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Volley - Ligue des Nations : Les Bleues si proches de l'exploit
Volley - Ligue des Nations : Les Bleues si proches de l'exploit

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time4 days ago

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Volley - Ligue des Nations : Les Bleues si proches de l'exploit

Pour leur deuxième match en moins de 24 heures au Japon, l'équipe de France de volley affrontait l'ogre brésilien, médaillé de bronze olympique à Paris. Les coéquipières d'une Héléna Cazaute exceptionnelle en attaque ont mené 2 sets à 1, étaient devant dans le 4ème set, avant que l'expérience de la Seleçao ne fasse la différence jusqu'au tie-break. Les Bleues continuent d'apprendre mais se rapproche du très haut niveau mondial. À voir sur L'Équipe Le replay de France - Bulgarie Le replay de France - Cuba Les Bleus s'imposent face à Cuba Le replay de France - Cuba (set 4) Le replay de France - Cuba (set 3) Le replay de France - Cuba (set 2) Le replay de France - Cuba (set 1) Le replay de France - Bulgarie (Set 4) Le replay de France - Bulgarie (Set 3) Le replay de France - Bulgarie (Set 2) Le replay de France - Bulgarie (Set 1) Full Replay de France - Brésil Full Replay de France - Brésil Le replay de France - Brésil (Set 5) Le replay de France - Brésil (Set 4)

Après trois défaites de rang, les Bleues se reprennent face à la Bulgarie en Ligue des nations
Après trois défaites de rang, les Bleues se reprennent face à la Bulgarie en Ligue des nations

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time5 days ago

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Après trois défaites de rang, les Bleues se reprennent face à la Bulgarie en Ligue des nations

L'équipe de France s'est imposée contre la Bulgarie en quatre manches (25-22, 21-25, 25-17, 25-22), ce vendredi, en Ligue des nations. Leur maintien était déjà assuré mais les Bleues confirment leur statut de nation aux portes du top 8 mondial. Sérieuse de bout en bout, l'équipe de France s'offre une victoire en Ligue des nations au lendemain de sa courte défaite contre le Brésil (2-3). Les Bleues ont dominé la Bulgarie en quatre manches (25-22, 21-25, 25-17, 25-22), ce vendredi à Chiba (Japon). C'est un succès qui illustre leur nouveau statut. Sans flamber, les Bleues ont pris le dessus pour la quatrième fois de rang sur la Bulgarie, 13e de Ligue des nations. Dans le premier set, l'équipe de France a rapidement fait le break (10-6) et ne s'est plus laissée rejoindre, portée par sa capitaine Héléna Cazaute en attaque (7 points dans la première manche) et Amélie Rotar au contre. Les Bleues ont ensuite fait les frais de l'efficacité offensive de la pointue Mikaela Stoyanova, qui a inscrit 8 points dans une seconde manche longtemps accrochée avant de basculer à l'avantage des Bulgares. Déjà deux fois plus de victoires qu'en 2024 Exemplaires, les Tricolores ont vivement réagi en début de troisième manche, menant 8-2 et gérant leur avantage jusqu'à 17-9, avant de voir leurs adversaires revenir à 2 points. Mais Iman Ndiaye s'est chargée de concrétiser l'avance française avec une série de quatre services décisifs. Sur leur lancée, les Bleues ont fait le break d'entrée dans la quatrième manche et n'ont pas lâché leur avantage, malgré les nombreux temps morts utilisés par les Bulgares pour casser le rythme. Portées ce vendredi, comme souvent, par Cazaute et Ndiaye (18 points chacune), ainsi qu'une Eva Elouga très performante au contre, les joueuses du sélectionneur espagnol César Hernandez ont assuré l'essentiel : « On était dans une bonne dynamique après un gros match contre le Brésil, mais on se sentait un peu lourdes, fatiguées musculairement, a confié Amandha Sylves après la rencontre. On sait qu'on peut mieux jouer mais il fallait gagner et ne pas avoir de regrets. » Le maintien déjà assuré, les Bleues signent leur quatrième victoire en Ligue des nations, alors qu'elles n'en comptaient que deux en 2024. Elles remontent provisoirement à la 9e place avant un dernier match contre la Corée du Sud, lanterne rouge de l'élite, dans la nuit de samedi à dimanche (4 heures, heure française).

Les Bleues s'inclinent au tie-break face au Brésil en Ligue des nations
Les Bleues s'inclinent au tie-break face au Brésil en Ligue des nations

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time6 days ago

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Les Bleues s'inclinent au tie-break face au Brésil en Ligue des nations

L'équipe de France a mené deux sets à un face au Brésil mais a craqué au tie-break (15-11) et concédé une deuxième défaite (3-2) lors de la 3e étape de la Ligue des nations, ce jeudi à Chiba (Japon). Insuffisant pour se qualifier pour le Final 8 mais le point pris au classement pourrait assurer le maintien. Elles ont fait trembler le Brésil avant de flancher. L'équipe de France a mené deux sets à un mais n'a pas résisté au rush des médaillées olympiques (3es) de Paris 2024 dans la quatrième manche et dans le tie-break jeudi à Chiba (Japon). Elle s'est inclinée (23-25, 25-21, 17-25, 25-20, 15-11) au terme d'un grand match face à une équipe au complet, vice-championne du monde en 2022, ce qui témoigne de sa progression dans le premier cercle international. Cela n'est pas suffisant pour espérer rentrer dans les huit premières du classement de la Ligue des nations au bout de cette troisième étape. Mais le point pris avec cette défaite au tie-break permet aux coéquipières d'Héléna Cazaute (33 points), 11es, d'avoir un peu de marge sur la 18e place synonyme de relégation au deuxième niveau. Le maintien, objectif premier de cette deuxième campagne de Ligue des nations, pourrait être obtenu plus tard dans la journée si la Corée du Sud s'incline sans prendre de point face au Japon avant les deux derniers matches de la troisième semaine, vendredi face à la Bulgarie (8h30) ou dimanche face aux Coréennes. Un début en trombe Comme la veille face au Japon, les Françaises ont démarré en trombe (10-3) mais cette fois, elles ont maintenu la pression en attaque sur une réception et une défense brésiliennes en difficulté. Si les Nippones avaient refait leur retard et doublé les Bleues en fin de premier set avant de dominer les deux suivants (3-0), cette fois, Cazaute et ses coéquipières sont restées agressives en dépit de la remontée brésilienne (18-17), après avoir concédé un 6-0. Et ont su retrouver une dynamique pour conclure (25-23) après une attaque d'Imane Ndiaye (19 points, 3 aces) sortie par le block. Alors que les Sud-Américaines ont perdu leur pointue Ana Cristina sur une mauvaise réception au sol (genou gauche), les Françaises ont subi la montée en puissance du block adverse, mais ont tenu le choc jusqu'au money-time (19-19) avant de s'incliner (25-21) sur un contre de Diana (14 points dont 9 blocks). Un gros passage au service de Cazaute Pas de quoi décontenancer l'équipe de France, toujours agressive au service et qui allait réaliser autour Cazaute un énorme troisième set. Avec notamment deux aces, dont l'un réussi malgré une longue interruption pour un challenge finalement perdu par le Brésil. Les Bleues ont empoché la troisième manche sur la deuxième de leurs huit balles de set (25-17) après un challenge favorable sur un block touché après une attaque de Ndiaye. La France a continué sur sa lancée dans le quatrième (8-5) mais a payé cher ensuite un coup de sifflet très contesté pour une balle portée de la passeuse Enora Danard Selosse. Elle a concédé un 5-0 quasiment dans la foulée et malgré un retour à un point (20-19) sur la 30e unité de Cazaute s'est inclinée (25-21) sur un service out d'Amandha Sylves. Le tie-break a été fatal aux Bleues, épuisées alors que le Brésil haussait très nettement son niveau défensif autour de la star Gabi et mettait beaucoup de pression au service. Menées 6-1, elles sont revenues à 13-10 mais ne sont pas parvenues à faire douter Gabi (13 points) et ses coéquipières (15-11).

Les Bleues s'inclinent face au Japon en Ligue des nations
Les Bleues s'inclinent face au Japon en Ligue des nations

L'Équipe

time7 days ago

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Les Bleues s'inclinent face au Japon en Ligue des nations

L'équipe de France a cédé en trois sets face aux Japonaises, chez elles à Chiba, ce mercredi en Ligue des nations, après avoir notamment largement mené le premier. Pas de grosse performance pour les Bleues, battues 3-0 (23-25, 16-25, 19-25) par le Japon devant plus de 6000 spectateurs à Chiba, dans la baie de Tokyo, ce mercredi en Ligue des nations. Face à la nation 5e mondiale, l'équipe de France a longuement mené le premier set, avant de céder sur les derniers points. La phase finale s'éloigne mais est encore à la portée des partenaires d'Iman Ndiaye et Fatoumata Fanguedou (4 blocks), meilleures marqueuses des Bleues avec 11 points. Les Françaises, 11es au classement de la compétition à l'entame de cette dernière étape avant le Final 8 (23-27 juillet à Lodz, en Pologne), sont parfaitement entrées dans leur match, tandis que les joueuses du Turc Ferhat Akbas, 5es, semblaient timorées par leur entrée en matière à domicile. Les Bleues menaient 5-0, puis sont parvenues à contenir le retour des partenaires de Yoshino Sato (19 points), sur une série de service de Yukiko Wada (9), pour poursuivre la course en tête. Deux challenges opportunément demandés par Cesar Hernandez leur ont permis de rétablir le score pour mener 20-16. Les Japonaises ont égalisé sur une attaque d'Iman Ndiaye qui a frôlé la mire (21-21), puis a conclu en emportant les deux derniers points, grâce à une attaque touchant la bande du filet, et un contre sur une attaque de la capitaine Héléna Cazaute (4 points en attaque). « On a commencé fort, on a eu des opportunités, et gagner le premier set aurait tout changé. On va utiliser cette frustration sur les matches à venir » Iman Ndiaye Touchée, l'équipe de France s'est trouvée dominée dans le deuxième set, les Japonaises trouvant parfaitement les mains des blockeuses à l'attaque, leur contre lisant aussi bien les attaques bleues. Entrée à la place de Cazaute, Amélie Rotar (5 points) a apporté un peu de hauteur à l'attaque, disputant l'intégralité du troisième acte en compagnie de Nina Stojiljkovic, qui remplaçait Enora Danard-Selosse à la passe. Amandine Giardino, habituelle libéro, a fait quelques apparitions en réception, et Lucille Gicquel (2 points) a secondé Ndiaye en toute fin de rencontre. Sans pouvoir inverser la tendance, malgré une belle résistance jusqu'aux deux-tiers du troisième set (15-16, 16-21). « On a commencé fort, on a eu des opportunités, et gagner le premier set aurait tout changé, a admis Ndiaye au micro de Volleyballworld. On va utiliser cette frustration sur les matches à venir. » Les Françaises ont désormais rendez-vous avec le Brésil, co-leader du classement avec la Pologne et L'Italie, dès jeudi (8h30 heure française, en direct sur L'Équipe live), avant d'affronter la Bulgarie vendredi (8h30), et la Corée du Sud dimanche (4 heures). Avec trois victoires et désormais 6 défaites, elles devront assurer face aux équipes à leur portée (Bulgarie et Corée) pour espérer se qualifier pour le Final 8.

La capitaine Héléna Cazaute booste les Bleues dans la Ligue des nations
La capitaine Héléna Cazaute booste les Bleues dans la Ligue des nations

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time08-07-2025

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La capitaine Héléna Cazaute booste les Bleues dans la Ligue des nations

Opposées au Japon mercredi à Chiba, les Bleues veulent continuer à surprendre dans la Ligue des nations autour de leur leader, Héléna Cazaute, désormais dans le gratin des joueuses mondiales. La patronne a vite repris ses marques. Intégrée lors de la deuxième semaine (18-22 juin) de la Ligue des nations (VNL), Héléna Cazaute s'est illico installée dans la déco relookée de l'équipe de France 2025, son nouveau staff dirigé par l'Espagnol Cesar Hernandez et ses talents émergents, la pointue Iman Ndiaye (23 ans), la libéro Juliette Gelin (23 ans) et la passeuse Enora Danard-Selosse (22 ans), entre autres. De Belgrade, les Bleues, boostées par leur capitaine (23 points de moyenne en quatre matches), ont ramené deux succès face aux Serbes (3-2), championnes du monde 2022 et aux Pays-Bas (3-0) et concédé deux défaites au tie-break, face à l'Allemagne et aux USA. Une série vertueuse face à des cadors de la discipline, inconcevable encore il y a un an lorsque Cazaute et ses coéquipières entraient à tâtons dans le giron international, à la VNL (deux succès en 12 matches) et aux JO 2024 de Paris (trois revers 3-0). « J'ai découvert une nouvelle équipe et je me suis dit : ah ouais, il y a du niveau » Héléna Cazaute, capitaine de l'équipe de France À l'aube de cette dernière semaine à Chiba (Japon) et de quatre matches à enjeu, qui peuvent leur assurer un maintien tranquille, voire leur offrir un strapontin pour le Final 8 (23-27 juillet à Lodz, Pologne), les Françaises (17es au ranking mondial) ont changé de vitesse. « Quand j'ai intégré le groupe à Belgrade, j'ai découvert une nouvelle équipe, un nouveau staff et je me suis dit : ah ouais il y a du niveau ! On fait des entraînements de 2 h 30, tout le monde finit K.-O. Des jeunes sont rentrées dans l'équipe, ont faim et tiennent super bien leur place alors qu'avant, on n'avait pas forcément de banc », constate celle qui, à 27 ans, s'est installée ces deux dernières saisons à Milan parmi le gratin mondial. Elle plongera bientôt dans le bain turc, au Vakif Istanbul, six Ligues des champions remportées depuis 2011, pour lequel elle s'est engagée la saison prochaine, signe la aussi d'un changement de braquet. « À Milan, j'étais bien mais je n'ai rien gagné (une finale en Lega et deux demi-finales de Ligue des champions et de la Coupe du monde des clubs, toutes perdues en 2024-2025 face à Conegliano). J'arrive dans mon prime et je ne voulais pas rater cette opportunité, quand je vois les joueuses qui ont signé à Vakif (notamment la star serbe Tijana Boskovic)... », poursuit la native de Narbonne. « A l'image d'Earvin Ngapeth, elle est imprévisible en attaque » Félix André, assistant coach de l'équipe de France « Héléna se bonifie d'année en année », témoigne Félix André, l'assistant des Bleues, qui a vu débuter toutes les internationales. « Elle apporte deux choses essentielles : un niveau exceptionnel en réception et en défense. Et à l'image d'Earvin Ngapeth, elle est imprévisible en attaque. Elle n'est ni la plus haute ni la plus puissante mais sa palette est hyperlarge. Et surtout, elle diffuse autour, rassure en réception et rend les autres meilleures. » Avec une nouvelle titulaire à la passe, la Mulhousienne Enora Danard-Selosse et l'aérienne Iman Ndiaye en pointe, percutante depuis le début de la campagne, la stabilité et le leadership d'Héléna Cazaute consolident le jeu prôné par Hernandez, plus libéré et audacieux. « Il (l'entraîneur Cesar Hernandez) nous demande de prendre des risques Héléna Cazaute « Il (Hernandez) nous donne pas mal de liberté face à la faute, nous demande de prendre des risques et nous dit que ça finira par payer. Ce n'est pas une manière de fonctionner qu'on connaissait, alors il faut s'y adapter. Mais ça marche pas mal. Contre l'Allemagne, on essaie de prendre les mains et on se fait bloquer 22 fois. Le lendemain, ça allait mieux face aux Serbes », rappelle celle qui a fini fort sa deuxième saison à Milan. Elle a même brillé au Final Four de la Ligue des champions (3e) mais en a payé le prix avec un genou douloureux. Ce qui lui a valu un arrêt forcé et une arrivée différée chez les Bleues. « Après les JO, je me suis fait enlever un petit bout de ménisque et je dois faire une infiltration tous les quatre mois mais maintenant ça va », assure la réceptionneuse-attaquante à l'orée de cet été exigeant ponctué par le Mondial en Thaïlande (22 août-7 septembre), le premier depuis 1974 pour ces Bleues à l'appétit grandissant. Les Bleues ambitieuses au Japon Avec trois victoires (Belgique, Pays-Bas, Serbie) lors des deux premières semaines et une 11e place sur 18 au classement, l'équipe de France aborde l'étape 3 de la Ligue des nations (VNL) mercredi à Chiba (Japon) et ses quatre matches jusqu'à dimanche (Japon, Brésil, Bulgarie, Corée du Sud, en direct sur la plate-forme L'Équipe) avec ambition. Avec une victoire supplémentaire, l'objectif maintien sera validé. Et une place au Final 8 (23-27 juillet à Lodz, Pologne) dans le gotha mondial n'est plus une chimère, même s'il faudra a minima trois succès. « On ne calcule pas, le Japon (5e du classement de la VNL) et le Brésil (3e) sont deux grosses équipes alors que la Bulgarie (13e) et la Corée (17e) sont un peu plus à notre portée. Mais on n'a pas envie de jouer notre maintien ou même la qualification sur le dernier match », glisse Héléna Cazaute, la capitaine des Bleues réduites à 14 joueuses cette semaine, soit probablement l'effectif qui disputera le Mondial en Thaïlande fin août. Seule manque toujours à l'appel Halimatou Bah, encore convalescente après une grosse entorse de la cheville et un double arrachement ligamentaire en finale de la Saforelle Power 6 avec Nantes. La participation au Mondial de la jeune réceptionneuse-attaquante, révélation des deux dernières campagnes internationales, reste très incertaine.

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