Dernières actualités avec #Euro2025


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DIRECT. Euro 2025: la RTS explose son record d'audience
02.07.2025, 15h01 Championnes du monde en titre, les Espagnoles entament jeudi face au Portugal leur quête d'une première couronne à l'Euro de foot, avec le statut de favorites à défendre et des plaies à panser. Près de deux ans après son triomphe au Mondial-2023, dont la fête avait été gâchée par le baiser imposé par l'ex-président de la Fédération espagnole de football Luis Rubiales à l'attaquante Jenni Hermoso, la Roja rêve d'un doublé historique, pour enfin aller de l'avant. AFP Malgré la condamnation à une amende de 10'800 euros pour agression sexuelle à l'encontre de l'ancien patron de la RFEF, confirmée en appel la semaine dernière, l'affaire reste un «fardeau», selon la double-Ballon d'Or Alexia Putellas. Et ni les multiples démissions et changements structurels au sein de la Fédération réclamés par les joueuses, ni la victoire en Ligue des nations (face à la France), n'ont pour l'instant suffi à l'alléger. Sur le terrain, la sélectionneuse Montse Tomé a choisi de se passer d'Hermoso, meilleure buteuse de l'histoire de la sélection, pour ce qui aurait sûrement été sa dernière compétition internationale à 35 ans. Mais elle peut compter sur un groupe au talent inégalé, comprenant 11 des 23 championnes du monde en 2023, toujours emmené par les stars du FC Barcelone Aitana Bonmati et Alexia Putellas et la nouvelle joueuse du PSG Olga Carmona. Bonmati incertaine, Paredes suspendue Hospitalisée il y a quelques jours pour une méningite virale, Bonmati a repris l'entraînement en Suisse, pays organisateur du tournoi, avant la première rencontre de la phase de poules contre le Portugal, jeudi à Berne. AFP Sa présence dans l'entrejeu ibérique demeure cependant très incertaine. La capitaine barcelonaise Irene Paredes sera elle suspendue pour ce premier rendez-vous, qui reste cependant largement à la portée des joueuses de la Roja, larges vainqueurs lors des deux derniers matches contre le Portugal (7-1 et 4-2). L'Espagne, qui reste sur un échec lors du match pour la 3e place aux Jeux de Paris face à l'Allemagne – seule nation à avoir remporté coup sur coup une Coupe du monde et un Euro – affrontera ensuite la Belgique et l'Italie, deux autres équipes bien inférieures sur le papier. «Nous sommes toujours attendues comme les favorites. Je crois que si on joue en équipe et si on prend du plaisir sur le terrain, personne ne pourra nous arrêter», a prévenu la jeune barcelonaise Vicky Lopez. «L'Espagne est un véritable berceau de championnes et nous avons encore un grand avenir devant nous», a ajouté la buteuse du Real Madrid Alba Redondo à l'AFP. La joueuse de 28 ans, qui affiche fièrement son homosexualité, ne craint pas «la pression» qui pèse sur les épaules des championnes du monde en titre, déterminées à «continuer à visibiliser» le sport féminin et les couples entre femmes. Et à «avancer pour vaincre les peurs».


Le Figaro
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Elisa De Almeida au Figaro avant l'Euro féminin : «Cet engouement où les gens veulent nous voir gagner notre premier titre, ça aide»
ENTRETIEN - La latérale droite de l'équipe de France, Elisa De Almeida, livre son regard sur l'Euro 2025 qui attend les Bleues, et sur le développement du foot féminin qui va «dans le bon sens». Des sélections à la chaîne chez les jeunes, un titre de championne d'Europe U19 et aujourd'hui une place de titulaire en équipe de France. Elisa De Almeida, 27 ans, s'est rendue incontournable chez les Bleus comme au Paris Saint-Germain, son club depuis 2021. Forte de 44 sélections (5 buts), la défenseuse centrale à Paris et latérale droite chez les Bleues se confie sur l'Euro 2025, la quête d'un premier trophée et l'évolution du football féminin en France. Comment vous sentez-vous avant votre entrée en lice à l'Euro ? Publicité Elisa De Almeida: Bien, on a bien travaillé. On a gagné nos deux matches amicaux en préparation. Ça donne de la confiance, on se sent bien. En plus, la victoire contre le Brésil est un peu 'à l'arraché'. On est menées 2-0, on revient à 3-2. Ça prouve une force mentale de l'équipe. Ça met en confiance avant une compétition. Après, il ne faut pas s'arrêter à ça, ça reste des matchs amicaux de préparation. Il faudra être prêt pour le jour J, samedi. Quelle est l'ambition de l'équipe de France à l'Euro ? Comme toute nation qui vient dans une compétition, forcément, c'est de gagner. On vise déjà le carré final et après, on verra. Je pense qu'il faut prendre étape par étape. Ça n'a même pas encore commencé. On a des objectifs en tête, je pense que ça reste dans nos têtes à nous, mais toutes les nations viennent pour gagner, donc il va falloir tout donner. On a hâte aussi que ça commence, je pense, comme toutes les nations. Le staff (en équipe de France) s'est élargi, ça va avec tous les progrès globaux du foot féminin. Elisa De Almeida L'équipe de France court toujours après son premier trophée. Que lui manque-t-elle ? (Elle réfléchit) Il doit manquer forcément quelque chose vu qu'on n'a pas gagné. (sourire) Après, qu'est-ce qui manque ? Si on avait la réponse, on aurait la recette, donc on aurait déjà rectifié tout cela. Publicité L'attente d'un premier titre pèse-t-elle sur l'équipe ? Non. On a à cœur d'aller en chercher un, parce que ça restera le premier trophée de l'équipe de France féminine. Mais ça ne pèse pas sur nous. On le prend plus positivement, d'aller chercher le premier trophée, plutôt qu'une pression très négative. Côté équipe de France, sentez-vous un engouement plus important aujourd'hui par rapport à vos débuts (première sélection en octobre 2019) ? Oui, c'est un peu plus médiatisé. Quand je suis arrivée, ça l'était déjà aussi parce qu'il venait d'y avoir la Coupe du Monde 2019 en France. Ç'a fait du bruit. Je pense que tout le monde est un peu dans l'attente de notre titre. Je pense que ça aide aussi, cet engouement où les gens veulent nous voir gagner. Il y a aussi eu un pas de franchi dans les moyens alloués à l'équipe, notamment le staff technique... Publicité Oui, aujourd'hui on a élargi le staff. Il y a un préparateur mental en plus, un ostéopathe. C'est bien. Après, ça va avec tous les progrès globaux du foot féminin C'est un peu la suite logique. De plus en plus de joueuses françaises partent dans des gros clubs étrangers. Est-ce un signe que le foot féminin français régresse par rapport aux autres nations ? Je ne pense pas. Je pense qu'il y a une bonne progression dans le championnat français. Après, l'étranger, aujourd'hui, ça attire aussi du monde. Les joueuses veulent aussi voir autre chose. Mais je ne pense pas que ça veut dire que le championnat français n'avance pas. Plutôt que de toujours comparer les garçons aux filles, je pense qu'il est plus constructif de valoriser ce qui est en train de se construire dans le sport féminin. Elisa De Almeida Selon vous, le sport féminin a-t-il aujourd'hui la visibilité qu'il mérite en France ? Je pense qu'on peut toujours faire mieux. On essaie de travailler pour faire mieux parce qu'aujourd'hui, on est les actrices principales qui peuvent faire évoluer tout ça. Après, c'est à nous d'essayer de faire mieux pour les générations futures, parce que ça ne va pas forcément s'améliorer là maintenant à l'instant T. Mais on a déjà beaucoup évolué par rapport à quand j'ai commencé et là où j'en suis aujourd'hui. Que ça continue comme ça. Au-delà de l'exemple en tant que joueuse de haut niveau, comment vous investissez-vous dans le développement du sport féminin ? Ce que je souhaite avant tout, c'est transmettre. Partager mon expérience, échanger avec les plus jeunes, mais aussi montrer l'exemple à travers mon comportement. Pas seulement sur le terrain, mais aussi en dehors : dans mes prises de parole, les messages que je fais passer, les valeurs que je défends. J'ai envie d'être une source de motivation, d'inspiration, et de montrer qu'on peut avoir un impact positif à travers notre parcours, nos engagements et nos choix. Qu'est-ce que chacun peut faire à son échelle pour contribuer au développement du sport féminin ? J'essaie de me concentrer sur les évolutions positives, sur ce qui avance. Plutôt que de toujours comparer les garçons aux filles, je pense qu'il est plus constructif de valoriser ce qui est en train de se construire dans le sport féminin. Même à petite échelle, chaque geste compte pour faire évoluer les mentalités et continuer à faire grandir le sport féminin. Quelles sont ces valeurs que vous cherchez à transmettre ? Pour moi, le sport est avant tout un vecteur de partage, de tolérance et de respect de l'autre. C'est aussi pour ça que je trouve essentiel de soutenir des initiatives comme «Passes Décisives», mises en place par la MGEN (Mutuelle générale de l'Éducation nationale). Ce type d'opération donne au sport féminin la visibilité qu'il mérite et donne du sens à notre engagement : elle crée du lien entre les jeunes, les athlètes pro et amatrices, et les institutions, autour de valeurs fortes. C'est enrichissant pour les jeunes fans, mais aussi pour nous. On en ressort inspirés, et fiers de contribuer à ce genre de projet qui va bien au-delà du sport. Vous êtes passée professionnelle en 2017 (au Paris FC). Pouviez-vous vivre du football à l'époque ? Non, pas du tout. Ça n'avait rien à voir. C'étaient des salaires de départ. J'avais les études à côté. Il y a encore aujourd'hui des filles dans différents clubs qui travaillent à côté. Mais il y a eu une claire évolution. Quand j'ai quitté le Paris FC (en 2019), il y avait l'inauguration du nouveau centre d'entraînement à Orly. Aujourd'hui, en étant au PSG, je ne peux rien dire parce qu'avec le Campus (ouvert en 2023 à Poissy), c'est juste magnifique. Je pense que tous les clubs essayent de mettre des structures pour les équipes féminines. J'espère que ça va continuer comme ça. On le voit aussi à l'étranger, il y a beaucoup de très belles structures où les filles sont mélangées avec les garçons. Ça va dans le bon chemin.


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Espagne-Portugal: la soirée où le foot a côtoyé le drame à l'Euro 2025
Accueil | Sports | Euro 2025 | L'Espagne a dominé le Portugal (5-0) pour son entrée en lice à l'Euro 2025. L'avant match a été marqué par l'émotion liée au décès tragique du footballeur portugais Diogo Jota. Publié aujourd'hui à 07h43 Les fans portugais ont rendu un vibrant hommage au footballeur Diogo Jota, décédé dans un tragique accident de la circulation en Espagne avec son frère cadet. KEYSTONE En bref: Des rires d'enfants, des discussions passionnées en espagnol et portugais, des drapeaux qui claquent dans l'air chaud d'une fin de journée caniculaire à Berne: à première vue, le décor est celui d'une fête. Pas de chants hostiles, pas de provocations, rien qu'une ambiance bienveillante en dépit des rivalités historiques. Sur l'esplanade du Stade de Suisse, à Berne, familles et groupes d'amis déambulent paisiblement en maillots rouge et or ou vert et rouge. Tous sont venus acclamer les championnes du monde en titre — cette Roja étincelante au jeu léché, grande favorite du tournoi — ou soutenir la Seleção, outsider courageuse de cet Euro 2025 . Les hommages à Diogo Jota Mais derrière cette douce effervescence teintée d'enthousiasme flotte une ombre. Le jour du match, le monde du football a été secoué par une nouvelle tragique: Diogo Jota , attaquant international portugais de Liverpool, 28 ans, et son frère André Silva , 26 ans, également footballeur professionnel, ont perdu la vie dans un accident de voiture en Espagne. Dans la nuit de mercredi à jeudi, leur bolide a quitté la route sur l'A-52, près de Zamora, dans le nord-ouest du pays, avant de s'embraser. Le drame a bouleversé toute la péninsule Ibérique — et bien au-delà . Autour du stade, entre les stands de boissons, les vendeurs de souvenirs et les Botellón improvisés, l'ambiance reste contenue. Même les tentatives des bénévoles de lancer des chants à la gloire des deux sélections peinent à trouver leur écho. La ferveur est là, mais en sourdine. Le deuil, surtout dans le camp portugais, est palpable. De nombreux supporters et supportrices portugais brandissent des pancartes ou des photos du joueur disparu. Certains se regroupent à l'écart, se recueillent en silence. Sur la pelouse, plus tard, les joueuses des deux équipes nationales porteront un brassard noir. Une minute de silence poignante sera observée avant le coup d'envoi. Ce jeudi soir à Berne, le football avait décidément le cœur lourd. Carlos, 43 ans, installé dans la partie francophone du canton de Berne depuis son enfance, est venu avec ses amis soutenir la Seleção. «On est là, mais avec une boule au ventre. Diogo Jota, c'était un grand joueur, mais surtout un gars bien. Ce qui est arrivé est terrible. Ce soir, le Portugal va jouer pour lui et pour son frère.» Espagne – Portugal, un duel déséquilibré Sur le parvis du stade, Kosovare, 26 ans, vit un moment bien à elle. Fan absolue de la Roja, elle arbore fièrement le maillot d'Alexia Putellas, double Ballon d'Or et star du FC Barcelone — dont les maillots blaugrana inondent les abords du stade. La Fribourgeoise est elle-même joueuse au FC Vuisternens/Mézières, en première ligue féminine suisse. «C'est la première fois que je vois la sélection espagnole en vrai», sourit-elle. Entre ses mains, une pancarte soigneusement écrite en espagnol : « Alexia, donne-moi ton maillot, je t'en prie! », peut-on y lire. «S'il le faut, je sauterai sur le terrain», plaisante-t-elle à moitié. «Mais on a de bonnes places, et j'ai bon espoir qu'Alexia voie ma pancarte. Il faut y croire dans la vie!» À ses côtés, Albiona, sa coéquipière de club, assiste au premier de ses huit matchs de l'Euro 2025. Et Eva, Capverdienne née au Portugal, découvre quant à elle l'ambiance d'un stade pour la première fois: «J'espère une belle rivalité et des buts sur le terrain, mais aussi une bonne ambiance en tribunes», lance-t-elle. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Le match, par contre, ne laissera la place à aucun doute. Malgré son supplément d'âme et ses bonnes intentions, le Portugal a rapidement plié face à la déferlante espagnole. Le football cinq étoiles de la Roja a été sans pitié et l'émotion d'une soirée particulière n'a pas freiné l'exécution: 4-0 à la mi-temps, 5-0 et manita au coup de sifflet final. Le football espagnol a confirmé sa domination, implacable et spectaculaire. Le Portugal, lui, a tenu debout tant bien que mal, malgré le choc et le poids du deuil. Davantage sur l'Euro 2025 en Suisse Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Cyrill Pasche est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, La Tribune de Genève et Le Matin Dimanche. Il couvre en particulier l'actualité du hockey sur glace suisse et international, l'athlétisme ainsi que les Jeux olympiques d'été et d'hiver. Plus d'infos @c9pasche Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Figaro
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Équipe de France : la capitaine Mbock toujours absente de l'entraînement
Griedge Mbock n'a pas participé à la séance collective des Bleues ce jeudi. La capitaine de l'équipe de France ne devrait pas pouvoir tenir sa place pour le premier match de l'Euro contre l'Angleterre. La défenseuse et capitaine des Bleues Griedge Mbock, touchée au mollet droit, ne s'est pas entraînée jeudi, à deux jours de leur entrée en lice à l'Euro 2025 contre l'Angleterre, mais n'est officiellement pas forfait, a indiqué une source proche du staff des Bleues. À découvrir Le calendrier complet des Bleus Comme mercredi, elle s'est entraînée jeudi en salle, selon une source proche du staff, précisant qu'elle était descendue au terrain pour regarder la séance de ses coéquipières lors d'un entraînement à huis clos jeudi dans la matinée, sans en prendre part. Son forfait n'a toujours pas été officialisé mais son absence ne fait guère de doute pour le choc contre l'Angleterre, championne d'Europe en titre en 2022. Publicité Sombath pour la remplacer ? «Griedge est encore incertaine, cela dépendra du coach et du docteur, mais on sait qu'elle est derrière nous, elle va continuer d'être avec le groupe pour nous supporter», a confié jeudi Grace Geyoro, ajoutant que «les jeunes sont prêtes à prendre le relais si Griedge n'est pas là (...). On n'a pas d'inquiétude par rapport à cela, on sait qu'elles sont en confiance, on sera là pour les accompagner si elles ont besoin de jouer samedi soir». La jeune défenseuse de l'OL, Alice Sombath, 21 ans, est en bonne position pour la remplacer en charnière centrale. Jeudi matin à l'entraînement, elle accompagnait Maëlle Lakrar lors de l'opposition, selon une autre source proche de l'équipe de France. Dans l'entrejeu, la milieu de Chelsea, Oriane Jean-François pourrait être alignée à la place de Sandie Toletti, aux côtés de Sakina Karchaoui et Grace Geyoro, a indiqué cette source. Devant, l'attaquante Sandy Baltimore pourrait démarrer la rencontre avec Marie-Antoinette Katoto et Delphine Cascarino.

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DIRECT. Danemark (F)-Suède (F) (Euro féminin 2025) à suivre en direct
Danemark (F) 18h00 Suède (F) Euro féminin 2025, Groupe C, 1re journée Bienvenue sur le live de L'Équipe pour suivre ce match de football en direct entre Danemark (F) et Suède (F) (Euro (F), 1re journée). Le coup d'envoi de ce match, qui se déroulera au Stade de Genève (Genève) sera donné le vendredi 4 juillet 2025 à 18h. Les deux équipes se sont déjà rencontrées 6 fois depuis 1994, le dernier match entre les deux formations s'est soldé par match nul le dimanche 5 juin 2022 (Euro (F) - 1ère journée : 1-1). Le match sera arbitré par Edina Alves Batista. Vous pouvez aussi retrouver plus d'informations concernant les équipes et effectifs grâce à nos fiches détaillées : Danemark (F) et Suède (F).