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Tour de France : 28 ans avant Pogacar et Vingegaard, c'est James Bond qui a « fait exploser » Peyragudes
Tour de France : 28 ans avant Pogacar et Vingegaard, c'est James Bond qui a « fait exploser » Peyragudes

Le Parisien

time5 days ago

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Tour de France : 28 ans avant Pogacar et Vingegaard, c'est James Bond qui a « fait exploser » Peyragudes

Bienvenue à « l'altiport 007 ». C'est ici, à Peyragudes, que les agents en mission pour le Maillot jaune vont régler leurs comptes. Du bas de la vallée, à Loudenvielle, au sommet de la station de ski entre Hautes-Pyrénées et Haute-Garonne, 10,9 km de contre-la-montre en montée (8 km à 7,9 % de moyenne). Un chrono que l'on peut qualifier d'explosif entre les favoris du Tour. Un qualificatif tout indiqué pour la station pyrénéenne. Peyragudes, dont c'est la 4e arrivée au sommet sur le Tour de France , a déjà explosé une fois entièrement… Ce n'était pas sous les coups de pédales d'Alejandro Valverde (2012), Romain Bardet (2017) ou Tadej Pogacar (2022), vainqueurs au sommet. Mais sous les bombes des ennemis de James Bond, en 1997. Car Peyragudes, avant d'accueillir la plus grande course du monde, a été le théâtre des exploits de l'espion le plus célèbre de la planète. C'était pour le tournage de « Demain ne meurt jamais », avec Pierce Brosnan, le 18e opus de la série de films sur l'agent au service de Sa Majesté. « Ils ont fait exploser tout le plateau de tournage ! On a dû descendre 500 m plus bas », se souvient Jean-Louis Barrau. En novembre 1996, ce salarié dans l'événementiel qui vient de Luchon a passé un casting auprès des producteurs du film. « Ils avaient identifié le décor de l'altiport car il correspondait aux paysages d'Afghanistan, où devait se dérouler la première scène du film », raconte Jean-Louis, 33 ans à l'époque, 62 aujourd'hui. La station pyrénéenne a vécu un mois de tournage intense, en janvier 1997, pour réaliser les 5 minutes de « préfilm », la scène d'entrée de ce James Bond. Une première scène ultra-spectaculaire, dans le plus pur style James Bond, avec des décollages d'avion, des courses, des tirs, des explosions… et pas une mèche de travers pour 007. « J'ai joué un garde du corps, raconte Jean-Louis. J'étais en costume, armé. Je devais arrêter une jeep. On me voit à l'écran ». L'enfant du pays côtoie un peu Pierce Brosnan, mais surtout « ses deux doublures qui faisaient les cascades ». Il avoue avoir été marqué surtout par l'impact du phénomène 007. Les fans sur place, les médias du monde entier qui s'intéressent au tournage, les équipes de tournage pléthoriques… « Le tournage de James Bond a marqué la station, poursuit Jean-Louis Barrau. L'altiport a été rebaptisé altiport 007, il y a une piste du même nom, un restaurant aussi… » À chaque fois qu'il revient à Peyragudes, pour des événements, du ski, ou le Tour de France, Jean-Louis Barrau repense à ce casting improbable qui l'a mené sur l'écran de ce blockbuster mondial. Ce vendredi, ce seront d'autres monstres sacrés qui s'affronteront ici. Le cannibale Pogacar, son rival blessé Vingegaard , le champion olympique Evenepoel … Qui succédera cette fois à 007 au sommet de Peyragudes ?

Après la saga Dune, Denis Villeneuve sera aux commandes du prochain James Bond
Après la saga Dune, Denis Villeneuve sera aux commandes du prochain James Bond

Le Figaro

time13-07-2025

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Après la saga Dune, Denis Villeneuve sera aux commandes du prochain James Bond

Le réalisateur québécois, qui doit conclure sa trilogie space opera l'année prochaine, a été choisi par Amazon, nouveau propriétaire de la franchise. Denis Villeneuve s'apprête à relever un nouveau défi de taille. Après le carton de la saga Dune au box-office, le réalisateur québécois sera aux commandes des prochaines aventures de James Bond, ont annoncé mercredi les studios Amazon MGM. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Le géant du commerce en ligne choisit ainsi un cinéaste très en vogue à Hollywood, pour sa première incursion très attendue dans l'univers de l'espion britannique imaginé par l'écrivain Ian Fleming. «Je suis un fan inconditionnel de Bond. Pour moi, c'est un personnage sacré», a réagi Denis Villeneuve dans un communiqué, en précisant avoir « grandi en regardant les films de James Bond avec (s)on père ». Publicité «J'ai l'intention d'honorer la tradition et d'ouvrir la voie à de nombreuses nouvelles missions à venir», a-t-il ajouté. «C'est une responsabilité énorme, mais aussi quelque chose d'incroyablement excitant pour moi et un immense honneur.» On ignore encore qui incarnera l'espion de sa Majesté sous l'ère Amazon. Daniel Craig raccroche le costume Daniel Craig a raccroché le costume de James Bond en 2021, après la sortie de Mourir peut attendre. Depuis cet opus, le destin des aventures de 007 a connu de nombreux rebondissements. Amazon a déboursé près de 8,45 milliards de dollars pour racheter le mythique studio hollywoodien MGM en 2022, ce qui incluait le catalogue des anciens films de James Bond. Mais le géant de la distribution s'est heurté pendant trois ans à la résistance de Barbara Broccoli et Michael Wilson, les producteurs historiques de la saga, qui conservaient jalousement le contrôle créatif du personnage depuis des décennies. Amazon a finalement passé un accord financier en février avec eux pour prendre le contrôle créatif de la franchise. D'un montant non divulgué, il permet à l'entreprise de Jeff Bezos de piloter les prochaines aventures de Bond. Le choix du prochain 007 inquiète les fans Certains fans craignent que le personnage soit surexploité par Amazon, qui pourrait multiplier les films, voire sortir directement des séries et spin-off sur Prime, sa plateforme de streaming. Dans ce contexte, le choix de Denis Villeneuve résonne comme un gage donné aux puristes. « Nous sommes honorés que Denis ait accepté de réaliser le prochain chapitre de James Bond. C'est un maître du cinéma, dont la filmographie parle d'elle-même », a salué le directeur des studios Amazon MGM et d'Amazon Prime, Mike Hopkins. Réalisés par le réalisateur québécois, les deux volets de la saga de science-fiction Dune ont été nominés pour l'Oscar du meilleur film. Sorti l'an dernier, le deuxième film sur cet univers a récolté 700 millions de dollars de recettes au box-office mondial et a remporté deux Oscars - meilleur son et meilleurs effets spéciaux. Le réalisateur canadien est également connu pour Blade Runner 2049 et Premier Contact.

Qui est « C », alias Blaise Metreweli, l'espionne au service de Sa Majesté qui va diriger le légendaire MI6 ?
Qui est « C », alias Blaise Metreweli, l'espionne au service de Sa Majesté qui va diriger le légendaire MI6 ?

Le Parisien

time12-07-2025

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Qui est « C », alias Blaise Metreweli, l'espionne au service de Sa Majesté qui va diriger le légendaire MI6 ?

C'est dans Le « Manuel du petit espion », célèbre livre pour enfants des années 1980, que Blaise Metreweli raconte avoir trouvé sa vocation. La petite fille qui avait inventé un langage codé et dissimulait des messages sous les pots de fleurs deviendra, le 30 septembre, à 48 ans, la première femme jamais nommée à la tête du MI6. Le légendaire service de renseignement extérieur du Royaume-Uni, fondé il y a 116 ans. Un poste incarné pendant trois décennies à l'écran par l'actrice Judi Dench , la redoutable patronne de l'espionnage extérieur appelée « M » dans la saga James Bond . Dès sa prise de fonction, Blaise Florence Metreweli sera simplement désignée par la lettre C, comme le veut la tradition – un hommage à Sir Mansfield Cumming, le premier à avoir occupé cette fonction.

Blaise Metreweli, espionne en chef
Blaise Metreweli, espionne en chef

Le Figaro

time07-07-2025

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Blaise Metreweli, espionne en chef

Réservé aux abonnés PORTRAIT - À 47 ans, elle devient la première patronne du MI6, service de renseignements extérieurs britannique. Elle sera la vraie « C » des films de James Bond, entrant dans la légende du monde de l'ombre. Les photos sont bien là mais si l'on cherche sur internet, on trouve peu d'informations sur la rameuse numéro cinq de l'équipe gagnante de la célèbre course d'aviron universitaire anglaise de 1997. À l'époque, Blaise Metreweli étudiait à Cambridge. Et ce printemps-là, son université battait Oxford d'une longueur. Vingt-huit ans plus tard, la brillante étudiante devient la première patronne du MI6, en 116 ans d'histoire du service de renseignements extérieurs britannique. Elle sera la vraie « C » des films de James Bond, entrant dans la légende du monde de l'ombre. Deux ans après sa victoire contre Oxford, la jeune fille disparaît des publications d'anciens étudiants. Sans sillage, sans empreinte, comme évanouie dans les souterrains du grand théâtre social. Seuls quelques annuaires officiels fournissent d'austères éléments. La liste du service diplomatique de 2006 indique que « Metreweli, Blaise Florence, née le 30/07/77 », a été « deuxième secrétaire [économique] à Dubaï »

Le Montreux Jazz sera-t-il assez fou pour Grace Jones?
Le Montreux Jazz sera-t-il assez fou pour Grace Jones?

24 Heures

time07-07-2025

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Le Montreux Jazz sera-t-il assez fou pour Grace Jones?

Accueil | Culture | Festivals | La chanteuse jamaïcaine n'est pas que l'icône chic et choc des «eighties». Elle reste un parangon d'audace et d'indépendance. Publié aujourd'hui à 08h28 Souvent décrite comme une panthère, Grace Jones prête le flanc à la métaphore. Ici sur scène en 2019. imago images/ZUMA Press En bref: Grace Jones n'a peur de rien. Elle a mis des coups de sabre à Conan le Barbare, des coups de savate à James Bond, gobé une Citroën, rendu beau le pire de l'esthétique eighties , déniaisé le disco et dopé le reggae, vécu en diva avec un esprit punk. En 2017, quand plus grand monde ne pensait à elle, la chanteuse a croqué tout cru le Montreux Jazz, lui offrant l'un de ses concerts d'anthologie. Le 12 juillet prochain, à l'âge de 77 ans, elle va s'en offrir une nouvelle bouchée. Grace Jones n'a peur de rien, surtout pas de l'indigestion. Colère à la télé Une vie, un million d'images et de souvenirs. Quel fil tirer? Pourquoi pas celui, caca d'oie, du costume de Russell Harty? Une sorte de Michel Drucker britannique, la pédanterie en plus, qui eut la goujaterie – et le tort – de tourner trop souvent le dos à la chanteuse, invitée de son talk-show en 1980. «Allez-vous cesser cela?» s'agace-t-elle enfin… avant de donner de sèches mais solides claques au malotru à mèche. Derrière la classe et la politesse, il y a un tempérament qui ne triche pas, une fierté venue de l'enfance, une sincérité qui firent de Grace Jones autre chose qu'une femme-objet pour papier glacé, et justifie qu'on l'évoque encore aujourd'hui en icône pop. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Née en 1948 en Jamaïque, elle grandit entre une mère démissionnaire, un père religieusement fondamentaliste et un beau-père fondamentalement abusif. Quand la famille déménage sur la côte est des États-Unis, l'adolescente embrasse cette liberté nouvelle et plonge dans la vie nocturne new-yorkaise, ses clubs gays et les ultimes soubresauts de la contestation hippie. Son physique androgyne, maigre et musculeux pour lequel on la raillait à l'école devient son atout maître: elle rejoint à 18 ans sa première agence de mannequin, avant de tenter l'aventure parisienne en 1970. Mode nuit L'histoire de Grace Jones s'écrit alors à l'encre bleu nuit, dans cette époque où les créateurs les plus aventureux se réunissaient en vampires mondains au son des basses souterraines, où les corps se mêlaient sans crainte à l'arrière des pistes de danse avant de se retrouver le lendemain entre podiums de défilés, studios d'enregistrement ou maisons d'édition. Le «Tout-Paris» veut encore dire quelque chose, il s'entiche – sans doute aussi pour des raisons dont on peut aujourd'hui discuter la nature «exotique» – de cette étrange Noire sculpturale au tempérament explosif. Grace Jones, alias la tueuse May Day («Dangereusement vôtre»), toujours élégante même au travail. imago/United Archives Elle porte les créations d'Yves Saint Laurent, de Claude Montana, de Kenzo Takada, fait les couvertures de «Elle» et de «Vogue». Pose pour Helmut Newton, fréquente rock stars, acteurs, photographes. Elle est une muse de l'underground dont «le plan de carrière», cette bonne blague, s'écrit nuit après nuit, rencontre après rencontre – pour s'en convaincre, et apprécier Grace Jones au naturel, il faut oser revoir «Attention les yeux!» (1975), nanar invraisemblable où elle fait de la figuration entre Daniel Auteuil et Guy Marchand, la plupart du temps seins nus et visiblement dans la même forme olympique qui l'animait quelques heures plus tôt sur la piste de danse. Beaujolais nouveau ou champagne, qu'importe le flacon… En 1986, avec Andy Warhol et Keith Haring, en gala de charité new-yorkais. Getty Images Grace Jones a pleinement vécu les années 70; elle va incarner les années 80. Énième mannequin à tâter du disco, elle s'en affranchit en vamp fatale et réussit la jonction a priori impossible entre la tradition française et l'hédonisme poudré de la sono mondiale. Sa version de «La vie en rose», d'Edith Piaf, la fait découvrir du grand public. Les albums «Portfolio» et «Fame» la propulsent en reine disco, sa voix impérieuse et sa position de mannequin vedette résonnant comme l'incarnation définitive du glamour noctambule. Sur sa première compilation, une pose iconique signée Goude. La perfection avant le numérique… Mais l'artiste – et c'est pour cela qu'il faut aller l'écouter au Montreux Jazz – a le bon goût de décrocher la boule à facettes avant qu'elle ne lui tombe sur les hauts talons. Défricheuse, curieuse, elle opère en 1980 un virage audacieux vers l'avant-garde, métissant le reggae roots de ses origines au lustre synthétique de la new wave naissante. On guinche toujours, mais sur des tempos épais et répétitifs, des basses lourdes, des incantations graves. La fête devient sinistre, le sida est apparu, les clubs mythiques ferment. Sous la houlette de Chris Blackwell, qui «importa» Bob Marley auprès de la jeunesse occidentale, Grace Jones produit aux Bahamas un trio de disques impeccables dont «Nightclubbing», le plus célèbre musicalement… et visuellement! À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Car les fous sont lâchés. Les plus audacieux créateurs, hommes et femmes, de la décennie précédente deviennent des stars au fil de ces eighties multimédia, où l'image compte autant que le son. Partageant la vie de Grace Jones, l'illustrateur et photographe Jean-Paul Goude imagine les pochettes de sa muse avec le même génie visionnaire qui feront le succès de ses pubs télévisées. Grace Jones devient une esthétique «chic et choc», comme on dit alors, une beauté androgyne à la perfection glacée. Au sommet de sa notoriété, elle joue la James Bond girl auprès du fat Roger Moore («Dangereusement vôtre», 1985) et sort un disque au titre manifeste, «Slave to the Rhythm». «So eighties!» Grace Jones, la Citroën CX GTI Turbo et la patte de Jean-Paul Goude. Bridgeman Images Et puis? La «Jonesmania» s'épuise. Ses albums ne sont plus le son de leur époque, ses films renouent avec le nanar, à gros budget cette fois-ci. Elle s'affiche avec le très musclé Dolph Lundgren et alimente les tabloïds. Ses trouvailles vestimentaires, son indépendance, son audace queer ont nourri une génération de chanteuses, de Madonna à Lady Gaga, à la folie plus acceptable, moins dangereuse. Elle reste la fille de Kingston, qui griffe et mord. Mais que son pays honore de l'Ordre de Jamaïque: Grace Jones est officiellement une aristocrate. En 2008, elle avait surpris en revenant sur disque avec «Hurricane», le premier depuis près de vingt ans. La tournée qui suivit prouva combien celle qui était née pour être vue méritait aussi qu'on l'écoute. Ses concerts mobilisent tout son art du cabaret baroque, qu'elle domine en maîtresse de cérémonie jamais avare d'un coup de folie. La vieille école, celle où rien n'était écrit, tout à inventer. Fuir l'ennui, surtout. Décider que l'on est, à 77 ans, d'une jeunesse invincible. Et faire sa fête à la nuit, une fois encore. «Énième mannequin à tâter de la disco, elle s'en affranchit en vamp fatale et réussit la jonction a priori impossible entre la tradition française et l'hédonisme poudré de la sono mondiale.» Montreux Jazz En concert au Montreux Jazz, le 12 juillet. Aussi au Montreux Jazz François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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