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Stars et faits divers/2: Tennis: quand Stefan Edberg tuait (malgré lui) un juge de ligne
Le court de tennis peut se transformer en arène tragique. En 1983, le joueur suédois blessait mortellement un juge de ligne. Publié aujourd'hui à 15h00 En 1983, alors qu'il est encore junior, Stefan Edberg tue un juge de ligne… GETTY IMAGES/MONTAGE TAMEDIA En bref: Lors de la dernière finale du tournoi de Roland-Garros, match épique entre Carlos Alcaraz et Jannik Sinner, les caméras n'ont pas manqué de montrer dans les tribunes un Stefan Edberg souriant et visiblement satisfait du spectacle. L'ex-champion suédois, numéro 1 durant 72 semaines de 1990 à 1991, est un habitué, côté spectateur désormais, des grands rendez-vous tennistiques où son allure de gentleman nordique prend facilement la lumière. Ces tournois qu'il a jadis marqués de son jeu d'attaquant, adepte imperturbable du service volée. À 59 ans, le Suédois prolonge encore cette fiction d'un sport policé, propre sur lui, où règne calme et fair-play, aux antipodes des fameux débordements d'un John McEnroe en «bad boy» débridé. Pourtant, sous l'impassibilité fameuse de Stefan Edberg se cache la pire tragédie de l'histoire du tennis. En 1983, le tennisman est encore junior quand il dispute l'US Open – il finira d'ailleurs l'année en tant que professionnel à part entière, avec la satisfaction d'un exploit qu'il est sauf erreur le seul à avoir réalisé en remportant le Grand Chelem en tant que junior. C'est dire s'il est déjà un joueur dangereux qui va rapidement se faire un nom sur le circuit ATP en remportant son premier tournoi sur le circuit principal en battant son compatriote Mats Wilander en mars 1984. Stefan Edberg à l'attaque Mais le 10 septembre 1983, il est encore junior et affronte Patrick McEnroe, le frère cadet du champion irascible. L'histoire n'a pas retenu à quel moment du match l'incident survient, mais Stefan Edberg, attaquant volleyeur de 17 ans qui compte déjà beaucoup sur sa première balle pour se ruer au filet dans les meilleures conditions, lâche un premier service dévastateur à environ 160 km/h: ace… Le point n'est toutefois pas le seul effet de sa frappe. En rebondissant, la balle télescope un arbitre de ligne. Touché violemment à l'aine ou à l'abdomen, l'homme, assis sur une chaise au niveau de la ligne centrale du court, s'effondre. Dans sa chute, son crâne heurte le sol avec force. Rappelons que la surface de l'US Open est déjà dure à l'époque: le revêtement, du Decoturf, est un matériau composé d'acrylique, de caoutchouc, de silice, et de dérivés de l'asphalte. Tragédie à l'US Open Les annales n'ont pas retenu le score à ce moment. Évacué, le juge de ligne Richard Wertheim, 60 ans, décédera cinq jours plus tard au Flushing Hospital Medical Center des suites de son traumatisme crânien et d'une hémorragie sous-durale. Stefan Edberg, lui, remporte le match et gagne le tournoi en junior lors d'une finale contre Simon Youl sur le score de 6-2, 6-4. Fin de l'histoire? À peu près… En 1984, la famille de Wertheim poursuit la United States Tennis Association, lui réclamant 2,25 millions de dollars de dommages et intérêts. Sans succès, puisque la division d'appel de la Cour suprême de New York annulait même l'indemnité de 165'000 dollars accordée par le jury, arguant que l'impact de la balle de tennis n'avait pas été la cause principale du décès… L'un des seuls effets concrets de ce drame absurde sera la décision de la Fédération internationale de tennis d'éviter que les juges de ligne ne soient assis durant les matchs. Les cas de «balles perdues» se sont évidemment poursuivis, sans plus mettre la vie d'êtres humains en danger, mais occasionnant tout de même de sérieux tests de résistance de boîtes crâniennes et des compressages d'yeux aptes à contrarier la sagacité des gardiens de ligne. Les joueurs ne sont pas à l'abri des tirs, que semblent parfois magnétiser leurs testicules. Les femmes semblent plus prudentes, à consulter les compilations de mésaventures que l'on trouve sur YouTube. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Incidents et assassins Mais donner n'est parfois pas beaucoup plus gratifiant que recevoir. La preuve avec l'Australien Marc Polmans qui, il y a deux ans, tenait bien en main son match du dernier tour des qualifications du Masters 1000 de Shanghai contre l'Italien Stefano Napolitano. À un point de la victoire dans le tie-break du deuxième set, il laisse échapper une balle de match. L'énervement le saisit, il tire une balle à l'aveugle – comme le destin! – et la plante direct sur l'occiput de l'arbitre de chaise. Disqualification immédiate…Méritée, diront les observateurs. Une anecdote qui rappelle celle de Novak Djokovic, lui aussi éliminé en 2020 de l'US Open pour avoir envoyé une balle sur une juge de ligne avec sa balle. Si les tennismen se mettent à canarder comme à la grande époque du Far West, les juges de ligne vont devoir riposter. Le danger n'a parfois rien à voir avec le jeu lui-même. Poignardée dans le dos en 1993, Monica Seles, alors numéro 1 mondiale, ne s'en remettra jamais complètement, le déséquilibré qui l'agressait parvenant même à son but avéré: redonner la première place à Steffi Graf! Les assassins sont parfois sur le court, mais en différé. Le cas de Vere St. Leger Goold est ancien, mais saisissant. Finaliste de Wimbledon en 1879, l'Irlandais commet un meurtre crapuleux en 1907. Un forfait qui lui vaudra le bagne… Quant à Stefan Edberg, tennisman au maintien de sang-froid, mais au jeu ardent, il aurait pu récidiver quelques années plus tard. Le 18 novembre 1990, le Suédois dispute la finale de l'ATP Tour World Championship (Masters) à Andre Agassi. Débordé par un coup droit très croisé de l'Américain, le Suédois parvient à relancer en tirant entre le filet et l'arbitre chargé de le surveiller. Un juge dans le filet Le juge de filet – une fonction très exposée et qui disparaîtra rapidement – a à peine le temps de voir la balle, mais elle passe à quelques centimètres de sa tête. Ironie du sort, le retour d'Edberg n'atterrit pas dans le court – et de plusieurs centimètres – mais le point sera tout de même accordé, malgré les protestations légitimes d'Agassi. Le Kid de Las Vegas s'imposera néanmoins en quatre sets: 5-7, 7-6, 7-5, 6-2. Seul tueur de l'histoire du tennis à avoir commis un homicide involontaire sur le court, Stefan Edberg n'a semble-t-il jamais évoqué directement l'incident, un refus de le commenter qui confine au déni même si, dans ce triste concours de circonstances, sa responsabilité ne peut en effet être tenue pour engagée. Certains journalistes sportifs assureront que le champion aurait songé à interrompre sa carrière à la suite de ce décès. D'autres prétendront que son service aurait perdu de sa puissance à la suite de ce coup du destin, un peu comme un boxeur qui retiendrait ses uppercuts après la mort d'un adversaire. Difficile de juger, mieux vaut rester sur la ligne factuelle. L'épisode n'a pas empêché le Suédois de se frayer un chemin au sommet de la planète tennis. Son silence n'est peut-être rien d'autre que cette forme de décence achevée et de distance polie dont le sportif a fait l'une de ses marques de fabrique tout au long d'une carrière qui s'achevait en 1996 et six titres en Grand Chelem. Quatre ans après la crise cardiaque de Michel Berger à la suite d'une partie de tennis… sport qui n'est décidément pas toujours bon pour la santé. Le tennis sur toutes ses lignes Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters Boris Senff travaille en rubrique culturelle depuis 1995. Il écrit sur la musique, la photographie, le théâtre, le cinéma, la littérature, l'architecture, les beaux-arts. Plus d'infos @Sibernoff Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Figaro
9 hours ago
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Wimbledon : Sinner et Djokovic en favoris, Swiatek en danger… Le programme de la fin du 3e tour ce samedi 5 juillet
Suite et fin du troisième tour, ce samedi, à Church Road sans aucun Français, mais avec de nombreux favoris. Très tranquille lors de ses deux premiers tours, le numéro 1 mondial Jannik Sinner ouvre le bal à 14h30 contre l'Espagnol Pedro Martinez. Et Novak Djokovic, septuple lauréat, clôturera la journée sur le Centre Court contre son compatriote Miomir Kecmanovic. Le temps de placer trois aces et un service gagnant pour empocher le dernier jeu nécessaire pour remporter une victoire contre Rinky Hijikata (6-2, 7-5, 6-4), Ben Shelton (tête de série 10) a joué… 70 secondes vendredi. Le jeune Américain n'a pas vraiment puisé dans ses réserves et a les faveurs des pronostics contre le tombeur de Gaël Monfils, le Hongrois Marton Fucsovics, sur le court 1. Tout comme l'Australien Alex de Minaur (tête de série 11) face à la surprise August Holmgren, issue des qualifications. Le tombeur au premier tour de Quentin Halys et au 2e tour du Tchèque Tomas Machac, après plus 4h30 de combat et 4 tie-breaks disputés, le joueur de 27 ans n'en finit pas de surprendre. Tout comme le vétéran Marin Cilic, 36 ans, tombeur du local, 4e mondial Jack Draper, qui tentera de confirmer face à l'Espagnol Jaume Munar, autre invité surprise. Publicité Dans le tableau féminin, Iga Swiatek, tête de série 8, va tenter en deuxième rotation de prendre sa revanche contre l'Américaine Danielle Collins, contre qui elle s'était inclinée à la surprise générale au 3e tour du WTA 1000 de Rome, au mois de mai dernier. La Polonaise, qui n'a atteint qu'à deux reprises les 8es de finale à Londres, va tenter de prouver qu'elle a le pied vert. Dans une partie basse du tableau, où des outsiders comme Coco Gauff, Jessica Pegula ou encore Karolina Muchova, sont tombées et la Polonaise pourrait reverdir après son échec en demi-finale de Roland-Garros, son tournoi préféré. Court central, à partir de 14 h 30 Jannik Sinner (ITA, n°1) - Pedro Martinez (ESP) Iga Swiatek (POL, n°8) - Danielle Collins (USA) Miomir Kecmanovic (SRB) - Novak Djokovic (SRB, n°6) Court n°1, à partir de 14 h Mirra Andreeva (RUS, n°7) - Hailey Baptiste (USA) Barbora Krejcikova (CZE, n°17) - Emma Navarro (USA, n°10) Ben Shelton (USA, n°10) - Marton Fucsovics (HON) Court n°2, à partir de 12 h Publicité Clara Tauson (DAN, n°23) - Elena Rybakina (KAZ, n°11) Alex De Minaur (AUS, n°11) - August Holmgren (DAN) Court n°3, à partir de 12 h Daria Kasatkina (AUS, n°16) - Liulia Samsonova (RUS, n°19) Grigor Dimitrov (BUL, n°19) - Sebastian Ofner (AUT) Court n°12, à partir de 12 h Flavio Cobolli (ITA, n°22) - Jakub Mensik (CZE, n°15) Zeynep Sonmez (TUR) - Ekaterina Alexandrova (RUS, n°18) Publicité Court n°18, à partir de 12 h Belinda Bencic (SUI) - Elisabetta Cocciaretto (ITA) Marin Cilic (CRO) - Jaume Munar (ESP) Court n°14, pas avant 13 h 30 Brandon Nakashima (USA, n°29) - Lorenzo Sonego (ITA)


L'Équipe
a day ago
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Sinner, Swiatek et Djokovic sur le Centre Court : le programme du samedi 5 juillet à Wimbledon
Si aucun Français n'est aligné ce samedi, de nombreux favoris des tableaux masculin et féminin tenteront de décrocher leur ticket pour les huitièmes de finale. Suite et fin du troisième tour, ce samedi, avec plusieurs favoris du tournoi qui se succéderont sur le Centre Court. Le numéro 1 mondial Jannik Sinner ouvrira le bal à 14h30 contre Pedro Martinez, avant la Polonaise Iga Swiatek, qui doit battre l'Américaine Danielle Collins pour rallier les huitièmes de finale, qu'elle n'a connus que deux fois à Wimbledon. Un duel serbe clôturera la journée sur le Centre Court, entre Novak Djokovic, en quête d'un 25e tournoi du Grand Chelem, et Miomir Kecmanovic. Aucun Français ne foulera le gazon, mais plusieurs outsiders animeront les autres courts : les jeunes Mirra Andreeva (18 ans, tête de série n°7) et Ben Shelton (22 ans, n°10) sur le court n°1, respectivement contre Hailey Baptiste et Marton Fucsovics (tombeur de Gaël Monfils), ou encore Alex De Minaur (n°11) face au saisissant danois August Holmgren. Centre Court À partir de 14h30, heure françaiseJannik Sinner (ITA, n°1) - Pedro Martinez (ESP)Iga Swiatek (POL, n°8) - Danielle Collins (USA)Miomir Kecmanovic (SRB) - Novak Djokovic (SRB, n°6) Court n°1 À partir de 14 heuresMirra Andreeva (RUS, n°7) - Hailey Baptiste (USA)Barbora Krejcikova (RTC, n°17) - Emma Navarro (USA, n°10) Pas avant 16 heuresBen Shelton (USA, n°10) - Marton Fucsovics (HON) Court n°2 À partir de 12 heuresClara Tauson (DAN, n°23) - Elena Rybakina (KAZ, n°11)Alex De Minaur (AUS, n°11) - August Holmgren (DAN) Court n°3 À partir de 12 heuresDaria Kasatkina (AUS, n°16) - Liudmila Samsonova (RUS, n°19)Grigor Dimitrov (BUL, n°19) - Sebastian Ofner (AUT) Court n°12 À partir de 12 heuresFlavio Cobolli (ITA, n°22) - Jakub Mensik (RTC, n°15)Zeynep Sonmez (TUR) - Ekaterina Alexandrova (RUS, n°18) Court n°18 À partir de 12 heuresBelinda Bencic (SUI) - Elisabetta Cocciaretto (ITA)Marin Cilic (CRO) - Jaume Munar (ESP) Court n°14 Pas avant 13h30Brandon Nakashima (USA, n°29) - Lorenzo Sonego (ITA) Court n°16 À partir de 12 heuresJessica Bouzas Maneiro (ESP) - Dayana Yastremska (UKR)


L'Équipe
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Nick Kyrgios pense que Carlos Alcaraz « fait trop la fête » pour réussir une plus belle carrière que Jannik Sinner
Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux ce jeudi, l'ancien finaliste de Wimbledon en 2022 Nick Kyrgios a confié ses doutes sur les qualités mentales de Carlos Alcaraz et sa longévité au plus haut niveau. « Qui va avoir la meilleure carrière selon toi, entre Carlos Alcaraz et Jannik Sinner ? » C'est la question posée par Nick Kyrgios, ancien n°13 mondial forfait pour Wimbledon, à Patrick Mouratoglou, ancien entraîneur de Serena Williams et créateur de l'Ultimate Tennis Showdown (UTS), dans une vidéo postée par les deux hommes sur Instagram ce jeudi. « Je vais te donner mon avis : je pense que ce sera Sinner », poursuit le finaliste de l'édition 2022 de Wimbledon. Pour Kyrgios, le principal défaut d'Alcaraz (22 ans) est qu'il « peut être distrait, faire trop la fête ». « C'est la seule chose, alors que Sinner va rester concentré », estime l'Australien, qui n'a plus joué depuis le mois de mars. Mouratoglou partage son avis sur ce point : « Sinner est plus régulier, de manière générale. Si tu regardes la saison, Alcaraz perd beaucoup plus de matches que Sinner. Il ne devrait pas, mais il n'est pas toujours présent mentalement. Même pendant les matches, il a des hauts, des bas. » Une publication partagée par THE COACH (@patrickmouratoglou) Mais pour celui qui a aussi coaché Stefanos Tsitsipas et Holger Rune, « à la fin, cela se jouera sur leurs face-à-face, parce qu'ils vont beaucoup s'affronter en finale ». Avant de souligner que l'Espagnol a remporté les cinq dernières confrontations entre les deux hommes, tout en comptant deux titres supplémentaires en Grand Chelem (5 pour Alcaraz, 3 pour Sinner).


Le Parisien
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« Alcaraz adore les filles » : pourquoi Nick Kyrgios prédit une « meilleure carrière » à Jannik Sinner
C'est une rivalité amenée à durer et qui passionne le milieu de tennis . Qui de Jannik Sinner ou de Carlos Alcaraz réussira le mieux sa carrière ? C'est une question que se pose également Nick Kyrgios. Dans une vidéo tournée avec Patrick Mouratoglou, ancien coach de Serena Williams et désormais conseil de Naomi Osaka, l'ex numéro 13 mondial s'est interrogé. « Lequel des deux aura une meilleure carrière ? », questionne ainsi l'Australien, avant de répondre lui-même à la question. « Je dirai Sinner, parce qu'Alcaraz adore les filles, assure-t-il avec un sourire. Il pourrait être distrait, il pourrait faire la fête trop souvent (…) quand Sinner restera un peu plus fermé », ajoute l'Australien. « Sinner est plus constant, en général, répond Patrick Mouratoglou (…). Si on regarde cette saison, Alcaraz perd plus de matchs que Sinner (…). Il ne devrait pas mais il n'est pas toujours présent. Même durant les matchs il a des hauts et des bas. » Mais comme le rappelle Patrick Mouratoglou dans cet échange, Carlos Alcaraz est celui qui, pour l'heure, domine. L'Espagnol a remporté 8 des 12 matchs opposant les deux joueurs sur le circuit ATP, et a surtout gagné les cinq dernières rencontres, dont la finale épique de Roland Garros il y a quelques semaines. Têtes de série numéro 1 et numéro 2 du tournoi de Wimbledon, Jannik Sinner et Carlos Alcaraz pourraient à nouveau se retrouver en finale d'un tournoi du Grand Chelem le week-end prochain. Mais pour l'heure, ils ne sont qu'au troisième tour du tournoi londonien. L'Italien affrontera Pedro Martinez ce samedi tandis que Carlos Alcaraz sera opposé à Jan-Lennard Struff ce vendredi après-midi.