Dernières actualités avec #JoaoNeves
L'Équipe
2 days ago
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Luis Enrique et Joao Neves pas encore fixés sur ce qu'ils risquent après leurs mauvais gestes contre Chelsea
Le coach du Paris-SG Luis Enrique, qui avait agrippé l'attaquant de Chelsea Joao Pedro après la défaite en finale de la Coupe du monde des clubs (0-3), et Joao Neves, sorti sur carton rouge, pourraient être sanctionnés. Que risquent Luis Enrique, pour son coup de chaud sur Joao Pedro après le coup de sifflet final, ou Joao Neves, expulsé (86e) pour avoir tiré les cheveux de Marc Cucurella, et leur attitude en fin de rencontre, dimanche ? Les sanctions disciplinaires de la Coupe du monde des clubs ne devaient pas avoir de suite pour d'autres compétitions de club ou de sélection. À la FIFA, on se montrait plus prudent à l'issue de la finale. Sur la base des rapports des officiels et notamment de celui de l'arbitre, la commission de discipline de l'instance mondiale décidera ou non d'ouvrir une instruction dans les prochains jours. Si tel était le cas, des sanctions seraient alors possibles, le panel étant très large, de l'amende jusqu'à la suspension. Et si elle le désire, elle pourrait, en cas de suspension, demander à l'étendre à d'autres compétitions de club ou d'équipe nationale. Mais lundi, il était encore trop tôt pour savoir ce que la FIFA allait décider.
Le Parisien
2 days ago
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PSG : entre vacances et mercato, Paris prépare déjà la saison prochaine
Ils auraient aimé finir sur une meilleure note, faire péter le feu d'artifice du 14 juillet avant l'heure. Lourdement battus par Chelsea (3-0), dimanche, en finale de la Coupe du monde des clubs , les Parisiens ont bouclé une saison à rallonge que les fans ne sont pas près d'oublier et les suiveurs non plus. Place au repos, désormais, bien mérité, pour les hommes de Luis Enrique qui ont disputé face aux Blues leur 65e match de la saison, effaçant des tablettes le record pour un club français détenu par l'AS Monaco version 2016-2017 qui s'était arrêté à 63 matchs après son épopée européenne. Il y avait dans les jambes un peu de fatigue, dans les têtes aussi, à l'image de l'expulsion de Joao Neves et du pétage de plombs de Luis Enrique qui n'a pas réussi à contenir ses nerfs face aux provocations de Joao Pedro à l'issue de la rencontre. L'heure est venue de se vider l'esprit, au bord de l'eau ou dans un lieu paradisiaque.
Le Figaro
2 days ago
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«Coup de Blues», «feu d'artifice annulé», «Qu'est-il arrivé à Lucho ?» : la presse européenne stupéfaite par la défaite et l'attitude du PSG
REVUE DE PRESSE - Au lendemain du lourd revers subi par le Paris Saint-Germain face à Chelsea (0-3), en finale de la Coupe du monde des clubs, les médias européens font part de leur surprise et condamnent le coup de sang de Luis Enrique, l'entraîneur parisien. Tout va très vite dans le football. Quatre jours après son récital face au Real Madrid (4-0) - qui avait enchanté la presse mondiale -, le Paris Saint-Germain s'est écroulé face à Chelsea (0-3), dimanche, en finale de la Coupe du monde des clubs. «Une douche froide» peut-on lire dans Le Figaro. Insubmersibles jusqu'ici, les Parisiens ont subi, à la surprise générale, un revers «clair, net et sans bavure» après une première période aux allures de «cauchemar» avec trois buts encaissés. À découvrir Le calendrier complet du PSG En seconde période, «il était temps que ça se termine» insiste-t-on, d'autant que les champions d'Europe en titre - à l'image de João Neves (expulsé pour avoir tiré les cheveux de Cucurella) et de l'entraîneur Luis Enrique, coupable d'un mauvais geste au coup de sifflet final - ont perdu leurs nerfs dans la défaite. «Tout au long de la saison, on a loué l'état d'esprit irréprochable des Parisiens, leur attitude sur et en dehors du terrain. De petits anges qui donnaient envie de les aimer, de les soutenir. On ne les a pas reconnus», ajoute-t-on. À lire aussi «Ce n'est pas la meilleure manière d'attirer l'attention» : le PSG perd ses nerfs et rate sa sortie Publicité Cole Palmer, étincelant bourreau du PSG Un constat partagé par Le Parisien qui remercie quand même un collectif «incapable de répondre à l'intensité physique, en retard dans les duels, les placements, maniant le ballon avec une lenteur de joueurs épuisés». Dominés dans tous les compartiments du jeu par les Blues de Chelsea, Marquinhos et ses coéquipiers n'avaient «plus rien en stock, ni résilience ni feu dans ses idées et ses courses» pour remporter leur 65e et dernier match d'une saison aussi éprouvante qu'historique. En ce 14 juillet, le «feu d'artifice est annulé» pour un PSG qui «reste humain», résume le quotidien régional. De son côté, L'Équipe met en avant le «coup de Blues» du champion de France (jeu de mots facile avec le surnom des joueurs de Chelsea). À noter que le quotidien sportif a décidé de mettre en Une de son journal l'équipe de France féminine, qualifiée en quart de finale de l'Euro, plutôt que cette finale de la Coupe du monde des clubs. Concernant le lourd revers parisien, L'Équipe pense que «ce n'est pas bien grave, même si la dernière image de son exceptionnelle saison à rallonge restera celle de la claque infligée par Chelsea». On préfère retenir la performance éblouissante de l'Anglais Cole Palmer qui «a éclaboussé de son talent» la finale, avec un doublé inscrit en huit minutes (22e et 30e minutes) puis une passe décisive pour Joao Pedro (43e). «Palmer restera le bourreau du PSG, celui qui a sublimé le plan impeccable concocté par (Enzo) Maresca». À lire aussi Les notes de Chelsea-PSG : Dembélé et les Parisiens n'ont pas existé, Palmer étincelant, Sanchez écœurant Chelsea a fait au PSG ce que le PSG a fait au Real Madrid en demi-finale en l'écrasant à pleine vitesse sous un soleil brûlant The Sun Cole Palmer, héros anglais porté en triomphe par la presse outre-Manche. Se réjouissant d'un «Chelsea au sommet du monde», The Guardian savoure «deux buts magnifiques, presque identiques, exécutés avec une aisance déconcertante» par l'ancien joueur de Manchester City. Ce dernier est qualifié de «don» par The Sun, qui félicite les «trois moments magiques» lors de la «victoire éclatante» des Blues, nouveaux «champions du monde». «Chelsea a fait au PSG ce que le PSG a fait au Real Madrid en demi-finale en l'écrasant à pleine vitesse sous un soleil brûlant», se vante allégrement le tabloïd anglais. Avant d'oser une comparaison pour le moins étonnante au moment de détailler les deux buts similaires inscrits par Cole Palmer : «On parlait de deux, trois ou quatre à zéro pour les vainqueurs de la Ligue des champions de Luis Enrique. Mais malgré leur talent indéniable, ils ne sont manifestement pas très malins. Palmer avait clairement indiqué où il allait viser. Tout comme Trump l'avait fait avec l'Iran.» Publicité Sous les yeux du président américain Donald Trump au MetLife Stadium, à l'ouest de New York, le PSG, grand favori avant la rencontre, a subi «une raclée», lance le journal madrilène Marca. «Une surprise mondiale» est évoquée même si, à l'arrivée, c'est le coup de sang de l'entraîneur Luis Enrique qui retient l'attention en Espagne. «Chaos» et «image embarrassante» «Qu'est-il arrivé à Lucho ?», se demande Marca. «La bagarre finale était inutile. De tous les points de vue, y compris celui de Luis Enrique.» Même son de cloche pour le quotidien catalan Sport qui évoque «image embarrassante» pour le football. Et va plus loin : «Un geste antisportif et totalement déplacé, devenu l'une des images les plus controversées du tournoi et susceptible d'entraîner une lourde sanction pour l'entraîneur asturien.» De l'autre côté des Alpes, la presse italienne - plus concentrée ce matin sur le sacre de Jannik Sinner à Wimbledon - ne se montre pas tendre vis-à-vis de l'attitude parisienne. Luis Enrique a «perdu son sang-froid lors d'une finale houleuse» note Tuttosport tandis que la Gazzetta dello sport dénonce une scène de «chaos» au coup de sifflet final. Enfin en Allemagne, Bild parle de «scènes scandaleuses» d'échauffourées entre joueurs parisiens et londoniens. Le journal Kicker relevant aussi un PSG «très faible et passé à côté de son sujet» qui «n'a pas joué à son niveau habituel». Preuve que la sortie de route parisienne, aussi bien dans le jeu que dans l'attitude, a surpris toute l'Europe.
Le Figaro
2 days ago
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- Le Figaro
Chelsea-PSG : en vidéo, l'altercation entre Luis Enrique et Joao Pedro
EN VIDÉO – Le ton est monté à la fin de la finale de la Coupe du monde des clubs entre le PSG et Chelsea dimanche, au MetLife Stadium. Luis Enrique a perdu ses nerfs. On le sait, Luis Enrique est du genre sanguin. Sur le banc parisien, il s'était toutefois montré plutôt serein jusqu'ici. Pas dimanche, lors de la finale de la Coupe du monde des clubs perdue par ses joueurs face à Chelsea (0-3), au MetLife Stadium, près de New York. Un match tendu, avec des duels accrochés et de la tension. Frustrés de ne pas pouvoir s'exprimer pleinement et d'être dominés, les Parisiens ont parfois perdu leurs nerfs, à l'image de João Neves, expulsé pour avoir… tiré les cheveux de Marc Cucurella. Le ton est encore monté après la partie, avec Luis Enrique dans le premier rôle. Le coach parisien s'est écharpé avec l'attaquant brésilien Joao Pedro, comme on le voit sur les images de DAZN. Il a été retenu par Presnel Kimpembe, histoire d'éviter de franchir la ligne rouge. Un attroupement s'est formé. Le genre de scène qu'on avait perdu l'habitude de voir au PSG…
Le Soir
3 days ago
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Chelsea étrille le PSG et s'offre la Coupe du monde des clubs (vidéos)
Chelsea a écrasé le Paris Saint-Germain (3-0) pour remporter la première édition de la Coupe du monde des clubs de la FIFA étendue à 32 clubs, dimanche à New York (États-Unis). Les Blues, vainqueurs de la Conference League, ont surpris les Parisiens, titrés en Ligue des Champions, et ont ainsi décroché leur deuxième victoire finale en Coupe du monde des clubs. Cole Palmer a mis les Anglais sur orbite en première période. Après une percée de Malo Gusto sur le flanc droit, l'attaquant a déposé le ballon avec sang-froid du pied gauche dans le petit filet pour déflorer le marquoir (22e). Quelques minutes plus tard, il a remis le couvert en endormant son défenseur avant d'ajuster Donnarumma de la même manière que sur le premier but (30e). Avant le repos, Joao Pedro a crucifié les Parisiens en convertissant d'une pichenette une passe en profondeur de Palmer (43e). Paris n'a su renverser la vapeur en deuxième période et la fin de match électrique a vu l'exclusion de Joao Neves (84e). Le coup de sifflet final a donné lieu à des échauffourées impliquant même l'entraîneur parisien Luis Enrique. Romeo Lavia et Mike Penders sont restés sur le banc pendant toute la rencontre. Chelsea avait déjà remporté la Coupe du monde des clubs en février 2022, après avoir remporté la Ligue des Champions en mai 2021. Dans son ancienne formule, le tournoi se jouait avec seulement 7 équipes issues de 6 confédérations. Les Blues n'avaient eu à jouer que deux rencontre, la demi-finale contre les Saoudiens d'Al-Hilal (1-0) et la finale remportée dans le temps additionnel contre les Brésiliens de Palmeiras (2-1). Romelu Lukaku avait inscrit un but dans chacun des deux matchs. Le Paris Saint-Germain participait cette année pour la première fois de son histoire à la Coupe du monde des clubs.
