logo
#

Dernières actualités avec #LGBT

« On ne peut plus rester silencieux » : le message d'alerte de Lewis Hamilton sur la situation des civils à Gaza
« On ne peut plus rester silencieux » : le message d'alerte de Lewis Hamilton sur la situation des civils à Gaza

Le Parisien

time3 days ago

  • Sport
  • Le Parisien

« On ne peut plus rester silencieux » : le message d'alerte de Lewis Hamilton sur la situation des civils à Gaza

Que ce soit pour des causes LGBT ou environnementales, Lewis Hamilton n'a jamais hésité ces dernières années à prendre position sur tout types de sujets lui tenant à cœur, hors du sport. Présent ce week-end en Belgique pour disputer le Grand Prix de Formule 1 sur le circuit de Spa-Francorchamps d'où il partira depuis la 16e position, Lewis Hamilton a poussé un gros coup de gueule sur la situation des civils en Palestine, victimes de la guerre à Gaza . Via plusieurs storys sur Instagram, le septuple champion du monde de F1 a exprimé « la dévastation totale que je ressens en voyant ce qui se passe à Gaza ». Tout en ajoutant : « On ne peut plus rester silencieux ». Depuis plusieurs mois, Israël impose un blocus total à Gaza. Une situation inacceptable aux yeux du pilote de Ferrari qui exige que de l'aide soit apportée le plus vite possible aux civils : « Des enfants meurent de faim alors que les organisations humanitaires sont incapables d'acheminer en toute sécurité de la nourriture, de l'eau potable, des fournitures médicales - les besoins humains les plus élémentaires. Il n'y a aucune justification à cela. » Face à cette situation, Lewis Hamilton a pointé du doigt « le silence et l'inaction de la communauté internationale qui seront jugés par les générations futures. » Le pilote a ensuite envoyé un message fort aux dirigeants en leur demandant de régler au plus vite la situation à Gaza : « Chaque jour qui passe sans que l'aide parvienne en toute sécurité aux Palestiniens et sans cessez-le-feu, c'est autant de vies perdues. Les dirigeants doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour mettre fin à ces souffrances, et ils doivent le faire maintenant. » Désireux d'aider les Palestiniens, le Britannique a appelé sa communauté à faire des dons à des associations oeuvrant pour aider la population : « Il est difficile de ne pas se sentir impuissant dans des moments comme celui-ci, mais si vous voulez vous joindre à moi pour faire un don, voici quelques organisations qui aident sur le terrain : Médecins sans Frontières, l'aide médicale pour les Palestiniens, « la Croix Rouge, l'Unicef et Sauvez les enfants. »

« Nous sommes ici pour nos droits » : à Amsterdam, des milliers de manifestants ont participé à la marche des fiertés
« Nous sommes ici pour nos droits » : à Amsterdam, des milliers de manifestants ont participé à la marche des fiertés

Le Parisien

time3 days ago

  • Politics
  • Le Parisien

« Nous sommes ici pour nos droits » : à Amsterdam, des milliers de manifestants ont participé à la marche des fiertés

Des milliers de personnes se sont rassemblées samedi pour la marche des fiertés à Amsterdam . Dans une ambiance aussi festive que politique, les manifestants ont affirmé l'importance de protéger les droits des personnes LGBT + dans le monde. Le rassemblement marquait le début de la semaine des fiertés dans la capitale néerlandaise, ponctuée de festivités et d'événements culturels, et qui doit s'achever en apothéose avec une gigantesque parade sur les canaux le week-end prochain. « Nous avons une Pride incroyable parce qu'elle a lieu sur les canaux, c'est très unique », s'enthousiasme Ben Thomas, amstellodamois lauréat du titre de Mister Bear 2024, cette subdivision de la communauté gay dont les membres sont connus pour leur pilosité faciale. Mais la marche n'est pas qu'une fête, insiste l'homme de 44 ans, qui travaille comme éducateur avec de jeunes réfugiés : « nous sommes ici pour être des citoyens égaux. Nous sommes ici pour nos droits ! » souligne-t-il. Vêtus de tenues audacieuses aux couleurs chatoyantes, les manifestants ont traversé dans la bonne humeur une partie du centre-ville, arborant drapeaux arc-en-ciel et pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Make America Gay Again » ou encore « Protect the dolls » - slogan appelant à la protection des femmes transgenres. « C'est important d'être ici, de se montrer », dit à l'AFP Dani van Duin, informaticienne de 44 ans, qui s'identifie comme lesbienne. « Avec tout ce qui se passe dans le monde, cela devient vraiment effrayant, surtout aux États-Unis », ajoute-t-elle, en référence notamment aux mesures prises par Donald Trump pour revenir sur une série d'acquis obtenus par les personnes transgenres . « Cela commence aussi à devenir plus difficile ici. Les gens ne font que répéter les discours de haine de la droite, et ils ne réfléchissent plus », déplore Mme van Duin. Pour Lina van Dinther, étudiante de 21 ans venue manifester avec deux amis, la marche est une opportunité de célébrer son identité transgenre, et aussi, « espérons-le, d'améliorer la situation des personnes transgenres aux Pays-Bas », où la liste d'attente pour accéder à une clinique offrant des soins de transition peut aller jusqu'à six ans, selon elle. Les marches des fiertés sont organisées dans de nombreuses villes du monde en lien avec les émeutes de Stonewall, mobilisation fondatrice du mouvement LGBT +, qui ont éclaté dans la nuit du 27 au 28 juin 1969, à New York.

Fiertés Rurales : au baptême d'Ezio, le fils de Mathieu, de « L'Amour est dans le pré »
Fiertés Rurales : au baptême d'Ezio, le fils de Mathieu, de « L'Amour est dans le pré »

Le Parisien

time3 days ago

  • Politics
  • Le Parisien

Fiertés Rurales : au baptême d'Ezio, le fils de Mathieu, de « L'Amour est dans le pré »

Jour de fête ce samedi à Chenevelles, petit village de 500 habitants à quarante-cinq minutes en voiture de Poitiers (Vienne). Pour la quatrième année consécutive, le bourg, niché dans les champs de tournesols qui s'étendent à perte de vue, reçoit les Fiertés Rurales, une « Pride des campagnes où se rassemblent associations, créateurs et syndicats qui luttent pour les droits LGBT + et pour donner de la visibilité à cette communauté. Il est à peine 10 heures du matin qu'un premier tracteur s'avance devant la mairie, banderoles apparentes et klaxons qui jouent le refrain de la chanson enfantine « Baby Shark ». Un groupe de mamies, assises sur un banc devant la mairie, en rigole. « On n'a jamais vu autant de gens à Chenevelles », gloussent-elles.

Hongrie : le maire de Budapest convoqué par la police pour avoir maintenu la marche des fiertés
Hongrie : le maire de Budapest convoqué par la police pour avoir maintenu la marche des fiertés

Le Figaro

time6 days ago

  • Politics
  • Le Figaro

Hongrie : le maire de Budapest convoqué par la police pour avoir maintenu la marche des fiertés

Plus de 200.000 personnes avaient défilé le 28 juin à Budapest, selon les organisateurs, une mobilisation record face à une régression inédite des droits LGBT+ par Viktor Orban, dénoncée par la Commission européenne. Le maire de Budapest a reçu une convocation de la police en vue d'une audition sur sa décision de maintenir la marche des fiertés fin juin dans la capitale malgré les mesures d'interdiction, a indiqué ce jeudi son cabinet. Gergely Karacsony «a été convoqué en tant que suspect et sera interrogé par les enquêteurs la semaine prochaine», selon la même source. «Si c'est le prix à payer dans ce pays pour défendre notre liberté, alors j'en suis fier», a réagi le maire de la capitale hongroise sur Facebook. Plus de 200.000 personnes avaient défilé le 28 juin à Budapest, selon les organisateurs, une mobilisation record face à une régression inédite des droits LGBT+ dénoncée par la Commission européenne. Publicité Le premier ministre nationaliste Viktor Orban, qui s'en prend depuis des années aux droits des personnes LGBT+ au nom de «la protection des enfants», a fait adopter mi-mars une loi visant à interdire toute manifestation qui exposerait des personnes mineures à l'homosexualité et aux transidentités. Une marche de la «honte», selon Viktor Orban La police avait interdit le rassemblement sur ce fondement, mais le maire écologiste de Budapest avait répliqué en assurant qu'il s'agissait d'un «événement municipal», ne nécessitant donc pas d'autorisation officielle. Organiser ou appeler à participer à la marche est passible d'un an de prison. Les participants s'exposaient eux à une amende pouvant aller jusqu'à 500 euros, mais la police a décidé début juillet de «ne prendre aucune mesure à leur encontre» au vu de «l'incertitude juridique» entourant l'événement. «Ils ont pu penser que leur présence n'enfreignait pas les règles en vigueur», elle avait argué. Viktor Orban a qualifié la marche de «honte» et mis en garde contre des conséquences judiciaires, le gouvernement accusant l'opposition d'avoir, «sur ordre de Bruxelles», «poussé à la violation de lois qu'elle n'aime pas, de s'être moquée de la souveraineté de la Hongrie, et avec le soutien de l'étranger, d'avoir tenté de nous imposer la culture woke».

Jim Parsons de « The Big Bang Theory » dénonce un nouvel acte « criminel » de Trump contre les LGBT +
Jim Parsons de « The Big Bang Theory » dénonce un nouvel acte « criminel » de Trump contre les LGBT +

Le HuffPost France

time22-07-2025

  • Entertainment
  • Le HuffPost France

Jim Parsons de « The Big Bang Theory » dénonce un nouvel acte « criminel » de Trump contre les LGBT +

LGBT + - « J'en pense que c'est littéralement criminel. » Ces mots très forts, ce sont ceux de l'acteur américain ouvertement gay Jim Parsons qui, invité sur la chaîne de télévision MSNBC au cours du week-end, a réagi à la récente fermeture d'une ligne d'assistance téléphonique spécialisée dans la prévention du suicide chez les jeunes personnes LGBT +. « C'est le genre de décisions pour lesquelles vous vous dites qu'il n'y a aucune raison valable. Quelle que soit la raison que vous lui donnez ou que vous lui attribuez, elle ne sera jamais justifiée », a déclaré le comédien de 52 ans, connu notamment pour son rôle de Sheldon Cooper dans la série The Big Bang Theory. L'administration Trump a officiellement mis fin à la mi-juillet à la ligne dédiée aux personnes LGBT + de moins de 25 ans de son programme 988 Suicide & Crisis Lifeline. Ces derniers pourront continuer d'appeler, mais ne seront plus mis en contact avec des conseillers formés à leurs enjeux et problématiques. « Press 3 » L'annonce avait été faite en plein mois des fiertés par l'une des branches du département américain de la santé (le SAMHSA, pour Substance Abuse and Mental Health Services Administration). Dans un communiqué, celle-ci disait ne plus vouloir cloisonner les services destinés aux jeunes « LGB + », acronyme duquel avaient été volontairement retirées les lettres faisant référence aux personnes trans, queers, intersexes ou asexuelles. D'après NBC News, plus de 1,5 million d'Américains ont déjà utilisé cette ligne spécialisée. Aussi appelée « Press 3 » (en français, « Appuyer sur la touche 3 »), elle avait été ouverte en octobre 2022, soit quelques mois après le lancement officiel du programme 988 Suicide & Crisis Lifeline. La création d'une ligne dédiée aux LGBT + n'était pas un hasard. D'après ce document législatif, la SAMHSA avait établi en 2020, à l'issue de la signature du National Suicide Hotline Designation Act, que les jeunes personnes queers étaient « plus de quatre fois plus susceptibles d'envisager le suicide que leurs pairs », insistant ainsi sur la création de ressources spécialisées pour les populations à haut risque. Une décision « blessante », selon Jim Parsons Sa disparition est « blessante », poursuit Jim Parsons. « On a l'impression que c'est fait uniquement pour marquer un point, qu'on se débarrasse de cela parce que nous voulons nous assurer que certaines personnes comprennent qu'elles ne sont pas les bienvenues ici », détaille l'acteur, toujours dans l'émission The Weekend de MSNBC. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump mène une politique offensive contre la diversité, dont les droits des personnes LGBT +. Tandis que de nombreuses entreprises ont décidé de ne plus soutenir financièrement les événements organisés pendant le dernier mois des fiertés, l'actuel président des États-Unis a entre autres signé un décret interdisant « l'extrémisme de genre » dans l'armée, puis un autre pour empêcher les athlètes transgenres de participer à des épreuves sportives féminines. Comme Jim Parsons, plusieurs célébrités de premier plan ont déjà tenté de faire porter leur voix. C'est notamment le cas des chanteuses Sabrina Carpenter, Dua Lipa et Ariana Grande ou encore de l'acteur Pedro Pascal qui, dans une lettre ouverte commune, ont appelé au début du mois de juin dernier à « protéger la santé mentale et la vie des jeunes LGBT + ». « Nous ne resterons pas silencieux », ont-ils affirmé.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store