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Pourquoi à la Bourse de Francfort les actions volent de record en record, selon la gestion Lupus Alpha
Pourquoi à la Bourse de Francfort les actions volent de record en record, selon la gestion Lupus Alpha

Le Figaro

time6 days ago

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Pourquoi à la Bourse de Francfort les actions volent de record en record, selon la gestion Lupus Alpha

Réservé aux abonnés Macroéconomie, politique monétaire, phénomènes de marché: chaque semaine, le Figaro Patrimoine et Bourse propose l'éclairage d'un professionnel de la finance À la Bourse de Francfort, le DAX 40 (+21,6% depuis le début de l'année) des grandes valeurs vole de record en record, mais le SDAX (+30% !) des petites aussi. Marie Fournier, responsable du bureau français de la société de gestion indépendante allemande Lupus Alpha (16 milliards d'euros sous gestion), rappelle qu'outre-Rhin, le choc énergétique de 2022, avec la fin du gaz russe bon marché ainsi que la hausse des taux, a fortement pénalisé l'économie. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Friedrich Merz, un chancelier «pro business» D'autant plus qu'il est venu s'ajouter au ralentissement d'un grand partenaire, la Chine, puis plus récemment au revirement des États-Unis de Donald Trump vis-à-vis de l'Europe. D'où un PIB en berne et des small caps à la peine : «la machine était cassée». C'est alors que le gouvernement du chancelier Friedrich Merz, «qui comprend l'économie et les entreprises», s'est installé. Son objectif : «mettre en place une stratégie pour relancer la souveraineté économique et doper la croissance, en Allemagne et par ricochet en Europe»

Trump ou pas, à la fin, c'est la Chine qui gagne : le décryptage brutal des analystes de Berenberg
Trump ou pas, à la fin, c'est la Chine qui gagne : le décryptage brutal des analystes de Berenberg

Le Figaro

time18-07-2025

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Trump ou pas, à la fin, c'est la Chine qui gagne : le décryptage brutal des analystes de Berenberg

Réservé aux abonnés Macroéconomie, politique monétaire, phénomènes de marché: chaque semaine, le Figaro Patrimoine et Bourse propose l'éclairage d'un professionnel de la finance Imbattable, «l'empire américain» ? Alors que Donald Trump fait la Une de l'actualité, deux analystes du bureau d'études allemand Berenberg, Jonathan Stubbs et Ashley O'Malley, n'en croient rien. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp «Malgré bien des difficultés structurelles, la Chine ne cesse de bâtir avec succès une alternative à l'hégémonie américaine en misant sur le développement industriel. La Chine est en pleine ascension», affirment-ils. Vraiment, malgré une démographie vieillissante ? La Chine, empire industriel sans rival Les spécialistes utilisent l'indice de développement économique d'Hamilton : dans sept domaines sur dix, de l'électronique à la chimie en passant par les services informatiques, les métaux, les machines-outils et les véhicules, le géant asiatique occupait (dès 2020) le rang de leader. En retenant ces secteurs de pointe, «la Chine bat 49 des États américains» sur 50 et s'est dotée, en 20 à 30 ans seulement, «d'un complexe industriel redoutable qui façonne le monde autant qu'il le défie». Au-delà des usines, le nombre de brevets…

Bourse : « l'Europe suscite beaucoup trop d'optimisme », l'avis sans concession d'UBS France
Bourse : « l'Europe suscite beaucoup trop d'optimisme », l'avis sans concession d'UBS France

Le Figaro

time10-07-2025

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Bourse : « l'Europe suscite beaucoup trop d'optimisme », l'avis sans concession d'UBS France

Réservé aux abonnés Macroéconomie, politique monétaire, phénomènes de marché: chaque semaine, le Figaro Patrimoine et Bourse propose l'éclairage d'un professionnel de la finance Lors d'une conférence organisée cette semaine à Paris, Claudia Panseri, directrice des investissements pour UBS France, n'a pas mâché ses mots. Et elle ne craint pas d'aller contre la tendance du moment : d'un point de vue boursier, «l'Europe suscite beaucoup trop d'optimisme», a-t-elle indiqué. Un emballement sur l'Europe de la défense ? Un jugement qui vaut en premier lieu pour la relance de l'effort de défense sur le Vieux Continent, jugé «surestimé». En effet, si l'objectif est de porter l'investissement militaire à 5% du PIB, «bien des pays en sont loin, et même atteindre 3,5% paraît difficile tant les situations budgétaires sont dégradées». Par exemple, la spécialiste estime «extrêmement faible» le surcroît d'effort envisagé par la France, «beaucoup d'autres États étant dans le même cas», de la Belgique à l'Espagne en passant par l'Italie. Dans ce contexte, attention au vif rebond que viennent de connaître les valeurs européennes de la défense, qui selon cet indice sectoriel Stoxx ont pris 52% depuis le début de l'année

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