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« Si Adri te dit quelque chose, c'est pour t'aider ou t'attaquer ? »  : déjà des secousses dans le vestiaire de l'OM
« Si Adri te dit quelque chose, c'est pour t'aider ou t'attaquer ? »  : déjà des secousses dans le vestiaire de l'OM

L'Équipe

time2 days ago

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« Si Adri te dit quelque chose, c'est pour t'aider ou t'attaquer ? » : déjà des secousses dans le vestiaire de l'OM

Au-delà de l'échec sportif, la défaite inaugurale de l'OM à Rennes vendredi (0-1) a été marquée par des scènes de frictions dans le vestiaire après le match. Un épisode qui sera profitable ou qui laissera des traces ? La délégation marseillaise était arrivée en avance sur le tapis rouge et noir du Roazhon Park, avec des joueurs déterminés et des dirigeants détendus, et elle est repartie dans un silence pesant à travers la nuit rennaise. Quelques instants plus tôt, après avoir été piégés par Ludovic Blas dans le temps additionnel, les Marseillais venaient de passer un sale quart d'heure. Un groupe déjà sous tension Les cloisons du stade sont fines et les remontrances ont résonné bien au-delà de l'intimité de l'effectif. Saccadé et étiré sur de longues minutes, le discours final a fait trembler les murs du vestiaire. Il a été question de « vérité », de « respect ». Mais l'heure n'était déjà plus au débrief du match. Car, comme avancé par Ici Provence et RMC Sport, et confirmé par nos soins, les dernières prises de parole ont fait suite à des embrouilles. Plusieurs cadres ont tenu à exprimer leur frustration. Parmi les leaders, le capitaine Leonardo Balerdi, Pierre-Emile Höjbjerg, avec des mots très durs, ou encore Adrien Rabiot ont pointé du doigt les comportements de certains de leurs coéquipiers, pas assez impliqués à leur goût. Se sentant piqué personnellement, Jonathan Rowe, auteur de nombreux mauvais choix en Bretagne et à l'attitude parfois agaçante, a répondu vertement au Français, le ton est monté d'un cran et tous deux ont terminé front contre front au milieu de leurs partenaires. Roberto De Zerbi, épaulé par Medhi Benatia, a alors repris la main pour ramener le calme. « Le coach a parlé avec passion, on a tous envie de gagner » Timothy Weah, nouveau joueur de l'OM « Si Adri te dit quelque chose, c'est pour t'aider ou t'attaquer ? Dis la vérité », a-t-on pu entendre de la part de l'interprète. Réponse interposée : « Pour m'aider ». Autres morceaux choisis et fleuris : « On a des grosses couilles ici. Les couilles, c'est dehors, sur le terrain, pas dans le vestiaire. On peut se dire les choses de manière plus tranquille, utile et correcte que "fils de pute". » Reste à savoir si l'épisode laissera des traces, actera la vente de Rowe, ou sera, au contraire, profitable dans la construction du groupe, à l'image de l'altercation entre Höjbjerg et Mason Greenwood à l'entraînement l'an passé. « Le coach a parlé avec passion, on a tous envie de gagner », a déminé, à chaud, Timothy Weah. Un statut à assumer et des remèdes à trouver Sur le plan sportif, aussi, « cette défaite doit servir », comme dirait De Zerbi. « En première mi-temps, a observé Pierre-Emerick Aubameyang, il y avait un peu d'appréhension et, en seconde période, on s'est sentis peut-être trop à l'aise, en pensant qu'on était un de plus (après l'expulsion d'Abdelhamid Aït-Boudlal) et qu'on allait faire la différence. Mais on n'a pas assez insisté. On sait qu'on est très attendus. Partout où on ira, chaque équipe qu'on recevra, ce sera un challenge. » « On aurait pu tout mieux faire, avec plus de rage, d'envie, d'enthousiasme » Roberto De Zerbi, entraîneur de l'OM Celui proposé par le Stade Rennais d'Habib Beye a étalé toutes les limites actuelles. Un mélange des manques de la saison passée (la solidité défensive et la force mentale) et de la préparation estivale (l'efficacité offensive et la gestion des transitions). À onze contre onze, les hommes de De Zerbi ont eu beaucoup de mal à se défaire du pressing rennais et à construire, puis, en supériorité numérique, ils n'ont pas trouvé plus de solutions face au bloc adverse bas et regroupé, avec un Rabiot pas encore à l'aise comme faux meneur dans la nouvelle animation. « Ce n'est pas à cause de lui qu'on a perdu, l'a défendu son entraîneur. On aurait pu tout mieux faire, avec plus de rage, d'envie, d'enthousiasme. Même si on avait gagné le match, je vous aurais dit la même chose. » Mais son équipe a fini par perdre et, si elle veut vraiment accrocher le PSG, elle ne pourra pas se permettre autant d'écarts. « Parfois, ça ne veut pas devant. Mais il ne faut pas prendre de but. C'est ça qui me dérange le plus, a insisté De Zerbi. On doit aller plus loin si on veut être une grande équipe. Sinon, on restera toujours une demi-équipe. » Des circonstances atténuantes Faut-il également y voir un message pour sa direction ? Avant la rencontre, Medhi Benatia a confirmé que le club cherchait toujours à se renforcer, en priorité au poste de latéral gauche, où Amir Murillo a dépanné, et de défenseur central, même si CJ Egan-Riley a de nouveau été intéressant. Un milieu est aussi espéré, voire un élément offensif. « Mais on n'a pas un budget illimité », a rappelé le directeur du football. Il ne faut pas non plus oublier que Facundo Medina était suspendu et que son retour au Vélodrome, pour le match face au Paris FC, samedi, devrait faire le plus grand bien. L'apparition de l'ailier brésilien Igor Paixao, arrivé blessé du Feyenoord et sur qui l'OM a misé plus de 30 M€, ne se fera pas avant le mois de septembre mais devrait également ouvrir d'autres perspectives offensives. Et, après tout, les suiveurs marseillais le savent mieux que quiconque : la vérité d'août est rarement celle de la saison.

Coup de gueule de De Zerbi, altercation Rabiot - Rowe : le vestiaire de l'OM a tremblé après la défaite à Rennes
Coup de gueule de De Zerbi, altercation Rabiot - Rowe : le vestiaire de l'OM a tremblé après la défaite à Rennes

Le Parisien

time2 days ago

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Coup de gueule de De Zerbi, altercation Rabiot - Rowe : le vestiaire de l'OM a tremblé après la défaite à Rennes

À peine une journée de disputée et déjà des frictions dans le vestiaire de l'OM. Défaits sur la pelouse de Rennes ce vendredi en ouverture de la Ligue 1, les Olympiens n'ont pas su profiter de leur supériorité numérique et ont cédé dans le temps additionnel sur un but de Ludovic Blas (1-0). Une prestation et un scénario mal digéré par les joueurs et surtout par Roberto De Zerbi. Face à la presse, le technicien italien n'a pas mâché ses mots, appelant ses hommes à « l'humilité ». « Si on pense qu'on est plus fort qu'on ne l'est en réalité et que les buts tombent du ciel, alors on n'a rien compris », a-t-il lancé. « On a de petites coui***s » Selon des informations d'ici Provence et RMC Sport que nous sommes en mesure de confirmer, le ton est ensuite monté dans l'intimité du vestiaire, après la rencontre. Plusieurs joueurs ont alors pris la parole en pointant les lacunes d'autres, stigmatisant notamment leur manque d'efforts sur le terrain mais aussi une implication loin des standards de ce genre de match et des ambitions d'un club qui visent très haut cette saison. Ici Provence raconte ainsi que le traducteur de De Zerbi aurait d'ailleurs répété en français la phrase suivante, prononcée en italien par le coach : « Les autres, ils nous battent sur le terrain et nous, on rentre, on se tape ici. Vous savez ce que cela veut dire ? Que l'on a des petites coui***s. Alors qu'à Marseille, on doit en avoir des grosses. » À voir aussi Alors que la tension est montée au fil des minutes, une altercation a éclaté entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe. Sur le départ, l'ailier anglais n'a pas apprécié de recevoir certaines critiques de ses partenaires et l'a fait savoir au milieu de terrain français en lui répondant de manière agressive. Sans pour autant être proche d'en venir aux mains, nous précise une source à l'intérieur du club. « Ce matin, c'est fini, on passe à autre chose » Le calme a fini par revenir lorsque De Zerbi, accompagné par Mehdi Benatia, le directeur du football, a repris la parole, mais l'ambiance était en toute logique morose dans l'avion du retour vers Marseille. « C'est la dernière fois que cela arrive », a averti l'entraîneur olympien, en parlant de l'attitude de ses hommes sur le terrain. Au lendemain de cette défaite et de ces premières tensions, le ton était plutôt à la dédramatisation, le club évoquant des énervements dus à la frustration d'une première défaite rageante après une préparation pleine de promesses. « Ce matin c'est fini, on passe à autre chose », coupe ainsi un intime du vestiaire.

Les notes de Rennes-OM : Merlin réussit ses retrouvailles, Gouiri passe à côté
Les notes de Rennes-OM : Merlin réussit ses retrouvailles, Gouiri passe à côté

L'Équipe

time3 days ago

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Les notes de Rennes-OM : Merlin réussit ses retrouvailles, Gouiri passe à côté

Passeur décisif, l'ancien Marseillais Quentin Merlin a permis à Ludovic Blas et Rennes d'arracher un succès (1-0) dans le temps additionnel, après une grande résistance à 10 contre 11 pendant plus d'une heure. L'OM a manqué d'idées, à l'image de l'ex-Rennais Amine Gouiri transparent. Le gardien rennais s'est montré vigilant pour préserver son but, et ce n'est pas rien. Mais on retient aussi une sortie hasardeuse sur un centre de Greenwood (39e). Et il semble assez heureux car possiblement battu sur la frappe de Rabiot (45e + 6) ou la tête de Murillo (58e) qui ont trouvé un poteau. Titulaire inattendu en raison de l'éviction du groupe plus tôt dans la journée de Mikayil Faye, il a plutôt bien tenu son rang, à l'image d'un jaillissement plein d'énergie (8e). Mais il est arrivé en retard sur Murillo en laissant traîner son pied sur une cheville du Marseillais, ce qui lui a valu d'être expulsé après intervention du VAR (31e). Juste pour l'embêter : sa talonnade superflue dans une zone dangereuse n'avait sans doute pas lieu d'être (26e). Du reste, il n'a pas lâché Gouiri et s'est montré à son avantage dans le jeu d'anticipation. A semblé finir avec des crampes. Rabiot est parti un peu trop facilement dans son dos (9e). Mais ensuite, avec la tête ou les pieds, le défenseur a couvert un nombre important de ballons chauds pour les extirper des zones dangereuses. Costaud. Un bon ballon pour Al-Tamari (22e), après avoir pourtant tergiversé en début de match. Après le carton rouge, à défaut d'être brillant balle au pied, il a relativement bien tenu son côté dans un rôle plus défensif. NAGIDA l'a suppléé (85e) et a été proche de marquer sur un service de Blas (90e + 7). Un début de match pas à son avantage, avec des pertes de balle et des duels perdus. Puis, il s'est mis dedans, en adressant notamment un bon ballon pour Al-Tamari qui a buté sur Rulli (17e), ou en grattant un ballon à Greenwood (43e). Battu dans un duel aérien par Murillo dont la tête a heurté le poteau (58e). Globalement généreux et remplacé par CAMARA (64e), qui a fêté sa première sous les couleurs rennaises. Il était attendu, il a répondu. Comme un capitaine, comme un leader. En guidant, en proposant ou en cassant des lignes (24e). Un bon retour sur Rowe (28e). Il a accusé un petit retard sur Greenwood qui a pu enclencher une frappe dangereuse depuis l'axe (41e). Une frappe à la Rongier, cadrée mais gentillette (42e). Plein d'abnégation et de simplicité après le repos. Averti pour avoir réclamé de manière véhémente un penalty (89e). Quelle débauche d'énergie ! Pas toujours juste avec le ballon, le milieu a abattu un travail de courses colossal pour couvrir des espaces et gagner des ballons. Il pouvait peut-être mieux gérer deux ballons de transition à l'orée du dernier quart d'heure, mais avait-il encore les jambes ? Il a fini usé, les mains sur les genoux. BLAS l'a relevé (85e) et a marqué le but de la victoire (90e + 1). Il aurait même pu être crédité d'une passe décisive pour Nagida. Lui aussi livrait un sacré duel pour sa première, avec Greenwood comme client. Et il s'en est bien sorti dans l'ensemble, même si l'Anglais lui a faussé compagnie avant de servir Rabiot, dont la frappe a heurté un poteau (45e + 6). Un bon centre à ras de terre qui ne trouve pas preneur (8e). Un contre essentiel sur Rowe (39e). Sa passe décisive pour Blas, une merveille, est venue récompenser un match plein (90e + 1). Une dernière accélération pour finir (90e + 6). Lui aussi a livré une sacrée bataille devant, seul pendant pas loin d'une heure. Il a perdu des duels face à Rulli (17e, 42e). A été averti pour une faute sur Rowe et la contestation qui allait avec (37e). Mais il s'est surtout distingué par un nombre de courses important qui a usé et déstabilisé l'arrière-garde marseillaise. Il a parfois manqué de lucidité mais s'est donné et a aussi provoqué le jaune de Garcia (84e). Suppléé sous les applaudissements par SALAH (84e). Pris à plusieurs reprises au piège du hors-jeu, pas toujours académique, voire maladroit, le jeune attaquant rennais n'a pas eu beaucoup de temps pour s'illustrer. Il a été vite remplacé dans le cadre d'une réorganisation tactique après le carton rouge, par WOOH (37e), vigilant et appliqué (6). Tout bon. Son équipe s'est bien comportée lors de la première demi-heure mais elle a alors été réduite à 10. Derrière, le technicien a effectué des choix qui lui ont donné raison en passant en 5-3-1, en sortant Meïté et en lançant Blas ou Nagida au bon moment. Le capitanat osé pour Rongier, c'était aussi son choix. Rennes demande à être revu. On ne s'attendait pas à le voir autant d'entrée. Pressé de près, l'Argentin a dû aller au feu à plusieurs reprises, en sauvant une mauvaise relance (17e), en repoussant une offensive de la tête loin de sa cage (20e) et en sortant une double intervention (42e). Il est encore là dans le second acte (61e), mais reste impuissant sur le but de Blas (90e + 1). Cruel. Pour son baptême dans l'élite en l'absence de l'autre recrue défensive Medina, suspendue, le transfuge de Burnley a d'abord semblé emprunté. Aligné comme latéral droit, prudent et parfois à la limite (42e), le défenseur central de formation a ensuite basculé dans l'axe et s'est montré plus à son aise. Tantôt associé à Kondogbia, tantôt à Egan-Riley en charnière, un coup à droite, un coup à gauche, le capitaine argentin a passé son temps à colmater les fuites et motiver les troupes. Jusqu'à ce but fatal de Blas (90e + 1), où il couvre de peu au départ de l'action. Mais cela pèse tant dans le résultat final... Titulaire surprise au côté du capitaine Balerdi en charnière centrale, l'international centrafricain s'est montré solide dans les duels et fiable dans l'alignement. Une mésentente préjudiciable (42e) toutefois. Il a cédé sa place à WEAH (5) dès la pause pour permettre à ce dernier d'avaler le couloir droit et d'apporter davantage de danger, sans grand succès, hormis ce centre pour la tête de Murillo (58e). Toujours utile dans les temps faibles, malgré son déchet, le soldat panaméen a plutôt bien dépanné dans le couloir gauche, en jouant très à l'intérieur en phase de possession, presque comme un second attaquant. Il « provoque » malgré lui l'expulsion d'Aït-Boudlal, qui lui écrase la cheville (31e). Remplacé par GARCIA (78e). La plaque tournante du jeu marseillais, il a eu tendance à descendre très bas en première période pour construire le jeu de possession léché. Mais à 11 contre 10, face à un bloc bas, il a été trop neutre, trop propret, à l'image de cette frappe manquant de calcium à la 80e minute. Remplacé par BAKOLA (86e), qui dégage de l'énergie, du haut de ses 17 ans, mais est trop loin pour gêner Merlin sur l'offrande de l'ancien de l'OM pour Blas (90e + 1). Une perte de balle majeure, qui donne une grosse occasion à Al-Tamari (17e). S'est rattrapé ensuite, mais il a été plutôt effacé, a semblé redondant avec Gomes dans le rôle d'organisateur. Il a aussi été pris, parfois, dans la profondeur par Al-Tamari et Fofana sur certaines actions. Le joueur le plus dangereux de l'OM, de loin, et ce malgré un Merlin très accrocheur et très motivé. Un décalage bien senti pour Rabiot sur l'action du premier poteau marseillais (45e + 6), une frappe après un déboulé plein axe, juste au-dessus de la cage de Samba (41e). Aussi à l'aise pour repiquer après un déboulé côté droit que pour « traîner » sur toutes les zones de l'attaque, à 11 contre 10. Actif et puissant en première, au point de sécher Rouault près de la surface rennaise et de prendre un avertissement (26e). Une superbe frappe sur le poteau, du gauche à l'entrée de la surface (45e + 6), après un service de Greenwood. Dans un poste de numéro 10 qui ne lui sied pas toujours, l'international tricolore a essayé de dynamiser les attaques marseillaises, de se projeter. Pris dans le trafic en seconde période, avec des passes latérales peu dangereuses. Il a tendance à trop porter le ballon, avec de nombreux dribbles qui ont terminé dans le désert, alors que de la simplicité aurait permis de gêner l'adversaire. Une tête ratée (45e + 1) malgré un joli centre de Greenwood, une frappe au-dessus (52e), une autre topée alors qu'il était en bonne position (54e). Il a été remplacé par un AUBAMEYANG (63e) aux Gabonais absents sur la demi-heure de jeu... Droit dans le bus, malheureusement... Pris dans la nasse rennaise, il n'a pas existé, obtenant un corner par-ci (18e), proposant une frappe peu dangereuse par-là. À 11 contre 10, son équipe placée très haute, il attendait, statique, des ballons qui ne sont jamais venus. A été replacé côté gauche à la place de Rowe, après l'entrée d'Aubameyang, mais bien pris par la défense rennaise. Remplacé par le jeune VAZ (86e). Son choix de titulariser Kondogbia en charnière, décalant Egan-Riley à droite et Murillo à gauche de la défense, a semble-t-il déstabilisé une arrière-garde déjà peu sereine. Il a tenté plusieurs choses en seconde période (Weah dans le couloir droit, association Gouiri-Aubameyang...), en vain.

Rennes-Marseille : en vidéo, le but de Ludovic Blas qui a mis l'OM à terre
Rennes-Marseille : en vidéo, le but de Ludovic Blas qui a mis l'OM à terre

Le Figaro

time3 days ago

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Rennes-Marseille : en vidéo, le but de Ludovic Blas qui a mis l'OM à terre

Rennes a remporté le premier match de sa saison ce vendredi soir en Ligue 1 face à Marseille (1-0), grâce à un but de Ludovic Blas en fin de match. En cinq minutes, Ludovic Blas a tout changé. Dans le temps additionnel (90+1e), l'ancien nantais a fait chavirer le Roazhon Park en inscrivant le but de la délivrance face à Marseille. Parfaitement servi par Quentin Merlin dans le dos de Balerdi, Blas a ajusté Rulli et permis aux siens de remporter leur premier match de la saison. Avant ça, il a fallu tenir pour des Rennais réduits à 10 à la suite de l'expulsion d'Aït Boudlal dès la 31e minute. Les joueurs de Habib Beye ont même eu chaud lorsque l'OM a touché les deux poteaux. Mais l'important est assuré, une première victoire malgré un match mal parti.

À 10 contre 11 pendant une heure, Rennes surprend l'OM dans le temps additionnel en ouverture de la Ligue 1
À 10 contre 11 pendant une heure, Rennes surprend l'OM dans le temps additionnel en ouverture de la Ligue 1

L'Équipe

time3 days ago

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À 10 contre 11 pendant une heure, Rennes surprend l'OM dans le temps additionnel en ouverture de la Ligue 1

En infériorité numérique depuis la 31e minute, Rennes s'est imposé contre l'OM (1-0) dans le temps additionnel grâce à un but de Ludovic Blas, lors de la première journée de Ligue 1. Les Phocéens ont touché à deux reprises le poteau droit de Brice Samba. Rennes s'en est sorti de justesse contre Marseille vendredi soir, en ouverture de la première journée de Ligue 1. Réduits à 10 contre 11 à partir de la demi-heure de jeu, suite à l'expulsion du jeune Abdelhamid Ait Boudlal qui disputait son premier match en Ligue 1, les Rennais se sont imposés grâce à un but de Ludovic Blas (1-0) dans le temps additionnel de la seconde période (90e + 1). S'ils ont énormément tenté (24 frappes), les Marseillais ont manqué de précision (2 tirs cadrés) et de réussite en touchant le poteau droit de Brice Samba à deux reprises, d'abord sur une frappe en dehors de la surface d'Adrien Rabiot avant la pause (45e + 6) puis sur une tête d'Amir Murillo (58e). La rencontre a été marquée par le retour en Ligue 1 de Pierre-Emerick Aubameyang, entré sur la pelouse du Roazhon Park juste après l'heure de jeu. Plus d'informations à suivre...

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