Dernières actualités avec #LaDépêcheduMidi
Le Parisien
28-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Un agriculteur et sa fille tués par balle dans le Tarn, l'auteur présumé se donne la mort
Un double homicide suivi d'un suicide a bouleversé, dimanche 27 juillet, le calme de Labastide-Gabausse, village rural à une quinzaine de kilomètres au nord d' Albi . Deux personnes, un homme de 65 ans et une femme de 25 ans, ont été tuées par balle. L'auteur présumé des tirs, un homme de 56 ans, s'est donné la mort peu après les faits. La procureure d'Albi a affirmé à l'AFP que les deux victimes n'avaient aucun lien familial avec le tireur. L'homme, qui ne disposait d'aucun antécédent judiciaire, a contacté la police et s'est suicidé avant leur arrivée. Une enquête pour meurtre a été ouverte et confiée aux sections de recherches d'Albi et de Toulouse. D'après les informations de La Dépêche du Midi , les deux victimes, domiciliées dans la commune voisine de Virac, exploitaient depuis plusieurs années une parcelle à Labastide-Gabausse. Le père, éleveur de chevaux à la retraite, espérait transmettre son activité à sa fille. Le champ qu'ils utilisaient appartenait à l'auteur présumé du double meurtre. Plusieurs habitants interrogés par le quotidien évoquent un différend récent entre les deux hommes concernant le renouvellement du fermage. Le propriétaire aurait refusé que la fille de l'éleveur reprenne le bail. D'après l'un des témoins, l'homme aurait mal supporté des travaux de tronçonnage réalisés la veille sur sa parcelle. Le tireur vivrait seul avec ses chats, dans une petite maison proche de l'église du village. Il aurait grandi à Labastide-Gabausse et travaillé dans une entreprise de Carmaux. Malgré le suicide du principal suspect, les investigations se poursuivent. Les gendarmes de la brigade de recherches d'Albi et leurs collègues de Toulouse sont chargés de déterminer le déroulé exact des faits, ainsi que les motivations du tireur.
Le Figaro
22-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Relation virtuelle, conquête en prison et accusations chocs: Jennifer C., l'ex-petite amie de Cédric Jubillar par qui le trouble arrive
Réservé aux abonnés RÉCIT - La justice a demandé à entendre Jennifer C., ancienne petite amie de Cédric Jubillar auprès de qui il aurait avoué le meurtre de sa femme. Lors de sa première audition par les gendarmes en 2021, elle le présentait comme un «manipulateur». Dans une conversation téléphonique en mars 2021 avec Jennifer C., Cédric Jubillar évoquait sa récente médiatisation, lui affirmant être «passé de Monsieur trou du cul à Monsieur numéro 1». La jeune femme s'estimait, elle, chanceuse de n'avoir jamais eu de contact avec les médias: «j'ai jamais eu affaire à eux [les journalistes] et tant mieux d'ailleurs.» À deux mois d'un procès très attendu, elle a finalement eu affaire à la presse, et son témoignage a fait l'effet d'un coup de tonnerre. Jennifer C., ex-petite amie de Cédric Jubillar assure que celui-ci lui a récemment confié lors d'un parloir avoir étranglé sa femme, disparue en décembre 2020 à Cagnac-les-Mines. Ces allégations, révélées dans un premier temps par La Dépêche du Midi, ont été renouvelées dans les colonnes du Parisien . La justice a ordonné lundi son audition d'ici le 31 juillet. Un ultime soubresaut pour tenter de résoudre l'énigme de l'infirmière disparue du Tarn. Mais la jeune femme avait déjà été entendue en 2021 par les enquêteurs. Elle avait alors dressé un portrait accablant. «Je lui ai envoyé mon soutien» Retour au printemps 2021. À l'époque, Cédric Jubillar n'a pas encore été mis en examen pour le meurtre de sa femme. Il réside toujours dans le pavillon de briques rouges à Cagnac-les-Mines, à la fois partie civile et potentiel suspect. Les gendarmes multiplient les recherches, épaulés par des anonymes lors de battues citoyennes. Loin des caméras, Cédric Jubillar tisse des relations avec des femmes, la plupart rencontrées sur les réseaux sociaux. «Il y en a eu plein. Il disait que ça attirait les femmes cette histoire»…
Le Parisien
10-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Affaire Jubillar : « Cédric m'a dit avoir étranglé Delphine »
Dans un article sobrement intitulé « les troublantes confidences de Cédric Jubillar », La Dépêche du Midi a révélé le contenu des aveux fracassants que le mari de Delphine aurait formulés auprès de sa nouvelle compagne. Ces aveux, connus des enquêteurs, croit savoir le quotidien régional, auraient eu lieu dans le cadre du parloir de la maison d'arrêt de Seysses (Haute-Garonne). Cédric Jubillar y est placé en détention provisoire depuis juin 2021 , dans l'attente de son procès devant la cour d'assises du Tarn, prévu à partir du 22 septembre . Ce peintre plaquiste de 37 ans doit y être jugé pour le meurtre de sa femme, Delphine Jubillar, disparue la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines, dont le corps n'a jamais été retrouvé.
