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Le Figaro
13 hours ago
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Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi
Le président parisien a fait le point devant les journalistes ce vendredi, à Atlanta, évoquant notamment le Ballon d'or mais aussi les critiques envers le Mondial des clubs. «Si Ousmane Dembélé ne gagne pas le Ballon d'or, il y a un problème», a déclaré le président du Paris-SG Nasser Al-Khelaïfi ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00). «Vu la saison qu'il a faite, une saison magnifique, aucun doute qu'il gagne le Ballon d'or», a dit «NAK» à la presse après un entraînement de l'équipe sur le campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). «S'il ne gagne pas, il y a un problème. Il a tout fait», a insisté le dirigeant, en référence à l'influence prépondérante du joueur sur les champions d'Europe, avec notamment 33 buts et 15 passes décisives. «C'est sûr que c'est important pour le club. Mais le plus important c'est que tout le monde joue pour l'équipe», a ajouté M. Al-Khelaïfi. Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé. Nasser Al-Khelaïfi Publicité Interrogé sur le Mondial des clubs nouveau format et sur le calendrier surchargé des joueurs, le président du PSG a assuré: «C'est sûr que quand vous organisez une compétition comme ça, il y a des choses de pas top, mais en général c'est magnifique, un nouveau marché pour le foot, pour la marque, tout le club. Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition, avant les clubs et les joueurs ne jouaient jamais de Coupe du monde, (...) il faut penser de manière positive», a-t-il dit. «Il y a beaucoup de challenges financiers dans le foot», a souligné Nasser Al-Khelaïfi. «Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé, on prend match par match pour aller le plus loin possible», a-t-il relaté.


Le Figaro
19 hours ago
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Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern
L'attaquant parisien s'est exprimé face à la presse ce vendredi, à la veille du quart de finale contre le Bayern, samedi, à Atlanta. «Je suis à 100% pour débuter mais c'est le coach qui décide», a déclaré l'attaquant du Paris-SG Ousmane Dembélé ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00), à Atlanta. «Je me sens à 100%, ça fait maintenant neuf, dix jours que je m'entraîne bien avec l'équipe et je suis à 100% pour débuter, c'est le coach qui décide», a-t-il dit à la presse, après une séance collective au campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). Dembélé, blessé le 5 juin avec les Bleus, a manqué les trois premiers matches du Mondial avant de rentrer en cours de jeu contre l'Inter Miami en huitième de finale (4-0). Publicité «J'aime jouer au football. Regarder jouer son équipe en tribune ce n'est pas facile, j'ai envie d'aider l'équipe à gagner ce titre», a confié le candidat au Ballon d'or, aux statistiques (33 buts, 15 passes décisives) et à l'influence déterminantes. On a une petite revanche à prendre. Ousmane Dembélé Contre le Bayern Munich, qui a battu le PSG 1-0 en Ligue des champions en novembre dernier, «on a une petite revanche à prendre, on sait que c'est une équipe difficile mais on est beaucoup plus forts qu'au mois de novembre», a souligné Ousmane Dembélé. «Il y a beaucoup de choses qui ont changé, les joueurs ont clairement élevé le niveau, j'ai élevé le niveau aussi, et on a énormément de confiance, on sait ce qu'on doit faire sur le terrain, on peut battre n'importe quelle équipe», a ajouté l'international français. «Il faudra de la concentration, mettre du rythme, jouer comme d'habitude, et surtout bien défendre car c'est une équipe redoutable», a analysé le numéro 10. «Notre plus grande source de motivation, c'est vraiment ce sentiment de revanche, quand on avait perdu chez eux, ça avait été très dur après», a indiqué pour sa part Bradley Barcola. «Ça avait été un des déclics, cette défaite nous avait fait mal et prendre conscience qu'on n'avait plus beaucoup de chances pour continuer en Ligue des champions, et ça nous avait encore plus motivés», a ajouté Barcola.