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Boxe : le Mexicain Julio Cesar Chavez Jr. arrêté par la police de l'immigration à Los Angeles
Boxe : le Mexicain Julio Cesar Chavez Jr. arrêté par la police de l'immigration à Los Angeles

Le Parisien

time14 hours ago

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Boxe : le Mexicain Julio Cesar Chavez Jr. arrêté par la police de l'immigration à Los Angeles

Une défaite puis une arrestation. Le boxeur Julio Cesar Chavez Jr. , ancien champion du monde et fils du légendaire boxeur Julio Cesar Chavez, a été arrêté mercredi à Los Angeles par des agents de la police de l'immigration (ICE). Samedi dernier, il avait été battu par le YouTubeur devenu boxeur Jake Paul , à l'occasion d'un combat professionnel organisé près de Los Angeles. Dès le 27 juin, les autorités avaient établi qu'il séjournait illégalement aux États-Unis, précise la Sécurité intérieure. Dans un communiqué, les autorités fédérales indiquent que Chavez, 39 ans, est « considéré comme étant affilié au cartel de Sinaloa, qui figure sur la liste des organisations terroristes étrangères ». Chavez, poursuit le département de la Sécurité intérieure, est entré aux États-Unis en 2023 avec un visa de tourisme valide jusqu'en février 2024. Début avril 2024, il a déposé une demande de carte de résident permanent à la suite de son mariage avec une citoyenne américaine. Celle-ci « est liée au cartel de Sinaloa du fait d'une relation passée avec le fils aujourd'hui décédé du tristement célèbre chef du cartel Joaquin El Chapo Guzman ». Le Service fédéral de la citoyenneté et de l'immigration (USCIS) a alors saisi la police de l'immigration au motif que le boxeur constituait une « menace flagrante contre la sécurité publique », poursuit le département de la Sécurité intérieure. Mais les autorités fédérales, alors placées sous la responsabilité de Joe Biden, le prédécesseur de Donald Trump à la présidence des États-Unis, « ont estimé que Chavez n'était pas une priorité de la police de l'immigration ». Le boxeur a été autorisé à revenir sur le territoire des États-Unis le 4 janvier dernier. La carrière de l'ancien champion du monde WBC des poids moyens est en perte de vitesse. Lors de son dernier combat, samedi dernier à Anaheim, en Californie, Chavez a été nettement battu par Jake Paul. Donald Trump a fait de l'expulsion des immigrés clandestins une priorité de son deuxième mandat.

Floride : Washington déploie 200 marines pour aider la police anti-immigration
Floride : Washington déploie 200 marines pour aider la police anti-immigration

Le Figaro

time15 hours ago

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Floride : Washington déploie 200 marines pour aider la police anti-immigration

Washington a commencé ce jeudi le déploiement de 200 marines en Floride pour apporter un soutien administratif et logistique aux raids anti-migrants de la police fédérale de l'immigration (ICE) menés dans cet État américain, a annoncé l'armée. Ce déploiement est le premier d'une série sollicitée par le ministère de la Sécurité intérieure pour aider l'ICE à mettre en œuvre la politique du président Donald Trump en matière de lutte contre l'immigration. Le ministre de la Défense Pete Hegseth a approuvé la mobilisation de près de 700 soldats et des déploiements au Texas et en Louisiane, dans le sud des États-Unis, selon des responsables. «Environ 200 marines (...) sont en mouvement vers la Floride» pour soutenir l'ICE, a annoncé le commandement Nord des États-Unis dans un communiqué. Publicité «Les membres des forces armées participant à cette mission réaliseront des tâches strictement autres que celles relatives au maintien de l'ordre», c'est-à-dire «administratives et logistiques», et «ils (auront) l'interdiction spécifique d'entrer en contact direct avec les individus placés en détention provisoire par l'ICE», de même source. Ces marines resteront par ailleurs «dans les locaux de l'ICE». Plus tôt cette semaine, Donald Trump a visité un nouveau centre de rétention de Floride surnommé l'«Alcatraz des alligators» tant par la Maison-Blanche que les autorités locales. Il peut accueillir jusqu'à 1000 personnes. En juin le dirigeant républicain avait envoyé 4000 membres de la Garde nationale et 700 marines à Los Angeles, en réponse à des manifestations contre les raids de l'ICE dans l'agglomération californienne (ouest). Des responsables locaux avaient critiqué le recours à l'armée décidé par Donald Trump, jugé nécessaire par le président américain pour protéger les bâtiments et membres de services fédéraux.

Floride: Des marines déployés pour aider la police anti-immigration
Floride: Des marines déployés pour aider la police anti-immigration

24 Heures

time17 hours ago

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Floride: Des marines déployés pour aider la police anti-immigration

Le gouvernement américain a commencé ce jeudi le déploiement de 200 marines en Floride pour aider la police fédérale de l'immigration. Publié aujourd'hui à 05h37 Mis à jour il y a 8 minutes Des agents de l'Immigration and Customs Enforcement (ICE) et du FBI arrêtent un immigrant après une audience au tribunal à Stamford, Connecticut, le 3 juillet 2025. Getty Images via AFP Washington a commencé jeudi le déploiement de 200 marines en Floride pour apporter un soutien administratif et logistique aux raids anti-migrants de la police fédérale de l'immigration (ICE) menés dans cet Etat américain, a annoncé l'armée. Ce déploiement est le premier d'une série sollicitée par le ministère de la Sécurité intérieure pour aider l'ICE à mettre en œuvre la politique du président Donald Trump en matière de lutte contre l'immigration. Le ministre de la Défense Pete Hegseth a approuvé la mobilisation de près de 700 soldats et des déploiements au Texas et en Louisiane, dans le sud des États-Unis, selon des responsables. Des tâches «administratives et logistiques» «Environ 200 marines […] sont en mouvement vers la Floride» pour soutenir l'ICE, a annoncé le commandement Nord des États-Unis dans un communiqué. «Les membres des forces armées participant à cette mission réaliseront des tâches strictement autres que celles relatives au maintien de l'ordre», c'est-à-dire «administratives et logistiques», et «ils (auront) l'interdiction spécifique d'entrer en contact direct avec les individus placés en détention provisoire par l'ICE», de même source. Ces marines resteront par ailleurs «dans les locaux de l'ICE». L'«Alcatraz des alligators» Plus tôt cette semaine, Donald Trump a visité un nouveau centre de rétention de Floride surnommé l'«Alcatraz des alligators» tant par la Maison-Blanche que les autorités locales. Il peut accueillir jusqu'à 1000 personnes. En juin le dirigeant républicain avait envoyé 4000 membres de la Garde nationale et 700 marines à Los Angeles, en réponse à des manifestations contre les raids de l'ICE dans l'agglomération californienne (ouest). Des responsables locaux avaient critiqué le recours à l'armée décidé par Donald Trump, jugé nécessaire par le président américain pour protéger les bâtiments et membres de services fédéraux. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Washington déploie 200 marines pour aider la police anti-immigration
Washington déploie 200 marines pour aider la police anti-immigration

La Presse

time18 hours ago

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Washington déploie 200 marines pour aider la police anti-immigration

En juin Donald Trump avait envoyé 4000 membres de la Garde nationale et 700 marines à Los Angeles, en réponse à des manifestations contre les raids de l'ICE dans l'agglomération californienne. (Washington) Washington a commencé jeudi le déploiement de 200 marines en Floride pour apporter un soutien administratif et logistique aux raids anti-migrants de la police fédérale de l'immigration (ICE) menés dans cet État américain, a annoncé l'armée. Agence France-Presse Ce déploiement est le premier d'une série sollicitée par le département de la Sécurité intérieure pour aider l'ICE à mettre en œuvre la politique du président Donald Trump en matière de lutte contre l'immigration. Le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a approuvé la mobilisation de près de 700 soldats et des déploiements au Texas et en Louisiane, dans le sud des États-Unis, selon des responsables. « Environ 200 marines […] sont en mouvement vers la Floride » pour soutenir l'ICE, a annoncé le commandement Nord des États-Unis dans un communiqué. « Les membres des forces armées participant à cette mission réaliseront des tâches strictement autres que celles relatives au maintien de l'ordre », c'est-à-dire « administratives et logistiques », et « ils (auront) l'interdiction spécifique d'entrer en contact direct avec les individus placés en détention provisoire par l'ICE », de même source. Ces marines resteront par ailleurs « dans les locaux de l'ICE ». Plus tôt cette semaine, Donald Trump a visité un nouveau centre de rétention de Floride surnommé l'« Alcatraz des alligators » tant par la Maison-Blanche que par les autorités locales. Il peut accueillir jusqu'à 1000 personnes. En juin le dirigeant républicain avait envoyé 4000 membres de la Garde nationale et 700 marines à Los Angeles, en réponse à des manifestations contre les raids de l'ICE dans l'agglomération californienne. Des responsables locaux avaient critiqué le recours à l'armée décidé par Donald Trump, jugé nécessaire par le président américain pour protéger les bâtiments et membres de services fédéraux.

La Cour suprême américaine autorise les expulsions au Soudan du Sud
La Cour suprême américaine autorise les expulsions au Soudan du Sud

La Presse

time21 hours ago

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La Cour suprême américaine autorise les expulsions au Soudan du Sud

Des migrants détenus par l'ICE montent à bord d'un avion à l'aéroport international de Gary après avoir été transférés d'un centre de détention en Indiana, aux États-Unis, le 20 juin 2025. (Washington) Jeudi, la Cour suprême a autorisé l'expulsion de plusieurs immigrants – qui n'ont aucun lien avec le Soudan du Sud – à être déportés vers ce pays ravagé par la guerre. Lindsay Whitehurst Associated Press Cette décision fait suite à la décision de la majorité conservatrice de la Cour, qui a statué que les agents de l'immigration peuvent rapidement expulser des personnes vers des pays tiers. La majorité a suspendu une ordonnance qui permettait aux immigrants de contester toute expulsion vers des pays extérieurs à leur pays d'origine où ils pourraient être en danger. La dernière ordonnance de la Cour précise que le vol du mois de mai à destination du Soudan du Sud sur lequel se trouvaient les migrants peut terminer son voyage, plusieurs semaines après avoir été dérouté vers une base navale de Djibouti. Les passagers y étaient détenus dans un conteneur maritime aménagé. Elle annule les conclusions du juge fédéral Brian Murphy du Massachusetts, qui a déclaré que son ordonnance concernant ces migrants était toujours valable même après que la Haute Cour a annulé sa décision plus large. La majorité a écrit que sa décision du 23 juin annulait complètement la décision de M. Murphy et rendait également sa décision concernant le vol au Soudan du Sud « inapplicable ». La Cour n'a pas détaillé son raisonnement juridique sur l'affaire sous-jacente, comme c'est souvent le cas dans les affaires urgentes. Deux juges progressistes, Sonia Sotomayor et Ketanji Brown Jackson, ont exprimé leur désaccord, affirmant que la décision accordait un traitement de faveur au gouvernement. « Les autres plaideurs doivent suivre les règles, mais l'administration a la Cour suprême à portée de main », a écrit la juge Sotomayor. La juge Elena Kagan a écrit que, bien qu'elle soit en désaccord avec l'ordonnance initiale, celle-ci annule les conclusions de M. Murphy sur le vol au Soudan du Sud. Les avocats des huit migrants ont déclaré qu'ils risquaient « l'emprisonnement, la torture, voire la mort » s'ils étaient renvoyés au Soudan du Sud, où l'escalade des tensions politiques menace de dégénérer en une nouvelle guerre civile. « Nous savons qu'ils seront confrontés à des conditions dangereuses, voire à une détention immédiate, dès leur arrivée », a déclaré jeudi Trina Realmuto, directrice exécutive de la National Immigration Litigation Alliance. Cette décision intervient dans un contexte de vaste répression de l'immigration menée par l'administration républicaine, qui s'est engagée à expulser des millions de personnes vivant illégalement aux États-Unis. L'administration Trump a qualifié les conclusions de M. Murphy d'« acte de défiance ». La Maison-Blanche et le département de la Sécurité intérieure n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires. Les autorités ont conclu des accords avec d'autres pays pour héberger les immigrants si elles ne peuvent pas les renvoyer rapidement dans leur pays d'origine. Les huit hommes envoyés au Soudan du Sud en mai avaient été condamnés pour des crimes graves aux États-Unis et avaient fait l'objet d'un ordre définitif d'expulsion. Le juge Murphy, nommé par le président démocrate Joe Biden, n'a pas interdit les expulsions vers des pays tiers. Il a toutefois estimé que les migrants doivent avoir une réelle possibilité de faire valoir qu'ils risquent d'être torturés s'ils sont renvoyés dans un autre pays, même s'ils ont déjà épuisé leurs recours légaux. Les hommes et leurs gardes ont été confrontés à des conditions difficiles sur la base navale de Djibouti, où les autorités ont détourné le vol après que M. Murphy a constaté que l'administration avait violé son ordre en ne leur laissant pas la possibilité de contester l'expulsion. Ils ont depuis exprimé leur crainte d'être renvoyés au Soudan du Sud, a expliqué Mme Realmuto.

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