Dernières actualités avec #Hélène


Le Figaro
3 days ago
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«Je paye la location mais ce sont leurs règles» : entre enfants en bas âge et beaux-parents aux commandes, les étés en Bretagne de Pierre, 32 ans
Pierre loue chaque été une grande maison en Bretagne pour réunir enfants, femme... et beaux-parents. Il organise, anticipe les besoins. Mais une fois sur place, l'autorité change de mains et le père de famille se retrouve encore traité comme un enfant. «Je paye la location mais ce sont leurs règles» : entre enfants en bas âge et beaux-parents aux commandes, les étés en Bretagne de Pierre, 32 ans «Je paye la location mais ce sont leurs règles» : entre enfants en bas âge et beaux-parents aux commandes, les étés en Bretagne de Pierre, 32 ans «Les belles-mères devraient rester à leur place» : les étés en famille de Suzanne, 82 ans et 15 petits-enfants «Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule L'été réunit les générations, pour le meilleur ou pour le pire. Derrière les retrouvailles, les vacances mettent parfois les équilibres familiaux à l'épreuve. Le Figaro donne la parole à ses lecteurs à travers une série de portraits qui racontent, sans détour, comment les liens se resserrent ou se délitent.. L'été réunit les générations, pour le meilleur et parfois pour le pire. Entre retrouvailles joyeuses, plannings millimétrés, tensions éducatives ou vieilles rancunes qui ressurgissent, Le Figaro donne la parole à ses lecteurs. À travers une série de portraits, ils racontent comment les vacances peuvent resserrer ou bousculer les liens familiaux. Sur la terrasse, les adultes en maillot trient les glaçons, ouvrent un rosé bien frais, lancent quelques tranches de courgettes sur la grille. L'été bat son plein, les conversations aussi. Mais derrière les volets entrouverts d'une maison de location, une autre scène connue des jeunes parents se joue : le tunnel du soir. Le front s'ouvre dans la salle de bains. De l'eau partout, des protestations pour sortir, un pyjama qu'on tente d'enfiler comme un costume trop petit. Puis vient le dîner, ou plutôt la négociation : deux haricots contre une cuillère de compote. Ensuite, l'histoire du soir, ou plutôt le marchandage. Pas celle-là. Une autre. Juste la dernière. Puis vient le noir. Le silence. Et parfois, la voix revient : «J'ai soif.» «Un câlin.» «J'ai envie de faire pipi.» Dans cette bataille-là, il ne s'agit pas de gagner, juste d'obtenir une reddition temporaire. Alors, à 20h45, quand Pierre sort enfin de la chambre, les yeux encore floutés par l'obscurité, il pense respirer. Jusqu'à ce que la voix de sa belle-mère le cueille : «Tu sais que le dîner est prêt depuis vingt minutes ?» Il ne répond pas. Il pense très fort : «Oui, bah c'est comme ça.» Pierre, 32 ans, raconte comment il navigue dans cette maison pleine de forts caractères : une belle-mère dans la contradiction automatique au bout de trois jours, des sensibilités qui s'entrechoquent, et ce paradoxe tenace : être père, mais encore traité comme un enfant. D'autant plus troublant que c'est lui qui loue la maison… et qu'eux sont les invités. PLANTER LE DÉCOR. Depuis plusieurs étés, Pierre loue une maison en Bretagne pour réunir famille et belle-famille. Jamais la même, mais toujours…


La Presse
13-07-2025
- Politics
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Gabriel Nadeau-Dubois en trois photos
Le 9 mars 2017, à Montréal, quelques minutes avant l'annonce de mon saut en politique. Prise dans les coulisses de la conférence de presse. Une image vaut mille mots, dit-on. En voici trois, choisies par Gabriel Nadeau-Dubois, qui jettent un éclairage sur son parcours et sa personnalité. L'affection de Manon « Cette photo m'émeut beaucoup. Nous sommes le 9 mars 2017, quelques minutes avant le début de la conférence de presse où j'annoncerai mon saut en politique avec Québec solidaire. C'est une des premières photos de Manon et moi ensemble, une photo qui annonce le début d'une des relations les plus significatives et enrichissantes de mon engagement politique. Elle m'a énormément appris pendant les six ans où nous avons été porte-parole ensemble. Sur cette photo, on se connaît à peine et pourtant, on voit déjà toute l'affection de Manon envers moi. Je me considère comme très chanceux d'avoir pu compter sur elle toutes ces années. » Une pause avec Hélène PHOTO FOURNIE PAR GABRIEL NADEAU-DUBOIS Septembre 2022, dans un restaurant de Trois-Rivières (durant la campagne électorale nationale) « Nous sommes le 9 septembre 2022, en pleine campagne électorale. La caravane solidaire fait un arrêt à Trois-Rivières. Je profite d'une petite pause sur l'heure du dîner pour prendre un petit peu de temps avec Hélène, ma première fille, qui n'a que 5 mois à l'époque. Je ne l'ai pas beaucoup vue pendant les six premiers mois de sa vie. Cette photo me rappelle tous les petits sacrifices que la vie politique exige au quotidien. » Avant de partir… PHOTO FOURNIE PAR GABRIEL NADEAU-DUBOIS Le 20 mars 2025, Montréal, quelques minutes avant l'annonce de son retrait de la politique « Cette photo a été prise quelques minutes avant l'annonce de mon retrait de la vie politique, rue Beaubien à Montréal. Je suis accompagné de ma conjointe, Maëlle, et de mon conseiller politique principal depuis 15 ans, Renaud Poirier St-Pierre. C'est un moment plein de fébrilité, mais plein de confiance. Je sais que je suis en train de prendre une bonne décision, même si elle va bouleverser ma vie et ma famille de manière définitive. »


Le Figaro
13-07-2025
- Entertainment
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«Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule
«Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule «Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule «Ce n'était pas des vacances» : Hélène, mère de deux ados, a dit stop aux étés chez ses parents à La Baule L'été réunit les générations, pour le meilleur ou pour le pire. Derrière les retrouvailles, les vacances mettent parfois les équilibres familiaux à l'épreuve. Le Figaro donne la parole à ses lecteurs à travers une série de portraits qui racontent, sans détour, comment les liens se resserrent ou se délitent.. Pendant des années, Hélène, mère au foyer, a enchaîné les étés entre La Baule et le golfe du Morbihan, chez ses parents puis chez ses beaux-parents. Elle pensait faire au mieux pour ses enfants. Jusqu'au jour où elle a réalisé dit stop. L'été réunit les générations, pour le meilleur et parfois pour le pire. Entre retrouvailles joyeuses, plannings millimétrés, tensions éducatives ou vieilles rancunes qui ressurgissent, Le Figaro donne la parole à ses lecteurs. À travers une série de portraits, ils racontent comment les vacances peuvent resserrer ou bousculer les liens familiaux. Hélène a élevé ses enfants à temps plein pendant vingt ans. Et chaque été, comme les 14 millions de parents en France, elle a dû les occuper pendant les deux mois de vacances scolaires. Plutôt que de rester à Paris, elle a préféré les emmener au bord de la mer, entre la maison de ses parents à La Baule et celle de ses beaux-parents, côté Morbihan. Sur le papier, elle avait tout pour être comblée : deux maisons, un décor idyllique, l'océan, l'école de voile au bout de la rue, les cousins dans les parages. L'embarras du choix, en apparence. En réalité, les vacances ont souvent ressemblé à un marathon. Son mari ayant peu de congés, Hélène s'est retrouvée en première ligne. Elle a enchaîné les semaines entre susceptibilités à ménager, remarques désobligeantes, exigences implicites, et désaccords éducatifs entre frères et sœurs. Avec le temps, elle a vu se creuser un véritable fossé entre les générations. Pendant des années, elle a privilégié les vacances de ses enfants plutôt que de s'imposer. Elle s'est faite discrète, pensant que c'était le prix à payer pour que tout le monde soit heureux. Jusqu'au jour où elle a dit stop. Deux ans plus tard, elle fait partie de nos lecteurs qui ont accepté de raconter leurs étés en famille. Elle revient sur ce qui l'a poussée à tout envoyer valser, et sur ce que cette décision a changé, durablement. Deux maisons, deux ambiances À La Baule, ses parents possèdent…