Dernières actualités avec #JacquesLegros
Le Figaro
4 days ago
- Entertainment
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Cette légendaire villa à l'abandon cherche désespérément son sauveur
Une élégante endormie depuis 176 ans va-t-elle enfin se réveiller ? Une villa centenaire de Soulac-sur-Mer (33) cherche un nouveau propriétaire. Enfouie derrière les pins, à l'abandon depuis près de 20 ans, La Roseraie a traversé plus d'un siècle et demi d'histoires sans jamais s'effondrer. Elle a vu le jour en 1849 grâce à un boulanger visionnaire. Antoine Trouche acquiert un terrain sablonneux sur l'actuelle route de l'Amélie, au bord du golfe de Gascogne. À l'époque, Soulac n'était qu'un modeste village de cabanes. Cet artisan avait fait ériger une maison de briques et de pierre mêlées. Une première dans cette région où le bois prédomine encore. Au fil des décennies, la demeure s'agrandit et se pare des caractéristiques des résidences balnéaires de la Belle Époque : briques rouges, pierres de taille, loggias, tourelles... Et adopte un nom floral dans la pure tradition des refuges estivaux. Refuge de célébrités Dans les années 60, la villa change de visage et devient le cœur d'un village de bungalows qui accueille des vacanciers, dans l'esprit des colonies. Et ce, jusqu'en 2006. Puis vient le temps du repli. Les bungalows sont détruits dans le cadre d'un projet de lotissement finalement inabouti. La villa reste debout mais désertée. Aujourd'hui, La Roseraie tente de renaître dans une commune où l'acteur Jean Dujardin, l'animateur de télévision Denis Brogniart, la chroniqueuse de télévision Mademoiselle Agnès, l'ancien présentateur du JT de TF1 Jacques Legros ou encore les actrices Cécile de France, Claire Borotra et Aure Atika, aiment se réfugier. Le 29 septembre à 14 heures, la propriété d'environ 250 m² - sur deux niveaux et une tour - campée sur un terrain de 1374 m² sera mise aux enchères. Prix de départ ? 395.000 euros. « Le bien nécessite une rénovation complète. Toute opération de réhabilitation ou de réaffectation devra être conforme à la réglementation d'urbanisme en vigueur », prévient Me Johann Ben Assaya-Jolis, notaire à Pauillac (33250), notaire en charge de la vente aux enchères. La villa du 19e siècle a traversé l'histoire et les usages. Crédit Photo : Notaires Pauillac Les candidats intéressés pour la racheter pourront visiter la Roseraie le mercredi 6 août de 10 heures à 11h30 et/ou le vendredi 5 septembre de 11 heures à 12h30. Les offres, qui devront être augmentées d'au moins 10.000 euros à chaque surenchère, pourront être déposées entre le lundi 29 septembre à 14 heures et le mardi 30 à 14 heures. « À l'issue de cette période, le vendeur reste libre d'accepter ou pas l'offre la plus élevée », précise la notaire. La Roseraie trouvera-t-elle son sauveur ? Crédit Photo : Notaires Pauillac Un dernier détail et non des moindres : la demeure centenaire est située à 400 mètres de la plage. Une précision censée faire plaisir aux potentiels acheteurs. Mais nous sommes à Soulac-sur-mer. Et cette commune est le symbole de l'érosion côtière qui menace l'attractivité immobilière. L'immeuble Le Signal, placé sur l'avant-dune, a été érigé à 200 mètres de la mer lors de sa construction en 1967 et ne se trouve désormais plus qu'à 20 mètres de l'océan à la suite de tempêtes hivernales. «La propriété est entièrement en dehors du risque d'érosion côtière», assure au Figaro Sabine Bajard, responsable des services immobiliers d'ADNOV, structure du notariat dédiée à l'immobilier.
Le Parisien
14-07-2025
- Entertainment
- Le Parisien
Alors, elle était comment la première d'Isabelle Ithurburu au 13 Heures de TF 1 ?
« Bienvenue dans votre journal, je suis très heureuse de rejoindre l'équipe du 13 Heures et de vous accompagner tout l'été. » Élégant tailleur blanc estival, franc sourire en bandoulière, Isabelle Ithurburu a ouvert le plus simplement du monde, ce lundi, le nouveau chapitre de sa carrière en présentant son premier JT du 13 Heures de TF 1. Nouvelle joker, la journaliste de 42 ans remplace Jacques Legros après 25 ans de bons et loyaux services. Pour son baptême du feu, l'actualité ne manquait pas, notamment avec la mort de Thierry Ardisson . Mais si les premiers mots de la nouvelle présentatrice sont pour cette figure de la télévision française - « nous reviendrons sur ses 40 ans de carrière dans ce journal », elle reste dans un premier temps accrochée au fil de son édition, ouvrant le journal, après une première parenthèse météo, sur les 100 ans du Bleuet de France, dont Isabelle Ithurburu porte pour l'occasion l'insigne floral sur sa veste. En ce 14 juillet, la Fondation qui entretient la mémoire des anciens combattants était mise à l'honneur lors du défilé avec une chanson entonnée par deux anciens gendarmes et composée par « Monsieur Jean-Jacques Goldman, sorti exceptionnellement de sa retraite pour écrire un titre inédit en hommage à nos blessés de guerre, aux victimes du terrorisme et pupilles de la nation ». Ainsi symboliquement placée sous le haut patronage de « la personnalité préférée des Français », Isabelle Ithurburu déroule le début de son JT sans encombre. Pétillante et souriante. Puis se fait plus grave au moment d'évoquer la disparition de l'animateur de « Tout le monde en parle » . La langue fourche au moment de parler des « slogans » publicitaires d'Ardisson, mais pas de quoi la faire sortir de ses rails. Ardisson ? Une figure historique de la Deux, mais mariée à Audrey Crespo-Mara , présentatrice des JT de TF 1 le week-end. Pour l'occasion, Isabelle Ithurburu dévoile quelques images inédites du documentaire sur Ardisson que sa femme était en train de préparer ces derniers mois. « Il n'y a rien de pire que de juger le passé avec les yeux du présent, ça s'appelle un anachronisme », autorépond de manière posthume l'animateur, décédé à 76 ans, aux accusations de méthodes « limites » employées dans certaines de ses anciennes émissions. Et Isabelle Ithurburu de citer les mots de « son épouse, notre consœur et amie Audrey Crespo-Mara » recueillis par l'AFP concernant l'hommage à son mari. « Au nom du groupe TF 1, nous adressons toutes nos condoléances et nos pensées à sa famille », a ajouté la nouvelle présentatrice du JT, native de Pau (Pyrénées-Atlantiques). Pas de révolution copernicienne. Cette première se déroule sans accrocs. Un stylo-bille au bout des doigts, ses fiches manipulées un brin machinalement comme pour dompter son stress et savoir comment occuper ses mains, l'ancienne journaliste de sport, spécialiste de ballon ovale, retrouve son sourire à mesure que les sujets deviennent de plus en plus légers. Au final, des débuts sobres et élégants, entre actualité chaude et « marronniers » (sujets qui reviennent à chaque période de l'année) du 14 juillet. Ne reste plus qu'à transformer l'essai.
Le Figaro
13-07-2025
- Entertainment
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«Ce qui a été le plus complexe...» : Isabelle Ithurburu sur les coulisses de son arrivée au «13 heures» de TF1
VIDÉO - Celle qui est également la présentatrice de «50' inside» prendra les commandes du rendez-vous de la mi-journée de la Une, dès ce lundi 14 juillet. Cette année, la Fête Nationale marque l'arrivée d'Isabelle Ithurburu comme joker de Marie-Sophie Lacarrau à la présentation du «13 heures» de TF1. La journaliste avait été annoncée en mars dernier comme successeure de Jacques Legros, qui tirait sa révérence après 27 ans de bons et loyaux services. Ce dimanche 13 juillet, la femme de télévision s'est confiée sur cette nouvelle aventure cathodique auprès de Télé-Loisirs. Isabelle Ithurburu évoque notamment le conseil que son prédécesseur et la titulaire du «13 heures» Marie-Sophie Lacarrau lui ont donné. «Ne pas perdre de temps ! C'était ma crainte et tous les deux ne m'ont parlé que de ça», assure-t-elle. «Ne pas papillonner. Jacques Legros, beaucoup plus méthodique, m'a carrément dit qu'il fallait que je sache où j'en étais à chaque heure (en amont du journal, NDLR). Ça va super vite, de 7h à 13h et il y a tellement de réunions.» À lire aussi Marie-Sophie Lacarrau et Isabelle Ithurburu : «Nous partageons les mêmes préoccupations que les Français» Publicité Ses deux mentors lui ont également donné conseil sur le ton qu'elle adoptera en s'adressant aux téléspectateurs : «Ils m'ont dit de rester naturelle et m'ont confirmé qu'il ne fallait pas que j'essaie de ressembler à une présentatrice de JT. Dans mon premier test, j'avais l'impression qu'il fallait que j'en fasse des caisses !» À voir aussi - «On ne m'a jamais fait venir à TF1 pour reprendre 'Koh-Lanta'» : Isabelle Ithurburu dément les rumeurs d'arrivée dans le jeu d'aventures Dans un article du Parisien, également paru ce dimanche 13 juillet, la femme de 42 ans révèle un peu plus de son ressenti en amont de son premier Journal Télévisé. «Ce n'était pas dans mon plan de carrière, c'était assez flou jusqu'ici mais depuis quelques jours, j'ai juste hâte que cela arrive», leur livre-t-elle. «Je vais essayer de souffler après ces cinq semaines mais je vais vite enchaîner sur la Coupe du monde féminine de rugby, la nouvelle saison de '50′ Inside…'» « Je vais rester moi-même. » Isabelle Ithurburu Et de partager une anecdote sur les JT de préparation qu'elle enchaîne dans la tour de TF1. «Ils m'ont fait le coup d'un changement total de conducteur cinq minutes avant la prise d'antenne, en intégrant un décès important», relate Isabelle Ithurburu. «Ce qui a été le plus complexe, c'est un sujet qui se coupe avant la fin. La caméra est revenue sur moi et j'ai eu un petit rictus, qu'il ne faut pas que j'aie.» Le 3 juillet dernier, le TV Magazine avait réuni Marie-Sophie Lacarrau et Isabelle Ithurburu pour un entretien croisé. Au cours de ce dernier, la nouvelle joker du «13 heures» de TF1 avait confié son appréhension. «Je sais que le 14 juillet, je vais être débordée par la pression et la peur, la responsabilité est grande, on parle à beaucoup de personnes et de sujets importants. Donc j'essaie de voir ce que je peux contrôler – ou pas – avant de prendre tous les conseils que l'on peut me donner», livrait-elle, avant d'ajouter : «Je vais rester moi-même.»
Le Parisien
13-07-2025
- Sport
- Le Parisien
« On lui a tendu des pièges » : en coulisses avec Isabelle Ithurburu avant son premier JT de 13 heures
Au premier étage de la Tour TF 1, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), l'équipe du 13 Heures s'agite jeudi 10 juillet après-midi, prête à proposer une nouvelle édition du journal de la mi-journée. Pourtant, l'horloge affiche 15h30 et ce n'est pas Marie-Sophie Lacarrau qui s'installe. Vêtue d'une chemise en jean et d'un pantalon ample, Isabelle Ithurburu prend ses marques . Dès lundi 14 juillet, la journaliste de 42 ans devient la nouvelle joker du rendez-vous d'information, prenant la suite de Jacques Legros, qui assurait les remplacements depuis vingt-six ans.
