Dernières actualités avec #Hugo


Le Figaro
4 days ago
- Entertainment
- Le Figaro
13 livres qu'on a honte de ne pas avoir lus à 50 ans
On les cite, on les offre, parfois même on les critique… sans jamais les avoir lus ! À 50 ans, certains romans mythiques pèsent sur nos étagères comme des rappels silencieux d'un rendez-vous manqué avec la culture... C'est un malaise discret. Une gêne que l'on confesse presque à voix basse, entre deux verres de vin ou au détour d'un dîner cultivé. Un sourire contrit, une rougeur subite et l'aveu tombe : «Je ne l'ai jamais lu, en fait.». À la recherche du temps perdu, Les Misérables, Guerre et Paix… Ces titres totem qui peuplent notre fameuse «Pile À Lire» (PAL), et qui, à 50 ans, semblent murmurer depuis l'étagère : «Et alors, tu comptes t'y mettre quand ?» Cette petite honte de ne pas avoir lu les grands ouvrages à un âge où l'on devrait, semble-t-il, en avoir fait le tour, dit quelque chose de profond de notre rapport à la culture, au temps, à nous-mêmes. Car au fond, de quoi se sent-on coupable exactement ? De notre ignorance ? D'un manque de rigueur ? Ou plus sournoisement encore, de cette image de soi que l'on pensait érudite, et qui vacille ? Marqueur social Lire a longtemps été un marqueur social, un signe de bon goût, de distinction. Déjà au XVIIIe siècle, les cabinets de lecture…


Le Figaro
11-07-2025
- Sport
- Le Figaro
Tour de France : épuisettes, filets et… casier, la nouvelle mode des cibles pour ramener un maximum de goodies
LE SCAN SPORT - À Saint-Malo vendredi matin, tous les moyens étaient bons pour se remplir les poches et les sacs à dos de souvenirs de la caravane. Une épuisette au pied des remparts de Saint-Malo. Quoi de plus normal à quelques mètres de la plage du Sillon, la plus grande de la cité corsaire. Sauf que Paul et Hugo ne sont pas venus pour pêcher de la crevette mais plutôt pour ramasser un maximum de goodies distribués par la caravane du Tour de France vendredi matin avant la septième étape. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Armés de leur filet au bout d'un long manche, le duo a fait un véritable raid au pays de Surcouf. Deux sacs à dos remplis à ras bord alors que le défilé de la caravane vient tout juste de débuter. Des cabas en toile, des bobs en triple, de la lessive, des t-shirts, une montagne de gadgets en en tous genres. « On est là depuis neuf heures. Ça a super bien marché même s'il nous manque encore quelques trucs à attraper. Avec l'épuisette, les caravaniers lancent directement et il n'y a plus qu'à récupérer les cadeaux. On est trop contents !», expliquent-ils plutôt fiers de leur trouvaille. Il faut se battre pour faire une bonne récolte Lucas, un père de famille Publicité Ils ne sont pas les seuls à avoir fait preuve d'ingéniosité dans le décor enchanteur de la côte d'Émeraude baignée par un soleil éclatant. Cette année, les cibles et les épuisettes fleurissent sur le bord des routes du Tour de France pour maximiser les chances d'obtenir des gadgets. Comme Lucas qui a ramené avec ses deux filles… un casier. Un objet de couleur locale. Problème, l'objet et lourd et très encombrant. «Pfffff, elles ont insisté pour que je le prenne. Ça m'amusait hier soir et les gens de la caravane aussi. Ils nous visent mais l'ouverture est trop petite, tout rebondit. C'est un peu l'enfer. Heureusement que les filles ramassent tout. C'est ma première fois sur le tour de France, il faut se battre pour faire une bonne récolte. Les gens se jettent sur n'importe quoi », s'amuse le père au moment ou un bob bleu rebondit sur son piège à crustacés. Une bonne prise. À lire aussi Tour de France: la folie goodies déferle le long des routes Un balai avec un filet de tennis de plage Des cagettes, des sacs-poubelle ou encore de deux manches à balai sur lesquels deux adolescents ont accroché un filet de tennis de plage avec un écriteau : « Vise le filet, vise le filet ». Ils sont des centaines à utiliser la même astuce cette année en tentant de se démarquer le plus possible. « On a copié l'idée en voyant une vidéo sur les réseaux sociaux à Lille», explique Loïc et son petit frère Ilian. « On a fait une razzia, ça marche super bien. On a même eu un gros bidon de lessive. Mais ils ne l'ont pas lancé celui-là, heureusement.»