est en couple avec Greg Wise, avec qui elle s'est mariée en 2003, des années après leur première rencontre sur le tournage de Raison et Sentiments en 1995. Le couple a deux enfants : un garçon, Tindyebwa Agaba, et une fille, Gaia, également présente lors du festival en Suisse. Donald Trump, quant à lui, s'est séparé de Marla Maples en mai 1997. Il était auparavant marié à sa première femme, Ivana Trump avec qui il a eu 3 enfants. Depuis 2005, il est marié avec l'ancienne mannequin slovéno-américaine Melania Trump.

«J'aurais pu changer le cours de l'Histoire !» : Emma Thompson révèle avoir refusé les avances de Donald Trump
«J'aurais pu changer le cours de l'Histoire !» : Emma Thompson révèle avoir refusé les avances de Donald Trump

Le Figaro

timea day ago

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«J'aurais pu changer le cours de l'Histoire !» : Emma Thompson révèle avoir refusé les avances de Donald Trump

L'actrice britannique a fait quelques confidences surprenantes à Locarno, ce 8 août, sur une époque troublée de sa vie, alors qu'elle sortait d'une douloureuse procédure de divorce avec le réalisateur Kenneth Branagh, qui lui avait été infidèle. De passage au Festival du film de Locarno, en Suisse, ce vendredi 8 août pour présenter son nouveau film, The Dead of Winter, Emma Thompson a surpris les journalistes lors d'une conférence de presse. Au moment de la traditionnelle session questions-réponses, l'actrice britannique s'est en effet totalement éloignée de la promotion du long-métrage pour raconter une anecdote surprenante : en 1998, sur le tournage du film Primary Colors avec John Travolta, la star, alors âgée de 39 ans, a été approchée par un certain Donald Trump. «J'étais dans ma loge quand j'ai entendu le téléphone sonner», s'est-elle souvenue. À l'époque, Emma Thompson est surprise d'entendre la voix du puissant homme d'affaires au bout fil. «Comment puis-je vous aider ?», lui demande-t-elle. Sûr de lui, le futur président des États-Unis va droit au but en lui proposant un rendez-vous : «J'aimerais beaucoup que vous séjourniez dans l'un de mes magnifiques hébergements, et que l'on dîne ensemble». Publicité Une démarche cavalière Cette petite anecdote semblerait anodine sans cette information essentielle : Donald Trump a contacté Emma Thompson le jour où son divorce avec Kenneth Branagh a été prononcé. Le couple s'était séparé trois ans plus tôt, lorsque l'actrice oscarisée avait découvert que son époux entretenait une relation extraconjugale avec Helena Bonham Carter. Trente ans plus tard, l'actrice analyse ainsi la démarche de Donald Trump : «Je parie qu'il y a des gens qui cherchent partout des personnes convenables à inviter, parmi tous ces gentils divorcés...» Et la trouve toujours aussi cavalière voire même totalement déplacée : «Il avait tout de même trouvé le numéro de téléphone attitré de ma loge ! C'était du harcèlement !» À lire aussi «Il est aussi important de ne pas travailler que de travailler» : ce conseil d'Emma Thompson que Kate Winslet n'a jamais oublié Sans surprise, Emma Thompson a refusé les avances du magnat de l'immobilier. Elle était alors loin de s'imaginer que ce dernier se lancerait en politique et deviendrait le 45e puis le 47e président des États-Unis. «Alors oui, j'aurais pu sortir avec Donald Trump. J'aurais pu changer le cours de l'histoire américaine !», a-t-elle conclu avec un humour très British face aux journalistes.

Festival du film: Comment la Suisse romande fait son cinéma à Locarno
Festival du film: Comment la Suisse romande fait son cinéma à Locarno

24 Heures

time2 days ago

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Festival du film: Comment la Suisse romande fait son cinéma à Locarno

Accueil | Culture | Cinéma & séries | Sur le pavé comme sur le tapis rouge, le rendez-vous tessinois devient durant dix jours un bastion romand où se mêlent politique, art et économie. Publié aujourd'hui à 09h10 Patronne du DFI et de la politique culturelle, la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider apparaît vendredi 8 août sur la Piazza Grande aux côtés de l'actrice Emma Thompson. Mattia Martegani Une conseillère fédérale sous les arcades grignote des mignardises. À quelques dizaines de mètres en contrebas, la foule sur le pavé dévore des glaces à l'italienne. Tout autour: du cinéma. Des films, des conférences, des ateliers. Des images et du son. Et en point d'orgue, l'arène minérale de la Piazza Grande et sa vedette internationale du soir, que le public aime admirer sur l'écran géant et que la conseillère fédérale ne rechigne pas à rejoindre sur la photo si l'occasion se présente. Le Festival de Locarno est cette somme étonnante de grands écarts qui perdure depuis 79 ans, un record en soi. Strass et sérieux, escarpins et tongs, haute politique et lobbyisme soft, proposition artistique pointue, mais public populaire et familial, rassemblé à nouveau depuis le 6 août sur les rives du lac Majeur – plus de 150'000 personnes ont assisté aux projections l'an passé. On s'ébaudit de «la magie de Locarno» comme on s'émerveille du bon fonctionnement du système fédéraliste. Et à bien des égards, le festival tessinois, né en 1946 dans son canton le plus minoritaire, représente pour la Confédération un miroir à ciel ouvert, un séminaire estival de good governance où les étages de l'administration fédérale se mêlent à la société civile dans les mêmes tissus légers. Locarno sur Genève Se balader dans Locarno, c'est zigzaguer entre les apéritifs officiels et les apéros officieux – le stand Campari, au rouge invraisemblablement vintage, accueille les deux. Et on y parle souvent le français, indice parmi cent autres de la forte présence romande. Vendredi 8 août, la tête de l'État genevois y était ainsi réunie dans le reflet grenat des bouteilles au mur, pour annoncer le lancement de la Geneva Film Commission. Conseillère d'État chargée de l'Économie et de l'Emploi, Delphine Bachmann était entourée de Thierry Apothéloz, président du Conseil d'État, et de Joëlle Bertossa, chargée de la Culture à la Ville de Genève. Une délégation à la hauteur des enjeux espérés derrière cette initiative qui, à l'instar du Tessin et du Valais, veut développer la manne financière des tournages sur ses territoires: un franc investi deviendrait ainsi 4 francs de retombées économiques (lire ci-dessous). En 2022, la Valais Film Commission avait convié presse et professionnels dans ce même bar à cocktails pour annoncer sa naissance. Au stand Campari mais à l'eau: de g. à dr.: Joëlle Bertossa, Thierry Apothéloz et Delphine Bachmann. T. Albrecht «Locarno est le lieu où la politique suisse du cinéma et de l'audiovisuel se fait. On peut vraiment y marquer des points», convient Tristan Albrecht, parmi les personnes à l'origine de cette première romande. «Et dans mon domaine, celui des commissions, les voix francophones – et italophones – y sont particulièrement entendues et écoutées.» Preuve vivante de ce qu'il avance, le Valaisan a été investi en début d'année coprésident de la Switzerland Film Commission, chargé de promouvoir les lieux de tournages helvétiques à l'étranger. Politique en pratique Sur les hauteurs, dans la cour de la Magistrale, l'entrée est plus stricte mais l'ambiance pas moins décontractée. Chaque année, le GARP (Groupe Auteurs Réalisateurs Producteurs) organise un dîner favorisant l'échange entre le monde politique et les professionnels de l'audiovisuel. Deux règles d'airain: pas de chaussettes dans les baskets et du discours off. «C'est rare que les journalistes soient invités», s'étonne un convive. Il n'y a aucun secret d'État au menu, mais les discussions informelles des agapes s'accommodent mal de trop d'oreilles indiscrètes. Quand Lionel Baier détaille le poids économique du cinéma, Christophe Darbellay écoute. Luca Chiandoni «C'est vraiment un moment important pour rencontrer «en vrai» des hommes et des femmes politiques, s'enthousiasme le cinéaste Lionel Baier. Soudain, ils sont là, à l'écoute, et on peut faire acte de pédagogie incitative qui nous servira lors des votations. Et les Romands sont en force! Nous sommes en tout cas proportionnellement plus actifs, voire moteurs, que notre représentation démographique. Je dirai 50-50 avec les Alémaniques. Ça peut parfois les agacer.» Le lendemain, à l'initiative de l'OFC, le Lausannois était invité en tant que producteur pour expliquer aux représentants des milieux économiques les heureux investissements en germe dans l'industrie audiovisuelle. Sur la même estrade, citant l'exemple de son canton: le patron de l'économie valaisanne, Christophe Darbellay! Casting de luxe. Et effets win-win , comme on dit. «Pour les politiciens qui doivent prendre des décisions en commission, avoir dans leurs téléphones les numéros de professionnels de la branche rencontrés à Locarno est une source d'information précieuse», souligne un fonctionnaire fédéral. La lex Netflix, votée en 2022 et dont les bons résultats ont été opportunément publiés vendredi par l'OFC, a bénéficié de ce réseautage. La Piazza Grande et ses 8000 sièges, l'un des plus grands cinémas du monde. Locarno Film Festival / Ti-Press Et les films, dans tout ça? Là encore, traditionnellement francophile, l'offre artistique du festival met à l'honneur nombre de courts et longs métrages romands. Certains cinéastes, dont Baier, y sont «nés» auprès du public et des médias, d'autres se sont cassé le nez sur le tremplin gigantesque, mais parfois cruel, des 8000 places de la Piazza Grande et son écran géant. Celui-ci recevra lundi 11 août les deux premiers épisodes de «The Deal» , la série de Jean-Stéphane Bron, lui aussi habitué des ors de Locarno – et des polémiques dès lors que Blocher en était le sujet. Dans le concours International, «Le lac», du Vaudois Fabrice Aragno, est scruté de près. Une louche supplémentaire de Léman dans le lac Majeur? Les cantons veulent faire du cinéma Au générique des sujets les plus brûlants, l'initiative pour une redevance à 200 francs faisait évidemment causer à Locarno. Mais officiellement, et aussi parce qu'il vaut mieux pour le moral parler de gain possible que de déficit probable, les discussions ont largement tourné autour des investissements heureux de l'économie dans le secteur audiovisuel. Car c'est un fait, et visiblement un ratio de 1 sur 4: l'argent investi dans un tournage rapporte à la collectivité qui l'abrite. Canton et Ville de Genève ont ainsi lancé la Geneva Film Commission pour développer le pôle de compétences local et attirer des tournages suisses et étrangers, quand bien même la moitié des productions audiovisuelles romandes s'y déroulent déjà. Un Film Office sera chargé de la promotion et de l'accompagnement, un système de cash rebate remboursera jusqu'à 30% des dépenses éligibles effectuées sur le territoire cantonal, à hauteur maximale de 500'000 francs. «On a trop souvent tendance à associer culture avec subvention en oubliant les recettes qu'elle génère», regrette la conseillère d'État Delphine Bachmann, chargée de l'Économie, qui a finalisé ce projet vieux de dix ans. «Nous sommes persuadés qu'une politique incitative peut avoir de fortes retombées économiques indirectes et en termes d'emplois.» Ce projet, indépendant des subventions culturelles, espère «lever» 1 million de francs de la part des collectivités publiques et autant du privé. Locarno, jusqu'au di 17 août. Locarno en interviews François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

« The Dead of winter » et « Legend of the happy worker »… Au festival de Locarno, deux films complètement dingos
« The Dead of winter » et « Legend of the happy worker »… Au festival de Locarno, deux films complètement dingos

Le Parisien

time4 days ago

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  • Le Parisien

« The Dead of winter » et « Legend of the happy worker »… Au festival de Locarno, deux films complètement dingos

Avec des films très cinéphiles et bouillants, cuits à l'étouffée. Ici, on n'aime pas le tiède ni les recettes de tous les jours. On sort l'argenterie pour une découpe bien saignante. Comme « The Dead of winter », présenté ce jeudi soir avec Emma Thompson en veuve tranquille qui va se muer en épigone de James Bond pour sauver une ado promise aux pires sévices.

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