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Activités périscolaires et extrascolaires : « La fixation des tarifs est un choix politique des villes »
Activités périscolaires et extrascolaires : « La fixation des tarifs est un choix politique des villes »

Le Parisien

time5 hours ago

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Activités périscolaires et extrascolaires : « La fixation des tarifs est un choix politique des villes »

Les tarifs des activités périscolaires et extrascolaires connaissent une grande disparité d'une ville à l'autre. Coprésident de la commission éducation de l' Association des maires de France (AMF) et adjoint (PS) à l'éducation de Châtillon ( Hauts-de-Seine ), Antoine Jouenne nous éclaire sur la manière dont ils sont fixés par les villes ou les intercommunalités.

Une fillette échappe de peu à la noyade au nouveau centre aquatique de Colombes
Une fillette échappe de peu à la noyade au nouveau centre aquatique de Colombes

Le Parisien

time15 hours ago

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Une fillette échappe de peu à la noyade au nouveau centre aquatique de Colombes

Le drame a été évité de peu. Ce dimanche, à Colombes, une fillette a failli succomber à une noyade à la piscine du parc Lagravère. Selon nos informations, l'enfant, âgée de 10 ans, se trouvait en arrêt cardio-respiratoire lorsqu'elle a été repêchée, dans des circonstances encore floues, de l'un des bassins de cette piscine, inaugurée en grande pompe, il y a tout juste une semaine, par Laure et Florent Manaudou . Toujours selon nos informations, elle ne serait toutefois pas restée inconsciente très longtemps. « Elle a été réanimée par les maîtres nageurs du centre aquatique avant d'être prise en charge par les secours et transportée à l'hôpital le plus proche » explique-t-on à la préfecture des Hauts-de-Seine. Ces derniers jours, d'autres baignades ont connu des issues tragiques en Île-de-France. Vendredi, un adolescent de 17 ans est mort noyé dans le plan d'eau d'un hameau de la commune de Chambly (Oise), sur un site privé et interdit à la baignade. Trois jours plus tôt, le mardi 1er juillet, c'est un jeune homme de 18 ans qui avait trouvé la mort dans les eaux du bassin olympique du stade nautique de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne) alors que, quelques heures plus tôt, un sans-domicile-fixe de 43 ans avait été victime d'un arrêt cardiaque alors qu'il nageait dans la Seine.

« La nationale 7 m'émerveille toujours » : à la Garenne, Thierry Dubois s'en tient à sa feuille de route
« La nationale 7 m'émerveille toujours » : à la Garenne, Thierry Dubois s'en tient à sa feuille de route

Le Parisien

time2 days ago

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« La nationale 7 m'émerveille toujours » : à la Garenne, Thierry Dubois s'en tient à sa feuille de route

Son dernier ouvrage pèse aussi lourd (1,7 kg) qu'un trajet sans clim avec cagnard et bouchons et pourtant, Thierry Dubois va vous faire aimer la route des vacances. Depuis vingt-cinq ans, cet habitant de La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine) fait partager sa passion pour la mythique route nationale 7, la « route Paris-Méditerranée ». Illustrateur, dessinateur, scénariste, il est la mémoire vivante et active de cet itinéraire un temps délaissé.

Meurtre de Daniela à Meudon-la-Forêt : son compagnon condamné à vingt ans de réclusion
Meurtre de Daniela à Meudon-la-Forêt : son compagnon condamné à vingt ans de réclusion

Le Parisien

time3 days ago

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Meurtre de Daniela à Meudon-la-Forêt : son compagnon condamné à vingt ans de réclusion

C'est en larmes, implorant le pardon de leurs enfants, des parents de la victime et même de celui de « toutes les femmes », que José M. a quitté le box des accusés de la cour d'assises des Hauts-de-Seine, à Nanterre, ce vendredi à la mi-journée, au moment où la cour et les jurés se retiraient pour délibérer. Ils n'ont eu besoin que de quelques heures pour déclarer cet homme de 55 ans coupable du meurtre de celle qui partageait sa vie, tuée à coups de couteau le 1er novembre 2022 , et le condamner à une peine de vingt ans de réclusion criminelle. Soit cinq ans de moins que ce que l'avocat général, Mathis Trouin, avait requis dans la matinée pour ce crime qui « n'est pas un coup de folie », José M. ayant agi, selon le magistrat, « avec détermination ». Revenant sur la scène de meurtre, qui s'est joué dans le huis clos de l'appartement du couple, et sous les yeux du fils de José, 17 ans à l'époque, et de la fille de Daniela, qui n'avait que 10 ans, Mathis Trouin a relevé les « trois versions différentes » du déroulement des faits, celles des deux enfants et celle de José M. Elles ne sont pas très divergentes, mais l'avocat général retient surtout celle de la petite fille, « qui ne ménage pas sa mère, qui dit qu'elle est à l'origine de la dispute et qu'il y a eu des violences réciproques avant les coups de couteau ». « Le contexte est primordial », a développé l'avocat général, rappelant que la veille du crime, sa compagne et la mère de son fils avaient eu des mots au téléphone. Le lendemain, 1er novembre, Daniela a reproché à son compagnon de travailler un jour férié. Puis c'est une partie de jeux à la console vidéo qui l'a mise en colère . José venait de proposer aux enfants de jouer, sa compagne a refusé que sa fille participe. « Vu le conflit depuis la veille, la situation a dégénéré quand, de manière incompréhensible, Monsieur M. a suggéré que la partie de console se fasse dans la chambre de la fillette. » C'est là que la pression est montée très haut, Daniela jetant la console. Les deux se sont écharpés, elle a saisi un vase qu'elle a cassé sur la tête son compagnon et un débris a blessé le fils de José, qui est alors sorti de ses gonds. Il est allé prendre un couteau dans la cuisine et l'a planté à plusieurs reprises dans le thorax de Daniela. « En plusieurs endroits de l'appartement », a insisté l'avocat général, pointant le fait que José n'a pas su reprendre ses esprits et s'arrêter. Tout au long du procès, qui s'est tenu toute la semaine, la personnalité volcanique de la victime a émergé des débats. Le verbe haut, explosive, voire hystérique pour certains. « Je dirais haute en couleurs », nuance Mathis Trouin, soulignant « la relation tumultueuse » du couple, qui avait envisagé la séparation à plusieurs reprises. Et la passivité de José M. qui laissait sa compagne prendre toutes les décisions. Se gardant d'accabler la victime, qui n'aurait jamais dû mourir dans ces conditions, Me Karine Bourdié, qui défend José M. avec Me Clothilde Lepetit, a perçu tout au long de la procédure et de l'audience « une femme qui n'allait pas bien », « une femme si forte et en même temps si fragile ». « Dans la mécanique du drame annoncé, jour après jour, je crois qu'elle n'arrivait plus à gérer le conflit », a-t-elle plaidé. « Elle allait mal. Il allait mal aussi. » Au-delà des relations délétères du couple, Me Bourdié est revenu sur les incertitudes du dossier relatives au déroulement précis des faits, et sur les lacunes de l'instruction. « Pas d'analyse ADN, pas d'expertise, pas de reconstitution ». L'avocat général a aussi déploré les carences de l'instruction. Ce qui n'avait jamais fait de doute, c'est que José a poignardé sa compagne et qu'il l'a « reconnu instantanément », rappelle sa défense. « On l'a retrouvé dehors, hagard, en état de choc, en chaussettes et le couteau à la main, à attendre les secours. » Mes Bourdié et Lepetit lisent dans ce verdict « une décision reconnaissant la souffrance réelle de toutes les parties y compris celle, très authentique, de l'accusé ». Selon les avocates, ces cinq jours d'audience « auront permis de remettre du lien et de dire au premier plan l'enfer vécu par les enfants, leur courage aussi ».

Ossature en bois, toit végétalisé… À Issy, « l'école du futur » conçue pour résister au changement climatique
Ossature en bois, toit végétalisé… À Issy, « l'école du futur » conçue pour résister au changement climatique

Le Parisien

time3 days ago

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Ossature en bois, toit végétalisé… À Issy, « l'école du futur » conçue pour résister au changement climatique

Un gigantesque talus se dresse au cœur de l'agora centrale du quartier des Épinettes , sur les hauteurs d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Si le chantier de construction du nouveau groupe scolaire et du centre socioculturel a débuté en janvier dernier, la première pierre de ce projet d'ampleur, a, elle, officiellement été posée ce mercredi matin. Sous un soleil de plomb, atténué par l'ombre des immeubles d'une vingtaine d'étages d'un quartier qui compte près de 5 000 habitants. Alors que le thermomètre frôlait les 40 °C la veille, avec des écoles fermées dans de nombreuses villes , ce nouveau groupe scolaire, avec ses sept classes de maternelle et ses onze classes élémentaires, est présenté par la ville comme « l'école du futur », à la fois moderne et écologique, autant par sa conception que pour son fonctionnement.

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