Dernières actualités avec #MMA
Le Parisien
8 hours ago
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Habirora - Roberts : à quelle heure et sur quelle chaîne voir le combat en direct ?
Ce samedi, la PFL prend ses quartiers à l'ING Arena de Bruxelles. En tête d'affiche, on retrouve le choc événement Habirora – Roberts. À l'heure actuelle, Patrick Habirora est invaincu chez les professionnels, avec six victoires à son actif. Après avoir battu Ognjen Zivanovic, Claudio Pacella, Giovanny Giraldo et Alex Aston, le Belgian Bomber s'est imposé face à Catalin Safta et Dima Glevka. Pour son troisième combat dans l'organisation de la PFL, Patrick Habirora affronte Danny Roberts, qui totalise dix-huit victoires pour huit défaites. En 2022 et 2023, le Britannique a connu trois revers consécutifs contre Francisco Trinaldo, Jack Della Maddalena et Jonny Parsons. Ce week-end, Hot Chocolate participe pour la première fois à la PFL Europe. Le natif de Londres va donc tout faire pour renouer avec le succès, et décrocher sa première victoire de rang au sein de l'organisation. Dans ces lignes, on vous dit à quelle heure et sur quelle chaîne regarder le choc Patrick Habirora – Danny Roberts en direct. Le combat qui oppose Patrick Habirora et Danny Roberts est diffusé ce samedi 5 juillet, en direct sur la plateforme de streaming DAZN. L'événement PFL Europe est à suivre à partir de 17 heures. Le main event est, quant à lui, prévu aux alentours de 23 heures. Les commentateurs vous donnent rendez-vous quelques minutes avant le début des combats, pour présenter les affiches, les palmarès et les dernières actualités de l'organisation de MMA. Ils décryptent ensuite les performances des combattants, analysent les résultats et reviennent sur les temps forts de la confrontation Habirora - Roberts. Cliquez ici pour voir le combat Habirora - Roberts
Le Figaro
8 hours ago
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MMA : où et comment voir le PFL Bruxelles en streaming et en direct ce samedi ?
Le PFL Europe revient ce samedi 5 juillet avec un événement majeur. La compétition débarque pour la première fois en Belgique. Voici comment regarder en direct et en streaming l'événement MMA du week-end. Le PFL Europe poursuit sa saison 2025 avec une nouvelle étape programmée le samedi 5 juillet en Belgique. Cette soirée compte pour la phase régulière du championnat. Chaque victoire permet d'obtenir des points essentiels en vue d'une qualification pour les playoffs. Ce combat principal propose Patrick Habirora, invaincu avec un bilan de 6 victoires, affronte le vétéran de l'UFC Danny Roberts, qui compte 18 succès en carrière. Habirora, combattant belge, évolue à domicile et vise une performance marquante pour confirmer son potentiel face à un adversaire expérimenté. Danny Roberts apporte son vécu acquis sur la scène internationale avec des affrontements contre des profils variés. Cette opposition incarne le contraste entre un espoir ambitieux et un spécialiste aguerri. La victoire peut permettre à Habirora de franchir un cap et de se rapprocher d'un contrat mondial au PFL. Lors de cette soirée, le Français Taylor Lapilus affronte le Suédois Ali Taleb. Comment regarder le PFL Europe en streaming et en direct ce samedi ? Le PFL Bruxelles se déroule le samedi 5 juillet à l'ING Arena de Bruxelles en Belgique. La diffusion en France est assurée par DAZN. Le début de la soirée est prévu à 17h00 avec les premiers combats. Le main event, qui oppose Patrick Habirora à Danny Roberts, doit commencer vers 23h00. Ce rendez-vous s'inscrit dans la saison 2025 du PFL Europe et propose plusieurs affrontements importants pour le classement. L'abonnement à DAZN vous premettra de suivre le PFL Europe toute l'année et actuellement le championnat du Monde des clubs de football. Cliquez ici pour regarder le PFL Europe à Bruxelles en direct Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.
Le Parisien
8 hours ago
- Sport
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« Tu as les épaules larges, je te vois bien maçon » : sur les traces du combattant de MMA Taylor Lapilus
« Elle mérite un petit coup de propre, les murs sont un peu fatigués. » Taylor Lapilus n'a pas mis les pieds dans cette salle du gymnase Caulaincourt du Mée-sur-Seine depuis plusieurs années, mais il y retrouve rapidement ses habitudes. Il tâte le tapis bleu et rouge, effleure les murs qui commencent à se délabrer et fait remonter ses souvenirs. C'est ici que le combattant de MMA , 33 ans, a découvert le grappling et le jujitsu, tremplins vers sa discipline actuelle. Il a donc logiquement décidé de nous y emmener lorsqu'on lui a proposé de nous conter sa vie.
Le Parisien
18 hours ago
- Politics
- Le Parisien
« La même vision de la masculinité » : du MMA à la Maison-Blanche, le rêve de Trump pour les 250 ans des États-Unis
Les États-Unis célébreront en 2026 les 250 ans de leur indépendance. Évoquant les festivités en préparation, Donald Trump a glissé une idée bien à lui : un combat de MMA dans les jardins de la Maison-Blanche. « On a énormément de terrain à cet endroit, a-t-il déclaré jeudi à l'occasion d'un meeting dans l'Iowa. Dana (White, le président de l'UFC, la principale organisation de MMA) va construire un tournoi, avec 20 000 ou 25 000 spectateurs. On aura d'autres événements à l'occasion du 250e anniversaire, mais ces combats vont être quelque chose. »
L'Équipe
21 hours ago
- Sport
- L'Équipe
« Maintenant, je suis légitime » : Avant l'UFC Paris 4, Nassourdine Imavov se confie
Le 6 septembre, Nassourdine Imavov affrontera Caio Borralho en main event de l'UFC Paris. Quatre mois après sa victoire monumentale contre Israel Adesanya, le numéro 1 des poids moyens a accepté de nous recevoir pour se confier sur son prochain combat et cette ceinture qui l'obsède depuis toujours. Retrouvez l'entretien intégral en vidéo. Un large sourire suivi d'une poignée de main franche. Deux mois avant son combat contre Caio Borralho à l'UFC Paris 4, Nassourdine Imavov est détendu. Sur une terrasse des Champs-Élysées, le Franco-Daghestanais de 29 ans enchaîne les interviews avec une sérénité désarmante. Le 6 septembre, il sera la tête d'affiche à l'Accor Arena. Un an après avoir été co-main-event. « J'aime beaucoup combattre à Paris. Devant ma famille, le public, c'est incroyable. Et cette fois, je suis en main-event. La progression est là. » La montée en puissance a été fulgurante. Elle s'est même accélérée un soir de février, lorsqu'il a éteint Israel Adesanya, légende de l'UFC, dans un combat qui restera comme l'un des plus grands exploits du MMA français. Mais dès son issue, le regard était déjà tourné vers l'avenir. « Je suis content, oui. Mais je suis directement passé à autre chose. Je me concentre sur le combat à Paris. » Chez lui, Imavov affrontera un Brésilien invaincu dans l'organisation, classé 6e des moyens. Pas le nom le plus clinquant, mais un danger réel. Et un risque, aussi. Le natif de Khassaviourt aurait pu attendre et choisir d'être back-up pour le choc du titre entre Dricus Du Plessis et Khamzat Chimaev en août, lors de l'UFC 319. Mais les contraintes logistiques et la conviction de rester actif l'en ont dissuadé. « Bien sûr que c'est un risque. Mais j'aime ça. On avait accepté d'être back-up à certaines conditions. L'UFC a refusé. Alors, on a dit non, et on s'est concentré sur Borralho. » De l'ombre à la lumière Nassourdine Imavov assume ce pari. Il sait que ça l'aidera dans son objectif d'apprivoiser la scène. Longtemps discret, presque secret, il ne se tait plus. « J'ai toujours dit que je parlerai quand j'aurai prouvé. Je suis numéro 1. Maintenant, je suis légitime. C'était ça, le déclic. » Même le trash-talking, longtemps délaissé, s'est invité dans la construction de son prochain combat. À sa manière. Avec humour, sans vulgarité, dans une vidéo bien à lui. « Je voulais montrer qu'on peut promouvoir un combat autrement. C'était drôle, pas méchant. » Cette évolution, Imavov la doit à l'expérience. Mais surtout à son entourage : Nicolas Ott, devenu son entraîneur principal et Daguir, son grand frère, dans l'ombre, mais toujours présent. Au-dessus de tout, une promesse. « Ce n'est pas une question d'être le premier Français à prendre la ceinture ou le dixième... Ce que je veux, c'est la ceinture. J'ai donné ma parole à ma famille. Je dois l'honorer », jure-t-il. Et après ? Une fois la ceinture autour des hanches ? « Peut-être que j'aurais arrêté. Peut-être que je serais à la plage, tranquille, cocktail à la main. Avant, je voulais deux ceintures, être une star. Aujourd'hui, ça ne m'intéresse plus. Si je peux devenir champion sans être connu, c'est magnifique. » Ni strass, ni paillettes. Imavov n'a rien à vendre. Et si ce sport récompense souvent les grandes gueules, il n'oublie jamais ceux qui tiennent parole.
