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Le détail qui avantage la Suisse: Pia Sundhage: «Je ne suis pas assez bonne pour y avoir pensé»
Le détail qui avantage la Suisse: Pia Sundhage: «Je ne suis pas assez bonne pour y avoir pensé»

24 Heures

time19 hours ago

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Le détail qui avantage la Suisse: Pia Sundhage: «Je ne suis pas assez bonne pour y avoir pensé»

L'équipe de Suisse s'apprêtait à battre l'Islande 1-0 dimanche, avant d'avoir la très bonne idée d'inscrire un but supplémentaire. Qui change tout. Publié aujourd'hui à 00h23 Pia Sundhage a eu fin nez dimanche contre l'Islande. Claudio de Capitani/freshfocus Butin d'une soirée magique, l'équipe de Suisse est plus que jamais en course pour se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro. Mais il y a un mais. Suffit-il à gâcher son fantastique dimanche et cette victoire acquise de haute lutte face à l'Islande? Certainement pas. Mais il vaut mieux le prendre en compte. Ce mais, c'est que la Suisse ne peut plus terminer en tête de son groupe. Cela signifie que son adversaire en quart serait le vainqueur du groupe B. Celui des championnes du monde espagnoles, arrivées à l'Euro en mode rouleau compresseur. Voilà pour les perspectives d'avenir plus que challengeantes. Pour goûter à ce potentiel match de gala, la Suisse devra assurer un match nul contre la Finlande jeudi à Genève lors de la rencontre numéro 3 du tournoi. Un avantage qu'elle doit au but tout sauf anodin d'Alayah Pilgrim à la 90e pour le 2-0 ce dimanche. Cette réussite offre aux Suissesses un meilleur goal-average avant le match fatidique. Un bien précieux. Il ne sera pas de trop pour tenter de faire durer la fantastique communion née entre la sélection suisse et son public ces derniers jours. «Une équipe de Suisse avec de très bonnes jambes» Pia Sundhage a-t-elle poussé auprès de ses joueuses pour que celles-ci ne se contentent pas d'un avantage d'un but? «Je ne suis pas assez bonne pour y avoir pensé», a souri la sélectionneuse. Bien consciente que dimanche, elle n'avait pas grand-chose à se reprocher. Son changement de système peu avant l'heure de jeu s'est mué en pari gagnant. Quant aux critiques internes survenues avant le tournoi quant à la charge de travail qu'elle a fait peser sur ses joueuses, celles-ci semblent de plus en plus lointaines. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Je crois qu'on a tous vu une équipe avec de très bonnes jambes. C'est ce que je me dis quand je regarde la façon dont les joueuses ont couru», a apprécié la Suédoise. Qui a l'embarras du choix au moment de choisir ses satisfactions préférées du moment. La forme de Géraldine Reuteler, élue pour la deuxième fois femme du match, n'est sans doute pas loin du haut de la liste. «Géraldine, c'est une buteuse, même quand elle joue au milieu du terrain. Je suis impressionnée par sa première touche de balle, sa façon de prendre l'espace. Quant au débat sur la position dans laquelle la faire jouer, il est sans fin.» Le match contre l'Islande, redouté à cause du défi physique et des faiblesses suisses dans le jeu aérien, a donc tourné dans le bon sens. «Je dois dire que c'était vraiment difficile. Surtout que l'Islande a vraiment bien fait ses devoirs, en laissant quelqu'un sur notre capitaine Lia Wälti en permanence», a encore observé une Pia Sundhage emballée par l'énergie folle qui s'est dégagée du Wankdorf dimanche. Le Stade de Genève saura-t-il faire aussi bien jeudi? D'autres articles sur l'Euro 2025 Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Florian Vaney est journaliste au sein de la rédaction sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Formé dans la presse régionale, il suit de près le football suisse, des divisions «des talus» à la Super League. Il s'intéresse aux événements du terrain, mais plus encore aux histoires – belles et moins belles – qui naissent autour. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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