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Baignade dans la Seine à Paris : qu'est-ce que cette bouée jaune qui flotte près des nageurs ?
Baignade dans la Seine à Paris : qu'est-ce que cette bouée jaune qui flotte près des nageurs ?

Le Parisien

timea day ago

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Baignade dans la Seine à Paris : qu'est-ce que cette bouée jaune qui flotte près des nageurs ?

Le jaune sera-t-il la couleur tendance de l'été ? Après les athlètes des JO-2024 , le grand public peut renouer depuis ce samedi, sous étroite surveillance, avec les joies de la baignade dans la Seine en plein cœur de Paris, plus d'un siècle après son interdiction. À condition de porter, à titre de sécurité, un flotteur jaune et ce quel que soit son niveau de nage. « Ce n'est pas pratique ces bouées au début, mais on comprend qu'elles sont utiles et nécessaires », reconnaît Corentin, un étudiant qui a inauguré le site de Bercy (XIIe), auprès du Parisien. Ouvert à 11h00, le bassin, clos et équipé de transats et de parasols, a rapidement été pris d'assaut par un public hétéroclite. Avant de sauter le pas, chaque nageur sans exception a donc dû s'équiper pour sa sécurité d'un flotteur jaune attaché à la taille, « C'est vrai que cela ne fait pas très chic, mais bon », souffle une baigneuse du site de Grenelle (XVe), qui restera lui aussi accessible gratuitement uniquement aux personnes sachant nager, jusqu'au 31 août si la météo le permet. Avant de descendre les marches menant à une eau translucide, les nageurs s'équipaient ce matin sous le regard attentif d'une dizaine de surveillants de baignade en T-shirts jaune fluo et shorts rouge vif, assortis à leur sifflet. Auprès de notre journal, la ville de Paris évoque des « questions de sécurité, afin de permettre une meilleure surveillance des maîtres nageurs sauveteurs ». Prêtés par la municipalité, les flotteurs sont à rendre « en bon état ». Des bateaux pneumatiques de la préfecture de police de Paris postés autour du périmètre de sécurité entourant les nageurs complétaient le dispositif de sécurité. Cette première journée de baignade autorisée dans la Seine, où celle-ci était interdite depuis 1923, avait débuté dès 08h00 depuis le ponton aménagé sur le bras Marie, face à l'île Saint-Louis. Ce troisième site peut accueillir 150 personnes en simultané, Bercy jusqu'à 700, dont 300 en zone de baignade. Grenelle, seul site à disposer d'un bassin sécurisé pour les familles avec un fond, a lui une capacité de 200 personnes à la fois.

Richardson de retour, Thompson pour confirmer, Habz dans une autre dimension : plateau de gala pour le 50e anniversaire du Prefontaine Classic
Richardson de retour, Thompson pour confirmer, Habz dans une autre dimension : plateau de gala pour le 50e anniversaire du Prefontaine Classic

L'Équipe

timea day ago

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Richardson de retour, Thompson pour confirmer, Habz dans une autre dimension : plateau de gala pour le 50e anniversaire du Prefontaine Classic

Les trois médaillées du 100 m femmes des JO de Paris Julien Alfred, Sha'Carri Richardson et Melissa Jefferson-Wooden se retrouvent au Hayward Field, où le 50e anniversaire du Prefontaine Classic à Eugene réunit un plateau remarquable. Pour sa seule incursion aux États-Unis, la Ligue de diamant retrouve samedi l'écrin du Hayward Field, à Eugene (Oregon), haut lieu de l'athlétisme US, au coeur du somptueux campus de la ville. C'est aussi le 50e anniversaire du Prefontaine Classic, meeting ainsi baptisé en hommage à l'idole locale, Steve Prefontaine, 4e du 5 000 m des JO en 1972 et mort dans un accident de voiture à Eugene en 1975. Comme chaque année, le plateau réuni par les organisateurs est tout à fait remarquable. Dans un mois auront lieu, toujours à Eugene (31 juillet-3 août), les sélections américaines pour les Mondiaux de Tokyo (13-21 septembre), et il sera intéressant de juger l'état de forme des nombreux prétendants US au voyage. 100 m femmes : l'inconnue Richardson Personne n'a oublié le sacre olympique de Julien Alfred au Stade de France. La sprinteuse de Sainte-Lucie, jusqu'alors connue des seuls aficionados, s'est révélée en mondovision en l'emportant en 10''72 devant l'Américaine Sha'Carri Richardson, championne du monde en 2023 et grande favorite aux JO, et une autre Américaine, Melissa Jefferson-Wooden, qui s'entraîne avec Richardson sous les ordres de Dennis Mitchell. Eugene a réussi à rassembler ce trio pour leurs premières retrouvailles depuis la finale olympique. Visiblement capable de digérer son nouveau statut et les sollicitations qui vont avec, Alfred a réussi un excellent début de saison, tant sur 200 m (21''88 à la mi-avril, meilleure performance mondiale) que sur la ligne droite : deux victoires à Oslo (10''89) puis Stockholm (10''75) en Ligue de diamant en juin. De son côté, Richardson n'a couru qu'une seule fois depuis le 1er janvier : pas de saison en salle, et donc une unique apparition, mi-mai lors du meeting de Tokyo, avec une 4e place sur 100 m en 11''47, son pire chrono en 4 ans. Inquiétant ? Peu significatif à ce stade de la saison ? Difficile à dire tant la Texane reste imprévisible. Chaque jour à l'entraînement, elle peut en tout cas mesurer la constance de Melissa Jefferson-Wooden. La médaillée de bronze de Paris possède la meilleure performance mondiale de l'année, en 10''73, réussie lors de l'étape du Grand Slam Track à Philadelphie début juin, et a remporté ses trois 100 m disputés en 2025. Sur la piste du Hayward Field, on suivra aussi de près les jumelles jamaïquaines de 20 ans, Tina et Tia Clayton. Tina vient de remporter le week-end dernier à Kingston les Championnats nationaux en 10''81, où sa soeur avait couru en 10''86 en demi-finales avant d'abandonner en finale en raison d'une gêne musculaire. 100 m hommes : l'épouvantail Thompson Aussi impressionnant sur le tartan que placide en dehors, Kishane Thompson avait explosé l'an passé, passant en quelques semaines du statut de grand d'espoir jamaïquain à celui de vice-champion olympique, battu pour seulement cinq millièmes par Noah Lyles au Stade de France. On a retrouvé sa puissance phénoménale la semaine passée à Kingston, où l'élève des frères Francis au MVP Track Club a remporté les Championnats nationaux en 9''75 (meilleure performance mondiale, meilleur chrono depuis dix ans), devenant ainsi le 6e homme le plus rapide de l'histoire sur 100 m. Sur sa lancée, il sera l'incontestable favori dans l'Oregon, où le Botswanais Letsile Tebogo a préféré courir sur 200 m, mais où Trayvon Bromell tentera de confirmer son retour au premier plan. Après deux années gâchées par les blessures, l'Américain a étonné en coupant la ligne en 9''84 à Rome le mois dernier, son meilleur chrono sous les 10 secondes depuis 2022. Christian Coleman, le champion du monde 2019, sera l'une des autres têtes d'affiche d'une course privée de Lyles. Athlète Adidas, le champion olympique n'est pas vraiment un habitué du Prefontaine Classic appuyé massivement par Nike, mais il est surtout perturbé par une blessure à une cheville et n'a pas couru depuis un 400 m le 19 avril. Sa rentrée est annoncée pour le 19 juillet à Londres. Mile : Habz dans un autre monde Épatant vainqueur du 1 500 m du meeting de Charléty le 20 juin en 3'27''49 sous les acclamations du public parisien, Azeddine Habz est devenu le même soir recordman de France, effaçant les 3'28''98 de Mehdi Baala (2003), et surtout sixième performeur de l'histoire. Lui-même n'en revenait pas, et le voici désormais dans une autre dimension, du moins chronométrique. Avec son nouveau statut, l'athlète entraîné par Philippe Dupont est un postulant crédible à une médaille aux Mondiaux, même si la densité de la concurrence sur 1 500 m est impressionnante. Sur la piste d'Eugene, mais lors du traditionnel mile du Prefontaine Classic, Habz affrontera d'ailleurs aujourd'hui plusieurs de ses rivaux potentiels à Tokyo : les Américains Cole Hocker (champion olympique à Paris) et Yared Nuguse, le Kenyan Timothy Cheruiyot ou le Britannique Jake Wightman. Et son record de France en extérieur, qu'il détient depuis 2023 et ses 3'48''64 signés à... Eugene, pourrait bien prendre une belle claque.

Le bob emblématique des JO de Paris 2024 a donné des envies au Tour de France 2025
Le bob emblématique des JO de Paris 2024 a donné des envies au Tour de France 2025

Le HuffPost France

time2 days ago

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Le bob emblématique des JO de Paris 2024 a donné des envies au Tour de France 2025

SPORT - Comme un parfum de Paris 2024. À Lille, ce jeudi 3 juillet, les coureurs engagés sur le Tour de France 2025 ont participé − tradition oblige − à la présentation des équipes qui composeront le peloton de ce samedi au 27 juillet prochain. Lors de cet événement à la veille de la première étape dans la cité lilloise, les plus fins observateurs présents dans le public auront forcément remarqué un détail porté par presque chaque cycliste. Un simple bob, dont l'utilisation pourrait s'expliquer par la présence du soleil et d'une chaleur intense dans le Nord. Mais la véritable explication est à trouver ailleurs, puisqu'il s'agit du bob officiel du Tour de France 2025 qui, comme l'explique Le Figaro, a été distribué à toutes les équipes avant cette cérémonie organisée devant plus de 40 000 personnes. Détail important : ce couvre-chef se distingue par son design faisant référence aux différents maillots distinctifs, remis à chaque fin d'étape. Jaune, vert, blanc et blanc à pois rouge. Un clin d'œil discret mais qui fait son petit effet auprès des fans de la Grande Boucle. Portant le numéro 1 cette année encore, le Slovène Tadej Pogacar était le premier à arborer ce couvre-chef singulier. Qu'il s'est d'ailleurs permis d'envoyer dans la foule lors de sa présentation officielle en tant que dernier vainqueur du Tour de France. Cette 112e édition du Tour de France semble avoir puisé autant que possible dans le succès des JO de Paris 2024. L'instauration d'une dernière étape dans la capitale passant par la Butte Montmartre sonne comme un rappel de l'épreuve de cyclisme sur route des Jeux. Et il en va de même pour les bobs du Tour, clairement inspirés du succès populaire de ceux des JO. L'héritage (inattendu) des Jeux de Paris 2024 Souvenez-vous, durant les Jeux olympiques de Paris 2024, les 45 000 volontaires mobilisés avaient reçu une tenue complète aux couleurs des Jeux. Une tenue au sein de laquelle se trouvait un bob estampillé « Paris 2024 » qui avait fait de très nombreux jaloux parmi les amateurs de sports et spectateurs de l'événement. Certains s'arrachaient même à prix d'or sur les sites de revente comme Leboncoin ou Vinted. Avant que l'organisation des JO décide de le commercialiser pour répondre à une demande inattendue pour ce simple couvre-chef rose, jaune et bleu foncé de la marque Decathlon. Avec son propre bob « Tour de France 2025 », l'organisation de la Grande Boucle semble avoir senti le bon filon, quitte à dire adieu à d'autres couvre-chefs emblématiques de la reine des courses cyclistes : le célèbre bob Cochonou ou la casquette de cycliste aux couleurs du maillot du meilleur grimpeur.

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