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Mercato : libre de tout contrat, Thomas Delaine a signé deux ans avec Le Havre
Mercato : libre de tout contrat, Thomas Delaine a signé deux ans avec Le Havre

L'Équipe

time12-07-2025

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Mercato : libre de tout contrat, Thomas Delaine a signé deux ans avec Le Havre

Libre depuis son départ de Strasbourg, le latéral gauche de 33 ans, Thomas Delaine, s'est engagé avec le HAC en signant un contrat de deux saisons. Le HAC accélère. Après la décision de la DNCG, vendredi, de prononcer un encadrement de sa masse salariale et de ses indemnités de mutation, le club doyen a commencé à annoncer progressivement les recrues en attente de la décision définitive de l'instance de contrôle. Le feu vert donné, les arrivées de l'attaquant polyvalent suisse Felix Mambimbi et de l'ailier français Godson Kyeremeh ont été officialisées vendredi alors que celle du gardien Mory Diaw a été actée ce samedi matin. Les dirigeants normands n'ont pas prévu de s'arrêter là et l'officialisation de la signature de Thomas Delaine devrait intervenir rapidement. Libre depuis son départ de Strasbourg après trois ans de contrat, Delaine était annoncé tout proche du Havre dès lundi. Le latéral gauche de 33 ans s'est bien engagé dans la semaine avec les Ciel et Marine, dernier 15e de Ligue 1, en y paraphant un bail de deux saisons.

Ligue 1: Encadrement de la masse salariale et des indemnités de transferts, la DNCG tranche pour Le Havre
Ligue 1: Encadrement de la masse salariale et des indemnités de transferts, la DNCG tranche pour Le Havre

Le Figaro

time11-07-2025

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Ligue 1: Encadrement de la masse salariale et des indemnités de transferts, la DNCG tranche pour Le Havre

La Direction nationale du contrôle de gestion a pris sa décision au sujet du HAC, récemment passé sous pavillon américain. La Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) a annoncé vendredi un encadrement de la masse salariale et des indemnités de transferts du Havre, qui s'est maintenu de justesse en Ligue 1. Le club normand, qui attendait depuis plusieurs jours le verdict de l'instance de contrôle du football professionnel, est passé fin juin sous le contrôle du fonds américain Blue Crow Sports Group. «Encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutations à la suite du changement d'actionnaire majoritaire du club», a tranché la DNCG dans un communiqué diffusé vendredi. Le HAC, qui a arraché son maintien en Ligue 1 lors de la 34e et dernière journée, le 17 mai dernier, attaquera l'exercice 2025-26 par un déplacement sur la pelouse de l'AS Monaco, le week-end des 16 et 17 août.

« Monsieur Volpe se prend peut-être pour Donald Trump » : au Havre, la fronde des petits actionnaires face à la revente
« Monsieur Volpe se prend peut-être pour Donald Trump » : au Havre, la fronde des petits actionnaires face à la revente

L'Équipe

time08-07-2025

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« Monsieur Volpe se prend peut-être pour Donald Trump » : au Havre, la fronde des petits actionnaires face à la revente

Plusieurs actionnaires minoritaires du HAC dénoncent des irrégularités dans le processus de rachat du club par le groupe américain Blue Crow. Sûr de son bon droit, le club doyen affiche sa sérénité, en attendant le verdict de la DNCG. Y'a un hic au HAC. En attendant la fumée blanche de la DNCG qui a placé son dossier en sursis à statuer après son audition le 24 juin, Le Havre vit une drôle de rentrée. Après avoir sacrifié à la traditionnelle batterie de tests physiques et médicaux la veille, les joueurs ont repris l'entraînement ce mardi, à huis clos, à l'abri des regards. Supporters et journalistes sont provisoirement tenus à l'écart tant que l'incertitude sportive n'a pas été levée. En coulisses, comme l'a révélé Paris-Normandie ce mardi matin, un vent de fronde se lève. Si Vincent Volpe a officialisé, le 2 juillet, la revente de sa société luxembourgeoise Football Club Investment (FCI) qui détient 96,21 % des parts du HAC, au groupe américain Blue Crow Sports Group (BCSG) représenté par Jeff Luhnow, plusieurs actionnaires minoritaires, parmi les 235 petits porteurs qui se partagent les 3,79 % restants du club normand, dénoncent « une vente illégale », déplorant avoir appris l'opération dans la presse. « Nous allons signaler le problème à la DNCG en leur disant que la vente du HAC est entachée d'irrégularités », avance Patrick Morvan, présent dans le capital du club depuis l'ère Jean-Pierre Louvel. « On est mis devant le fait accompli. M. Volpe aurait dû a minima convoquer une assemblée générale extraordinaire des actionnaires de la SASP (Société anonyme sportive professionnelle) pour nous demander notre avis, poursuit ce fidèle des Ciel et Marine de 74 ans. M. Volpe se prend peut-être pour Donald Trump mais on est en Normandie. Il nous prend pour des moins-que-rien mais on ne va pas se laisser faire. Le HAC, c'est d'abord une aventure humaine, pas une turbine de chez Dresser-Rand. Nous sommes en France, il y a un droit du commerce qui doit être respecté. » « Nous sommes également liés par un pacte d'associés depuis 2015, abonde Christophe Duval, autre actionnaire qui s'estime spolié. Dans ce pacte valable vingt ans, un article stipule que si M. Volpe veut vendre, il doit informer tous les actionnaires par courrier recommandé. Or, nous n'avons rien reçu ! » Le club estime être juridiquement dans les clous Mettant cette colère sur le compte de la « vexation » des petits actionnaires tenus à l'écart pour ne pas risquer de faire capoter le deal, le club estime être juridiquement dans les clous. Car techniquement, ce n'est pas le HAC qui a été vendu à BCSG mais l'actionnaire principal qui a cédé ses parts à la holding texane. « FCI, l'actionnaire ultra-majoritaire, a beau avoir changé de mains, il reste le même, soutient une source interne. Rien ne change : le capital ne change pas, la structure juridique du club ne change pas, le pacte d'associés non plus. Il n'y avait donc pas lieu de convoquer une AG extraordinaire. » Pour calmer le jeu, une information devrait être prochainement faite aux actionnaires, une fois que la vente de FCI sera définitivement actée, après la période de ''closing'' dont l'issue est attendue en fin de semaine. Tout comme le verdict du gendarme financier du foot français.

Aucune indemnité de transfert, baisse de la masse salariale : au Havre, l'austérité malgré la vente à Blue Crow
Aucune indemnité de transfert, baisse de la masse salariale : au Havre, l'austérité malgré la vente à Blue Crow

L'Équipe

time08-07-2025

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Aucune indemnité de transfert, baisse de la masse salariale : au Havre, l'austérité malgré la vente à Blue Crow

Pas de transfert, réduction demandée de 15 % de la masse salariale, salaires limités : la vente du Havre à Blue Crow ne va pas changer l'équation économique. La nuit strasbourgeoise paraît si lointaine. Lundi, un mois et demi après avoir obtenu leur maintien en L1 en Alsace au bout d'un scénario exceptionnel (3-2), le 17 mai, les Havrais ont repris l'entraînement. Dans l'intervalle, le paysage du club normand a changé. La vente du HAC à Blue Crow a ouvert une nouvelle ère de l'histoire du club doyen. Avec quelle surface financière ? Tous les supporters du Havre s'interrogent sur les moyens alloués à leur club dans les mois ou années à venir. « Certains arrivent avec peu d'argent et beaucoup d'ego. Eux arrivent avec de l'argent et peu d'ego », rassurait Vincent Volpe, l'ex-propriétaire, mercredi. La réalité est plus nuancée. Les jours passent et en attendant les décisions officielles de la DNCG (*), les représentants de Blue Crow Sports Group (BCSG) ont fait passer des messages très clairs, en interne, à la direction sportive sur l'enveloppe budgétaire consacrée au mercato. Le directeur sportif, Mathieu Bodmer, sait qu'il ne disposera d'aucune surface financière supplémentaire pour préparer la saison 2025-2026. Au contraire. La feuille de route fixée par les propriétaires américains prévoit un maintien de la politique zéro transfert. Aucune recrue officialisée Cet été, et quelle que soit la décision de la DNCG, Le Havre ne versera aucune indemnité de transfert. La direction sportive devra, une nouvelle fois, se montrer très créative. Car bien au-delà des indemnités, il ne pourra pas offrir de salaires importants. L'objectif fixé par Blue Crow est de réduire la masse salariale totale de 15 %. Un effort significatif pour un club où le salaire moyen de l'effectif l'an dernier dépassait à peine 20 000 euros. Les représentants des cibles potentielles ont été prévenus : le salaire maximal - pour un ou deux éléments - ne dépassera pas les 40 000 euros brut mensuels. En dessous, donc, du salaire médian de L1. C'est dans ce contexte que les premières recrues - Thomas Delaine (Strasbourg), Mory Diaw (Clermont, L2), Felix Mambimbi (Saint-Gall), Lionel Mpasi (Rodez, L2), Godson Kyeremeh (Caen, N) -, pas encore officialisées dans l'attente de la décision de la DNCG, ont été bouclées. Certains dossiers n'ont pas pu l'être, notamment en raison du flou entourant l'équation financière. Les dirigeants auraient aimé prolonger l'attaquant Ahmed Hassan, arrivé l'hiver dernier et important dans la quête du maintien. À moins d'une surprise, cette hypothèse est de moins en moins plausible. Le HAC a aussi vu s'échapper des dossiers simples sur le papier. Le prometteur attaquant niçois Victor Orakpo (19 ans), ciblé, est parti en prêt à Montpellier (L2). En fin de saison, Didier Digard expliquait dans nos colonnes que les « miracles n'étaient pas une recette ». L'entraîneur normand est pourtant condamné à en produire un de nouveau. À lire aussi Nice fait l'impasse sur les soldes d'été Rester ou partir, les tiraillements d'André Une partie de poker menteur entre actionnaires et créanciers ? De Strasbourg à Chelsea, un trio relégué en fond de grille

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